Dimanche 16, lundi 17, mardi 18 avril 2023
Le Colloque se tiendra en la Mairie du 9e arrondissement, 6 rue Drouot, 75009 Paris
« COLLOQUE INTERNATIONAL »
Les Juifs et le droit en Tunisie
– du protectorat à l’indépendance (1881-1956) – Entre progrès historiques etrésilience religieuse
Organisateurs
La Société d’histoire des Juifs de Tunisie (Paris)
En collaboration avec :
Le Centre français du judaïsme tunisien
Et en partenariat avec :
Le Groupe Sociétés, Religions, Laïcités
(UMR 8582 CNRS- École pratique des Hautes Etudes)
Le Centre de la Méditerranée Moderne et Contemporaine
(CMMC-UPR 1193, Université Côte d’Azur)
Le Centre de Théorie et Analyse du Droit
(CTAD, UMR 7074 CNRS-Université Paris Nanterre)
La Bibliothèque de l’Alliance israélite universelle (AIU)
Sous le patronage de
Madame Sylvie RETAILLEAU, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
NOTE SUR LA THEMATIQUE DU COLLOQUE
OBJET DU COLLOQUE :
Le colloque a pour objectif d’étudier à la fois le statut religieux et le statut juridique du judaïsme tunisien du protectorat à l’indépendance. Il se penchera notamment sur la manière dont ces statuts furent impactés par la « modernité occidentale », notion qu’il conviendra de questionner. En d’autres termes, cette rencontre, dont l’objet se situe au carrefour d’échelles géographiques et sociales variées, se propose de renouveler notre approche culturelle – au sens le plus large – du judaïsme tunisien, à travers le prisme fécond, mais encore trop peu exploré, de la condition religieuse et de la condition juridique.
PROBLEMATIQUE :
La recherche scientifique semble inscrire l’histoire et le droit de plus en plus ouvertement dans une perspective mondiale et universelle, prenant ainsi souvent à rebours l’approche et la méthodologie épistémologiques antérieures, au risque de négliger ou de sous-estimer la richesse et la spécificité des histoires nationales, régionales et/ou locales. Si ces dernières ont, pendant longtemps, fait l’objet d’études nourries et approfondies (notamment de la part des pays occidentaux sur eux-mêmes), elles n’ont toutefois point atteint à l’exhaustivité. À l’évidence, tout n’a pas été dit, tant s’en faut, surtout concernant l’histoire du Maghreb dont la richesse, la complexité et la diversité semblent être l’un des traits majeurs. C’est particulièrement le cas pour la Tunisie, dont la population juive, installée de très longue date sur ces terres du Sud de la Méditerranée, est porteuse d’une histoire et d’une identité civilisationnelle et culturelle exceptionnelles, mais encore trop largement méconnues, en dépit des travaux estimables, datant aussi bien de la période coloniale, que des deux dernières décennies. En effet, jusque-là, la production scientifique s’est essentiellement attachée à mettre en lumière le judaïsme tunisien dans ses dimensions historiques, sociologiques, cultuelles, ritualistes et aussi dans ses rapports avec les populations musulmane et européenne, mais s’avère, en revanche, encore lacunaire à de nombreux égards.
C’est la raison pour laquelle ce colloque, résolument novateur nourrit l’ambition d’orienter et de concentrer ses recherches sur les manifestations juridiques et religieuses du judaïsme tunisien, ainsi que sur les liens qu’elles entretiennent entre elles. Conçues comme une opportunité et une occasion d’articuler « micro et macro » histoire, de relier opportunément approche locale et globale, ces rencontres se dérouleront sur une durée volontairement ramassée, afin de conserver attractivité et dynamisme). Elles s’emploieront à mettre au jour et à révéler toute la richesse de cette tradition, tant sur le plan juridique que religieux, en montrant combien l’histoire nationale d’alors, les circulations humaines, techniques et savantes initiées par les grandes puissances européennes puis développées par la colonisation, ont contribué à façonner le visage de la Tunisie, du Protectorat (1881) jusqu’à son indépendance (1956).
Axes des interventions au colloque :
Les propositions des chercheurs ayant répondu à l’appel à communication et retenues par le comité de pilotage scientifique permettent d’organiser les interventions autour de deux axes de recherche et de réflexion :
1)L’accession des Juifs de Tunisie à la « modernité » occidentale : analyse de ses manifestations juridiques et religieuses
À partir de 1881, le Protectorat français a pour effet d’ancrer les Juifs de plain-pied dans un avenir présenté comme ouvert sur le monde et débordant d’espérance. L’entrée des Juifs de Tunisie dans la « modernité » – pour reprendre la vision évolutionniste française et, plus largement, occidentale – se traduit par des manifestations tout à fait concrètes et appréhensibles sur le plan juridique et religieux qu’il conviendra d’évaluer, de mesurer, d’apprécier et de mettre en perspective. Ce sera l’objet de ce premier axe qui, notamment, consacrera ses investigations aux thématiques suivantes :
- La condition juridique des Juifs de Tunisie : en précisant toutes les implications qui en découlent, elle sera traitée tant d’un point de vue général (ainsi, les Juifs, sujets jusque-là, deviennent-ils citoyens grâce au Protectorat ?) que sous celui, très particulier, du statut de la femme juive tunisienne (quelle est désormais la place qui lui est accordée ? constate-elle une modification et une évolution notables de sa condition et de son statut ?).
- L’ordre juridique compétent et la question du pluralisme juridique : il conviendra de déterminer le droit positif dont relèvent les Juifs de Tunisie (s’agit-il du droit issu du Protectorat français, ou bien du droit issu de la jurisprudence rabbinique…, ou bien encore des deux systèmes juridiques alternativement, suivant les domaines concernés et/ou la nationalité des parties ?… Il s’agira également de tenter d’apprécier quelles places sont susceptibles d’occuper les stratégies des justiciables, de type forum shopping, par exemple) ;
- Les décisions jurisprudentielles notables : il s’agira de monter, sur la base d’exemples concrets, si la jurisprudence rabbinique fut appliquée par les tribunaux français, et si oui pourquoi, comment et quelle en est la teneur ; ou bien s’il fut fait application, quasi exclusivement, de la jurisprudence du droit français du Protectorat.
2) La réaction des Juifs de Tunisie à l’égard de la « modernité » occidentale : perplexité, circonspection, opposition : éclairage juridique et religieux
Il conviendra, ici, de montrer s’il y a eu, dans la population juive de Tunisie et/ou chez les rabbins, des mouvements d’hostilité, de résistance à la modernité occidentale, et française en particulier, considérée par d’aucuns comme un dangereux mirage, synonyme à court ou moyen terme d’assimilation et de désaffiliation d’avec le judaïsme et la halakha. Cet axe de recherche pourra être notamment envisagé à travers les interrogations suivantes :
- La jurisprudence rabbinique contre la modernité ? Les recherches se focaliseront sur le point de savoir si l’on peut parler, de la part des rabbins et au travers de la jurisprudence qui émane de leurs tribunaux, d’une offensive menée sciemment contre « l’appel d’air » et la séduction suscitée par la modernité occidentale et le risque de désaffiliation religieuse qui s’en suit pour les fidèles. La même investigation pourra être conduite à l’égard des justiciables ;
- Les courants favorables à la modernité. Ce colloque permettra également d’élargir et d’approfondir les recherches consacrées (depuis une vingtaine d’années) aux jeunes intellectuels juifs formés dans et par les Universités françaises. Si leurs idées et leurs actions ont surtout été envisagées sous l’angle de la revendication de la nationalité française et des réformes sociales, en revanche, leur vision de la juridiction rabbinique et leurs propositions de réformes sur l’organisation et la compétence des juridictions restent à analyser. Cette thématique devrait pouvoir être judicieusement complétée et enrichie par une étude spécifique dédiée au courant des Maskilim (le courant juif des Lumières). Ces derniers ayant milité pour une « modernité juive » cherchant à allier les progrès civilisationnels de la culture française et européenne avec les principes et les pratiques de la tradition juive, d’une part, et, d’autre part, s’employant à conjurer une assimilation considérée comme menaçante pour la survie des communautés juives.
- Des justiciables entre « tradition » et « modernité » ? Si certains justiciables ont très bien pu saisir les tribunaux rabbiniques pour que perdure l’ordre traditionnel, à l’inverse, la saisine de ces mêmes tribunaux a pu également être effectuée par d’autres Juifs désireux d’accéder à la modernité, mais soucieux de concilier celle-ci avec leur attachement à la tradition et, par conséquent, désireux de voir leur démarche juridiquement sanctionnée par leurs tribunaux religieux… En outre, ces investigations constitueront le cadre opportun pour s’interroger sur la pertinence des concepts de « modernité et de « tradition » dans leur contexte historique jusqu’à leur emploi actuel.
Les recherches porteront notamment sur les témoignages historiques de l’attachement qu’ont pu manifester certaines individualités ou groupes à travers leur fidélité à leur patrimoine et leur observance des prescriptions religieuses.
Il conviendra, en outre, d’analyser très scrupuleusement la position du gouvernement tunisien indépendant à l’égard de l’existence d’une juridiction rabbinique dans l’ordre juridique national et à l’égard du statut de la femme juive, alors qu’il laïcisait la justice tunisienne et qu’il émancipait la femme musulmane. Il faudra également s’interroger sur l’existence d’une « modernité » post-indépendance (inclusion-intégration des Juifs dans l’État-nation), sur les consultations et des discussions engagées entre les autorités tunisiennes et les élites juives, ainsi que sur les réactions face à la suppression du tribunal rabbinique en 1957, puis la dissolution du conseil de la communauté de Tunis en juillet 1958.
Les sources écrites, s’il en existe, comme les témoignages particuliers ou communautaires, les fonds archivistiques, écrits / ouvrages / traités…feront l’objet d’une exploitation scientifique systématique et rigoureuse.
CONCLUSION.
Le colloque pourra ouvrir une dynamique nouvelle aux chercheurs qui s’intéressent à la condition des Juifs dans le temps en initiant une forme de recherche alliant condition religieuse et condition juridique.
COMITÉ DE PILOTAGE
Joëlle ALLOUCHE-BENAYOUN, (Paris), Yossef CHETRIT, (Haïfa), Éric DESMONS, (Paris), Jérémy GUEDJ, ( Nice), Habib KAZDAGHLI, (Manouba Tunisie), Claude NATAF, (Paris), Jean-Marcel NATAF, (Paris), Florence RENUCCI, (Aix-en-Provence), Rémy SCIALOM, (Aix-en-Provence), Sandrine SZWARC, (Paris)
Dimanche 16 avril 2023
Journée des Chercheurs
Présentation de thèses et de travaux de recherches en cours sur l’histoire des Juifs de Tunisie
Accueil des participants à partir de 9h30
Première séance : 10h – 12h
DANS LES DOMAINES DES ARTS ET DE LA LITTERATURE
Sous la présidence de
Joëlle ALLOUCHE-BENAYOUN, Maître de conférences honoraire, associée GSRL (CNRS-EPHE)
LA MÉMOIRE VIVANTE DE HABIBA MESSIKA (1930-2022)
Faten Bouchrara
Université de Manouba (Tunisie)
LE ROMAN DE MICHEL VALENSI
« L’EMPREINTE » : UNE HISTOIRE SÉFARADE D’EXIL
Meriem Ben Mansour
Faculté des Lettres et Sciences Sociales de Tunis
QUELQUES ÉLÉMENTS DE LA VIE D’ALBERT SAMAMA CHIKLY
ET SON ŒUVRE PHOTOGRAPHIQUE
Tarak Mahdaoui
Université de Manouba (Tunisie)
FILMER CARTHAGE
Jean-Denis Bonan
Cinéaste
Deuxième séance : 14h – 16h
QUESTIONS POLITIQUES AU FIL DES ÉVÈNEMENTS
Sous la présidence de
Mireille HADAS-LEBEL
Professeur émérite à l’Université de Paris- Sorbonne
LA LIBERTÉ DES PROTÉGÉS. LES MONARCHIES MAROCAINE ET TUNISIENNE SOUS PROTECTORATFRANÇAIS
Antoine Perrier
Sciences Po Paris
LES ACTIVITÉS DE L’ÉLITE JUIVE EN TUNISIE DANS L’ÉCONOMIE TUNISIENNE ET SON INFLUENCE SUR LA POLITIQUE IMPÉRIALE FRANÇAISE 1830-1881
Nimrod Koren
Université Libre d’Israël
UN PROJET DE RECHERCHE : LES RETRAITS DE LA NATIONALITÉ FRANÇAISE EN TUNISIE PAR LE GOUVERNEMENT DEVICHY
Léonard Pecout-Bourel
Université de Paris I Panthéon-Sorbonne
FEMMES COMMUNISTES EN TUNISIE
Élise Abassade
Université Paris VIII Vincennes Saint-Denis
Troisième séance : 16h15– 18h15
À PROPOS DE DESTINS INDIVIDUELS ET COLLECTIFS
Sous la présidence de
Valérie ASSAN
Chercheuse GSRL-CNRS EPHE
LES JUIFS DES TERRITOIRES MILITAIRES DU SUD TUNISIEN
Mohamed El Houch
Université de Manouba (Tunisie)
ALBERT CATTAN : FRANÇAIS, JUIF ET SOCIALISTE DANS LA TUNISIE DU DÉBUT DU XXE SIÈCLE
Keren Halamit
Université hébraïque de Jérusalem
LES JUIFS DE TUNISIE DANS L’ARMÉE FRANÇAISE DURANT LES DEUX GUERRES MONDIALES
Marie-Anne Guez
Université Paris I Panthéon-Sorbonne
LE DÉPART DES ENFANTS JUIFS TUNISIENS POUR LA FRANCE DANS LES ANNÉES 1960-1970
Lisa Akrich-Boujenah
Université de Tel-Aviv
Lundi 17 avril 2023
Mairie du 9e arrondissement 6 rue Drouot 75009 Paris, 9h45
OUVERTURE DU COLLOQUE
Première session : 10h– 12h
PERSPECTIVES GÉNÉRALES :
LE STATUT JURIDIQUE ET RELIGIEUX DES JUIFS DE TUNISIE
À TRAVERS LA PRESSE, LES REVUES ET LES ÉCRITS
Sous la présidence de :
Habib KAZDAGHLI
Doyen honoraire de la Faculté des Lettres et des Arts de Manouba (Tunisie)
LES ISRAELITES DE TUNISIE,
LEUR CONDITION CIVILE ET POLITIQUE DE JACQUES CHALOM (1907) :
UN ESSAI DE LECTURE POLITIQUE ET CULTURELLE
Jérémy Guedj
Université de Côte d’Azur
NORME JURIDIQUE ET ORDRE RELIGIEUX À TRAVERS LA REVUE
« LA TUNISIE JUDICIAIRE »
Abdelkrim Allagui
Université de Tunis
LA PRESSE JUIVE EN TUNISIE COMME EXPRESSION ET COMME FACTEUR DE MODERNISATION
Haïm Saadoun
Université libre d’Israël
Deuxième session : 14h – 15H30
LES JUIFS À L’EPREUVE DE LA MODERNITÉ : HASKALAH ETINFLUENCE FRANCAISE
Sous la présidence de :
Jean-Louis HALPERIN
Professeur à l’Université Paris-Nanterre
LA HASKALAH HÉBRAïQUE ET JUDÉO-ARABE EN TUNISIE :
UNE TENTATIVE DE BILAN
Joseph Chétrit
Université de Haïfa
LES AVOCATS DE TUNISIE ET L’EXTENSION DE LA COMPÉTENCE
DE LA JURIDICTION FRANÇAISE AVANT LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE :
REGARDS CROISÉS
Jean-Marcel Nataf
C.F.J.T
L’INFLUENCE DE LA PRÉSENCE FRANÇAISE EN TUNISIE
SUR L’ACTIVITÉ DU TRIBUNAL RABBINIQUE
SOUS L’AUTORITÉ DU GRAND RABBIN ISRAËL ZITTOUN (1898-1921)
Yuval Haruvi
Université de Tel-Aviv
Troisième session : 16h – 17h 30
TOURNANT ET CHOIX CIVILISATIONNEL POUR LES JUIFS DE TUNISIE: NATIONALITÉ, NATURALISATION, IDENTITÉ, JURIDICTIONS
Sous la présidence de :
Jean-Claude KUPERMINC
Directeur de la Bibliothèque de l’Alliance Israélite Universelle
ACCORDER LA NATIONALITÉ FRANÇAISE
ET CHANGER DE JURIDICTION EN TUNISIE DANS L’ENTRE-DEUX GUERRES :
LE CAS DES NATURALISATIONS FRANÇAISES DES JUIFS TUNISIENS
Jihane Ben Salah
EHESS-ENS
LA NATIONALITÉ DES JUIFS EN TUNISIE COLONIALE :
DROIT FRANÇAIS ET DROIT RABBINIQUE
Jessica Marglin
University of Southern California (USC)
D’UN TRICOLORE À L’AUTRE?
LA NATURALISATION FRANÇAISE DES JUIFS ITALIENS DE TUNISIE :
PARCOURS JURIDIQUES ET SOCIAUX (1881-1956)
Martino Oppizzi
École française de Rome
Mardi 18 avril 2023
Quatrième session : 9h45-11h45
OUVERTURES : INDÉPENDANCE ET PERSPECTIVESD’AVENIR
Sous la présidence de :
Joseph CHETRIT
Vice-Recteur honoraire de l’Université de Haïfa
LECTURE RAISONNÉE À PARTIR D’UNE MÉMOIRE TOURMENTÉE :
LES SOUVENIRS DE CHARLES HADDAD SUR LES ANNÉES DE TRANSITION DU STATUT DE LA COMMUNAUTÉ JUIVE ENTUNISIE (1954-1958)
Habib Kazdaghli
Université de Manouba (Tunisie)
L’ORGANISATION DU CULTE ISRAÉLITE EN TUNISIE
PENDANT LA PÉRIODE COLONIALE ET SON ÉVOLUTION À PARTIR DE 1958
Afef Mbarek
Université de Manouba (Tunisie)
AUTOUR DE L’EXTENSION DU CODE DE STATUT PERSONNEL AUX TUNISIENNES DE CONFESSION JUIVE
Faten Bouchrara
Université de Manouba (Tunisie)
LA SUPPRESSION DE LA JURIDICTION RABBINIQUE
ET LA DISSOLUTION DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES DÉCIDÉES EN TUNISIE APRÈS L’INDÉPENDANCE:
UNE VOLONTÉ POLITIQUE D’INTÉGRATION D’UNE MINORITÉ RELIGIEUSE PAR LE DROIT ?
Claude Nataf
S.H.J.T.
11H45-12H30 SÉANCE DE CLÔTURE
Sous la présidence de :
Abdelhamid LARGUECHE
Professeur émérite à l’Université de Manouba (Tunisie)
Rapport de synthèse
Rémy Scialom
Université d’Aix-Marseille
Clôture du colloque
Ce colloque est organisé avec le soutien :
- du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères
- de la Ville de Paris
- de la Mairie du 9ème Arrondissement de Paris
- de l’Ambassade de France en Tunisie
- de l’Alliance Israélite Universelle
- de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah
- de l’Institut Alain de Rothschild
- des Fondations Edmond de Rothschild
- de la Fondation Shalom Flack
- de la Société GTA ENERGIES
Fondation Shalom Flack
Renseignements et inscriptions
Inscription en Ligne obligatoire sur le site
Programme complet sur le site
www.shjt.fr
Pour tous renseignements s’adresser :
Société d’histoire des Juifs de Tunisie (SHJT) Maison de la Vie associative et citoyenne BAL 40
54, rue J.B. Pigalle 75009 PARIS
A quoi sert ce colloque sur la Tunisie et ses anciens citoyens juifs quand ce pays ruiné économiquement, intellectuellement socialement, scientifiquement est un pays raciste qui traite israel d’entité sioniste refusant l’émeritat à un ancien doyen quia discuté à paris avec des universitaires israéliens
La Tunisie colle l’Algerie ont raté leur indépendance l’un parses généraux arabes et l’autre par l’absence de personnalité non corrompu après la mort du Président Bourguiba quia avait tracé pourtant une voie prometteuse
Il ne faut plus aller en Tunisie et. Ce colloque avec des arabes tunisiens est une erreur
Les arabes sont des simulateurs et des menteurs et falsificateurs de l’histoire
Votre colloque devrait être annulé eu égard au racisme de ce pays d’apartheid comme tous les pays arabes
Combien reste-t-il de juifs dans ce pays sous développé qui pourtant avaient combattu pour l’indépendance donnée par le français juif Mendes France l’homme de la décolonisation ? 500 ou 1000 sur 150000 principalement parqués à Djerba
Il ne faut plus rien attendre de ces pays arabes dont leur économie repose sur le tourisme et le gaz pétrole qui bientôt n’auront plus de valeur dans la future décennie
Tous ces pays arabes et musulmans d’AFN et du PO. vont s’écrouler
Quant aux accords d’Abraham je n’y crois pas du tout et Israël donne son savoir-faire et ses armements à des pays qui n’hésiteront pas de l’attaquer ou de céder leurs armements israéliens
Quia organisé ce colloque alors que l’es arabes tuent des juifs en France et en Israël
Il n’y a donc aucun respect des français juifs ex tunisiens pour leurs frères et sœurs juifs assassinés par ces arabes
Honte à ces juifs de se mêler avec cette racaille arabe
Vous ne vous souvenez pas de notre principe : Zahor n’oublie pas mais vous Juifs vous oubliez vite
Vous devriez être poursuivi en justice pour votre incitation à la haine, bande de voyou!! Vous vous cachez derrière un écran en virtuel et dans un sous sol comme un rat ,dans le réel .la Tunisie et les arabes sont fiers des juifs qui nous foutent la paix , vive la Palestine et à bas la dictature et l’apartheid Israélien ✌✌
incohérent !
@ Fred
incohérent !