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Ce fut une première, une tache de plus sur l’image de l’ONU, laquelle, grâce à une résolution votée en novembre et approuvée par un vote de 90 voix pour, 30 contre et 47 abstentions, a commémoré pour la première fois hier lundi 15 mai ce que les Palestiniens appellent la « Catastrophe », la Nakba, engendrée par la proclamation de l’indépendance d’Israël.
Cette « première du genre » à l’ONU comprenait 2 événements: une réunion spéciale de haut niveau au siège de l’ONU à New York suivie d’un événement spécial dans la salle de l’Assemblée générale.
Si plusieurs dizaines de pays, convaincus par les faits et par l’intense campagne diplomatique menée par Israël, avaient annulé leur participation à « l’événement », la « fête » eut lieu.
L’ambassadeur d’Israël auprès des Nations unies, Gilad Erdan, avait appelé dimanche les autres émissaires de l’ONU à ne pas participer à un événement en ces termes: « L’idée qu’une organisation internationale puisse marquer la création d’un de ses États membres comme une catastrophe ou un désastre est à la fois consternante et répugnante. Non seulement cela cautionne la haine à l’égard des Juifs, mais cela donne également le feu vert aux Palestiniens pour continuer à exploiter les organes internationaux afin de promouvoir leur discours diffamatoire. Assister à des initiatives palestiniennes unilatérales qui présentent faussement Israël comme la source de tous les maux ne rapproche pas le conflit de sa fin, mais ne fait qu’attiser les tensions. Je vous demande instamment de ne pas prendre part à l’événement honteux de la ‘Nakba’ », avait-il déclaré via une lettre exhortant les diplomates à se tenir à l’écart de cette infâme célébration et réussissant à convaincre 32 Etats, dont les Etats-Unis, le Canada, l’Ukraine et dix de l’Union européenne. La France? Elle a participé à la commémoration…
C’est ainsi qu’on a pu entendre une heure durant le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, dont « l’Etat de Palestine » a le statut d’observateur, « exiger » de l’ONU, dans un discours très offensif énoncé en arabe et qui listait les quelque 1 000 résolutions depuis 1947 votées par l’Assemblée générale, le Conseil de sécurité et le Conseil des droits de l’Homme » des Nations unies, qu’Israël soit « suspendu » de l’organisation internationale pour l' »agression » et l' »occupation » des Territoires palestiniens:
« Nous exigeons aujourd’hui officiellement, conformément au droit international, que l’on s’assure qu’Israël respecte les résolutions de l’ONU, sous peine de suspension de son adhésion à l’organisation. […] Israël, la puissance occupante, poursuit son occupation et son agression contre le peuple palestinien. […] « Les Israéliens et les sionistes continuent leurs fausses affirmations selon lesquelles Israël a fait fleurir le désert », a-t-il dit. « Ils ne peuvent que mentir. Mais que pouvons-nous faire? Ils mentent comme Goebbels. Ils mentent, mentent et mentent jusqu’à ce que les gens croient ce qu’ils disent. […] Israël occupe l’État de Palestine, confisque ses terres, et y établit des colonies juives. Israël soumet les Palestiniens à un racisme institutionnalisé, c’est l’apartheid. Depuis des décennies, les Nations unies ont adopté près de 1 000 résolutions [sur le conflit israélo-palestinien], pas une seule résolution n’a été appliquée. En conséquence, nous vous demandons aujourd’hui et de manière officielle, et en application du droit international et de la légalité, de contraindre Israël à respecter les résolutions des Nations Unies [qui condamnent toutes ces violations], ou bien de suspendre l’adhésion d’Israël à l’ONU ».
De son côté, Israël a fustigé ladite commémoration par l’ONU, la qualifiant de « consternante et répugnante »: « Cet événement est une tentative flagrante de déformer l’histoire, en négligeant le fait que ceux qui se présentent comme les victimes étaient en réalité les agresseurs, qui ont déclenché une guerre sur cinq fronts contre l’État d’Israël nouvellement créé. Cette horrible falsification ne doit en aucun cas être tolérée », a notamment déclaré Gilad Erdan, tandis qu’Eli Cohen, ministre israélien des Affaires étrangères, faisait savoir par un communiqué: « Nous combattrons le mensonge de la ‘Nakba’ de toutes nos forces et ne permettrons pas aux Palestiniens de continuer à déformer l’histoire ».
Alors que la secrétaire générale adjointe de l’ONU aux Affaires politiques et à la Consolidation de la paix, Rosemary DiCarlo, réaffirmait quant à elle la « position claire des Nations unies » selon laquelle l’occupation devait cesser » car elle était « illégale au regard du droit international », la « fête » se poursuivait dans la salle de l’Assemblée générale à travers photos, vidéos et témoignages, mais encore 2 concerts, le premier de l’artiste palestinienne Sana Mousa et le second de Nasim Al-Atrash, violoncelliste et compositeur accompagné du New York Arab Orchestra.
TJ
Ne devrions nous pas inciter l’état d’Israel à déclarer que toute résolution de l’Onu en ce qui concerne le conflit imposé à Israël par des usurpateurs terroristes qui se déclarent abusivement « Peuple Palestinien » ou Etat Palestinien, sera désormais considérée comme illégale au regard du Droit International et Onusien. A ce titre Israël rétabli dans sa Terre Sainte Ancestrale sur les Royaumes de Judee et Samarie, dont elle a été chassée par les occupants terroristes Romains, Chretiens, puis Ottomans, dénie à quiconque, y inclue les Organisations Terroristes ci dessus citées, de s’ingerer dans ses affaires intérieures. Et ce Conformement au Droit International.
L’ONU et le FMI sont les deux plus dangereuses organisations, sectes, mafias du monde.
L’ONU est à la géopolitique ce que le FMI est à la finance et l’économie.
Le FMI est à la finance et l’économie ce que l’ONU est à la géopolitique.
Peut-on espérer que l’humanité réussira un jour à se débarrasser de ces deux criminelles impostures ? C’est malheureusement peu probable, mais les États (et notamment Israël) ont le pouvoir de dénoncer leurs mensonges et doivent essayer de se soustraire à leur emprise.