Le premier ministre (PM) Benjamin Netanyahou, récemment élu, mène au pas de charge une réforme judiciaire controversée qui divise la société israélienne. Il fait face désormais à une opposition grandissante et semble débordé par ses alliés de la droite radicale.
L’assaut du Capitole, le 6 janvier 2021, par des soutiens de l’ancien Président US, Donald Trump, avait provoqué la stupeur du monde libre qui assistait incrédule à l’invasion du plus haut symbole de la démocratie américaine par des émeutiers. Ce qui se passe en Israël, seule démocratie du Moyen-Orient, n’est pas moins inquiétant. Pour ses détracteurs, la réforme judicaire en cours, verrait la disparition de l’indépendance de la Justice qui serait soumise au seul pouvoir politique. Malgré les appels à la concertation venant de toutes parts, d’Israël et de l’étranger, pour l’heure, le chef du gouvernement, Benjamin Netanyahou, ne semble pas mettre un frein à son projet.
Le contexte de la réforme judiciaire israélienne
Pour les tenants de la refonte judiciaire, le dernier mot, en toutes choses, devrait revenir au gouvernement car il est « l’émanation de la volonté du peuple ». En ligne de mire, la plus haute juridiction du pays qui en l’absence de Chambre Haute et de Conseil Constitutionnel, représente le seul contrepouvoir au politique avec une double fonction de Haute Cour de Justice et de Cour Suprême. C’est à la fois la représentativité des juges, leur mode de désignation et l’étendue de leurs prérogatives qui sont remises en cause. Comme il n’existe pas à proprement parler de Constitution, contrairement à la France par exemple, mais une Loi Fondamentale, toute réforme, même si elle est justifiée, porte en germe une menace potentielle d’atteinte à la séparation des pouvoirs. Ce qui devrait inciter à la prudence et à la concertation.
Ce qui interpelle, même les plus modérés, c’est le timing de cette réforme et d’autres projets de lois tout aussi contestés comme la limitation des cas de destitution d’un PM. En effet, Netanyahou est sous le coup de trois mises en examens. Et le plus puissant allié de sa coalition, le chef du parti religieux sépharade Shass, Aryé Déri, condamné par deux fois par la justice, ambitionne d’occuper, contre l’avis des juges, un poste ministériel de premier plan. Il avait pourtant signé un accord de retrait de la vie politique en échange d’une réduction de peine. Cette réforme mettrait sous leur coupe les juges qui seraient amenés à statuer sur leur sort. Les opposants pointent un conflit d’intérêt évident.
Le paradoxe israélien : entre instabilité politique et croissance économique
Les quatre dernières années ont vu alterner à un rythme soutenu élections et gouvernements. Malgré cela, l’économie s’est développée et la « Start-up Nation » a réalisé des avancées géopolitiques considérables, comme rarement auparavant, tels les accords d’Abraham. Cette instabilité est la conséquence directe de la proportionnelle intégrale qui impose la constitution de coalitions artificielles et fragiles entre des partis parfois très distants sur l’échiquier politique. Souvent, le plus petit joue le rôle de faiseur de roi et pose ainsi des exigences démesurées par rapport à son poids réel.
Si l’on peut mesurer l’exploit politique d’une longévité rare aux commandes du pouvoir (6ème gouvernement Netanyahou), « Bibi », comme l’appelle ses partisans, n’a pu l’emporter cette fois-ci que pour deux raisons. Par des alliances contre nature nouées entre son parti, le Likoud (équivalent israélien du LR français), et trois petites formations radicales. Ainsi qu’une légère élévation du seuil d’éligibilité qui a forcé ces partis d’extrême droite à fusionner afin de passer la barre du scrutin, pour se séparer peu de temps après. Aussi, l’inoxydable PM a dû multiplier les concessions et promettre des postes ministériels à ses nouveaux alliés au détriment de ses compagnons de route. Au final, cela a donné une courte majorité de 64 députés sur les 120 que compte la Knesset (le parlement israélien) pour moins de 50 000 voix d’avance pour la coalition la plus à droite de l’histoire d’Israël.
Une opposition venant de tous les secteurs de la société israélienne
La crise politique actuelle, contrairement à ce que rapportent trop souvent les médias, ou certains membres de la coalition, n’est pas l’opposition de la « gauche mauvaise perdante » contre la droite victorieuse, des laïcs contre les religieux ou de « l’élite intellectuelle ashkénaze (juifs d’Allemagne et d’Europe de l’Est) contre « la masse laborieuse sépharade » (juifs d’Espagne, des pays arabes et orientaux) » qui se superposerait à celles des juifs contre les non-juifs.
Depuis le début de la contestation, il y a 9 semaines, le nombre de manifestants ne cesse de croitre (jusqu’à 500 000 personnes pour un pays de 9 millions d’habitants). Elle touche désormais tous les secteurs de la société israélienne. On voit pêlemêle des citoyens juifs originaires du monde entier, des laïcs côtoyant des kippot (calotte religieuse), des électeurs de droite et de gauche. Toutes les classes sociales et professions sont représentées, patrons de start-up, universitaires, secteur de la santé, avocats, juges jusqu’aux aux conditions les plus modestes. Tous les âges se sentent concernés, des rescapés de la Shoa, des vétérans de toutes les guerres aux jeunes couples avec leurs enfants. Les appels venant de la population druze ou du secteur arabe se multiplient et convergent dans la même revendication que leurs concitoyens juifs qu’ils côtoient au quotidien. En contrepoint, les soutiens de l’action gouvernementale sont bien maigres, et peinent à se faire entendre.
La grande muette donne de la voix !
Mais le coup de tonnerre est venu lorsque les institutions censées protéger le pays, l’armée dont des commandos d’élite, des pilotes, nombre d’officiers de très haut rang, les services de renseignement extérieur ou intérieur (le Mossad et le Shabak) sont montés aux créneaux en menaçant de ne plus servir, de ne plus participer à la réserve active ou aux exercices, si aucun consensus n’était atteint. Tsahal, première ligne de défense d’Israël, composée à majorité d’appelés et de réservistes, est un véritable outils d’intégration et d’émancipation. Elle est le ciment de cette société qui vit dans l’une des régions les plus violentes du monde. Ce n’est pas d’un coup d’Etat militaire qu’il faut se méfier car ces femmes et ces hommes revendiquent haut et fort leur attachement à l’Etat de droit. Leur prise de position est un appel à la raison d’un pays divisé et en plein désarroi, dont la majorité n’acceptera pas un « coup d’Etat institutionnel ». Ce que confirme plusieurs études récentes montrant une baisse des intentions de vote pour la coalition qui ne l’emporterait probablement pas si de nouvelles élections devaient avoir lieu prochainement.
Les impacts négatifs sont déjà visibles
Devant ce rejet massif et le risque de fracture de la société, de nombreuses voix, toutes sensibilités confondues, ont appelé à la conciliation et à ce qu’il n’y ait pas d’ingérence de la politique dans l’armée. Parmi moult personnalités de premier plan, le président de l’Etat, Isaac Herzog, la présidente de la Cour Suprême, Esther Hayot, la procureure générale, Gali Baharav-Miara et les conseillers juridiques du gouvernement ont demandé instamment à la coalition d’arrêter le processus législatif et que tous les protagonistes entament un dialogue pour éviter une confrontation. Cependant, les ministres d’extrême droite Itamar Ben Gvir et Betsalel Smotrich multiplient les provocations et jettent de l’huile sur le feu entre les communautés dans une situation sécuritaire des plus précaires.
Alors qu’Israël faisait figure d’exception avec une économie florissante malgré la pandémie, la guerre en Ukraine et multipliait les succès diplomatiques, aujourd’hui tous les indicateurs s’affolent. L’économie a besoin, plus que tout, de stabilité. Or, la situation est volatile. Déjà certains acteurs majeurs de l’économie mondiale menacent de retirer leurs investissements, les agences de revoir leur notation, les banques sonnent l’alarme, et les start-up, fleurons de la high-tech made in Israël, commencent à se délocaliser. En réponse à ces menaces et malgré l’urgence de la situation, la ligne suivie par le PM reste floue. Il hésite à museler ses encombrants alliés, sous peine d’implosion de sa coalition, et alterne les annonces d’ouverture tout en multipliant les gestes contraires.
Cette réforme arrive au plus mauvais moment de l’agenda local et international
Au niveau local, l’Autorité Palestinienne est au bord de l’implosion. Son Président, Mahmoud Abbas, âgé de 88 ans, initialement élu pour un mandat de 4 ans, ne survit que grâce à la protection des services de sécurité hébreux. Il ne contrôle plus ni Gaza ni la rue palestinienne de Cisjordanie. La recrudescence actuelle des actes terroristes en Israël doit être analysée dans le contexte d’une guerre de succession du vieux Raïs, où les groupes armés, et en tout premier lieu le Hamas (branche palestinienne des frères musulmans), se livrent à une surenchère via « l’ennemi commun ».
La situation internationale, quant à elle, n’a jamais été aussi instable depuis des décennies. Elle est dominée par une administration américaine dont la faiblesse et le manque de vision globale marginalisent les USA dans les affaires du monde, laissant ainsi la place à des acteurs comme la Russie, la Chine ou l’Iran dont les régimes sont très éloignés du modèle démocratique.
En particulier, la République islamique d’Iran qui appelle régulièrement à la destruction de l’Etat Juif, serait désormais au seuil nucléaire. Elle possèderait suffisamment d’uranium hautement enrichi pour confectionner une ou plusieurs bombes. Cependant, malgré l’apathie de la communauté internationale, la Théocratie chiite est régulièrement tenue en échec par l’Etat hébreu dans tous les théâtres d’opération, y compris sur son propre territoire. Sans ses interventions, Téhéran aurait déjà l’arme nucléaire depuis plusieurs années. Néanmoins, l’une des seules arènes où les Mollahs perses peuvent infliger des pertes sanglantes à « l’entité sioniste », c’est en soutenant et en instrumentalisant localement les groupes terroristes palestiniens et le Hezbollah libanais dans leur lutte contre Israël.
Plutôt que de se préparer au mieux pour contrer ces menaces existentielles, le gouvernement Netanyahou, par sa refonte judicaire, divise le pays et fragilise ses forces armées.
Quelles issues à la crise ?
Malgré les arguments de façade de « restaurer la démocratie confisquée par les juges », rien ne justifie la frénésie législative actuelle. Hormis, par l’instauration du contrôle de l’appareil judicaire par le politique, d’éviter au chef de l’exécutif de se voir infliger une condamnation dans les affaires en cours, et ce à un prix exorbitant pour le reste de la population. En extrapolant, ce système permettrait à l’équipe en place de se maintenir indéfiniment au pouvoir en repoussant, pour des raisons fallacieuses, les prochaines élections comme cela s’est vu sous d’autres latitudes. Mais cela, les israéliens ne sont pas prêt à l’accepter. S’ils sont disposés à servir au péril de leur vie, ce n’est pas pour un gouvernement, mais au nom d’un ensemble de valeurs partagées, dont le caractère démocratique du pays, comme en témoignent les nombreux manifestants scandant le mot « Démocratie » dans les rues de tout Israël.
Si La coalition persiste dans cette voie, la confrontation est inévitable. On passera d’une crise politique à une crise constitutionnelle. La Cour Suprême invalidera les dernières lois pour « anticonstitutionnalité » car non conformes avec la Loi Fondamentale. Les corps constitués, devront alors choisir entre obéir au gouvernement ou à la Cour. Et par nature, c’est à cette dernière, étant la plus haute instance du pays qu’ils feront allégeance. Il se peut également qu’avant même cette échéance, la coalition perde sa majorité par défection de partenaires dont les promesses n’auront pas été tenues, on parce que la jeune garde du Likoud y verra l’occasion de prendre les rênes du parti en mettant sur la touche leur leader usé par le pouvoir.
En définitive, si Benjamin Netanyahou veut éviter de rester dans les livres d’histoire comme étant celui qui a fracturé le pays, en tentant de sauver sa personne, les options sont limitées. La meilleure solution, avant qu’un drame ne se produise, à l’image de l’assassinat d’Itzhak Rabin, serait de signer un accord avec la Justice. Il s’y engagerait à quitter définitivement la vie politique (avec des garanties suffisantes) en échange d’un abandon des poursuites. Ce qu’ont proposé certaines des personnalités les plus éminentes du pays.
Les leçons de la crise politique israélienne
La situation Israélienne est un cas d’école. Elle est prémonitoire de ce qu’il pourrait arriver à des pays de longue tradition démocratique et en particulier en Europe, à la faveur d’une période d’instabilité : la tentation illibérale, fût-ce à la suite d’une élection.
La démocratie ne se réduit pas aux seuls rendez-vous électoraux. Le 3ème mandat conféré à l’unanimité au président chinois Xi Jining en est la parfaite illustration. Il ne s’agit pas non plus de la loi du plus fort imposée par la majorité au reste de la nation. Dans un régime démocratique, une fois élu, le détenteur du pouvoir doit cesser d’être un chef de parti pour gouverner au nom de tous les citoyens, y compris ceux qui ne lui ont pas accordé leur bulletin. Il devient le garant des libertés, du respect des minorités et des institutions. Car un vote n’est pas un blanc-seing donné à toutes les décisions du gouvernement. Elles peuvent être critiquées et contestées ; le droit de manifester étant une liberté fondamentale. En définitive, l’exercice du pouvoir, c’est avant tout la recherche d’un compromis. S’il venait à l’oublier, la rue ne tarderait pas à le lui rappeler. Et la revendication de la victoire aux précédentes élections ne serait d’aucun secours. Comme on peut le constater aujourd’hui de Jérusalem à Tel Aviv, mais également en France avec la réforme des retraites.
Souvent, par manque de programme politique, on avance la nécessité de changer les modalités électorales en y mettant « une dose de proportionnelle » plus ou moins grande. L’exemple israélien est là encore pour nous rappeler que ce n’est peut-être pas la panacée que l’on croit. C’est une disposition à manier avec beaucoup de discernement.
Mais les plus grands dangers sont l’absence de limitation au nombre de mandats exercés et le piège de l’Homme ou de la Femme providentiel(le). Dans certains pays, comme la France, le premier cas ne se pose pas dans l’immédiat car des restrictions ont été imposées. Mais, ce péril pourrait resurgir à la faveur d’une refonte constitutionnelle diligentée par une personnalité charismatique qui voudrait pérenniser sa mainmise sur le pouvoir. Ce dernier est une « drogue dure », et il est rare que son détenteur le quitte spontanément si le système ne l’y contraint pas. En corolaire, un pays qui ne regorgerait pas de personnes compétentes et talentueuses qui pourraient présider à son avenir ne pourrait survivre dans un monde en perpétuel mouvement. D’où la nécessité d’un renouvellement de la classe politique et des élites en constituant un vivier de futurs dirigeants et de décideurs.
Aujourd’hui, la France est à la croisée des chemins. Habitués à l’État providence, nous avons du mal à accepter des changements nécessaires si l’on veut préserver l’essentiel des mesures qui font notre fierté : la santé et l’éducation pour tous, la retraite par répartition ou les différentes aides sociales. Un nombre sans cesse croissant d’électeurs semblent déçus par les partis traditionnels, leur attitude et leur programme. En conséquence, ils ont fait monter les extrêmes de droite comme de gauche aux dernières élections. Les élus LFI enhardis par leur leader, Jean-Luc Mélenchon, ont multiplié les actes de provocations jusqu’au sein de l’Hémicycle et cultivé des liens avec ceux qui défient la République par intérêt clientéliste, alors que tout devrait les en éloigner. Ce faisant, ils ne font que renforcer le RN, qui engrange des gains politiques et acquière de la respectabilité, même ou surtout, en adoptant une attitude de retenue apparente. Le risque est que par pur rejet de l’establishment, une majorité se dise qu’après avoir tout essayé pourquoi ne pas miser sur « le parti de la fille de son père » ? Comme, le terreau, le noyau dur de ce parti et son logiciel idéologique sont bien éloignés du modèle Républicain, le danger est grand qu’une fois au pouvoir il soit difficile de l’en déloger.
Aussi, une lecture attentive et sans parti pris de la crise politique israélienne devrait faire réfléchir collectivement les élus, les électeurs et les médias, en France mais également ailleurs. Il en va de notre avenir !
© Hagay Sobol
Médecin oncogénéticien, Responsable du Laboratoire d’oncogénétique moléculaire à l’IPC, Hagay Sobol est l’un des pionniers de la génétique du cancer en Europe et Fondateur du Groupe Génétique et Cancer (GGC) de la Fédération UNICANCER. Professeur de Médecine, il est également spécialiste du Moyen-Orient et des questions de terrorisme.
Votre explication est interressante et aborde le probleme sous un angle nouveau pour moi qui ne maitrise pas la situation en Israel, il est effectivement symptomatique que des patriotes authentiques se signalent par des declarations aussi tranchées , et meme un electeur de droite comme moi ne peut etre que lourdement troublė , les israeliens de gauche sont mes freres et je me soucie d eux autant que des autres .
Pour votre chapitre sur la France , je ne vois pas dans votre explication une mention concernant la pantalonnade qui a permis au fantoche actuel d etre » president » ou l irrespect total que lui et ceux qui ont magouillé avec lui nourrissent a l egard de la democratie .
T amouyal,
Merci pour votre commentaire.
Le dialogue doit être la méthode et non pas le passage en force. Moshé Rabaénou fut puni sévèrement lorsqu’il frappa le rocher (au nom de l’Eternel) plutôt que de lui demander de faire jaillir de l’eau. Même si la coalition avait raison, la méthode inquiète surtout dans une période de tension exacerbée qui exige l’unité.
Quant à la France, j’ai abordé le sujet en filigrane, en parlant des manifestions au sujet de la réforme des retraites et surtout, je me suis projeté à l’étape suivante l’après Macron qui m’inquiète beaucoup…
Mr Sobol , pour ce qui concerne la France , moi c est le Macron actuel qui m inquiete : si vous accordez un peu de valeur a la democratie , vous ne pouvez pas lui accorder une quelconque legitimité , il est issu de deux coups de forces successifs qui ont laminé ce qui subsistait de democratie dans çe pays , le RN , puisque en bon bienpensant c est a lui que vous pensez , est arrivé a l assemblée a la » loyale » et se comporte avec dignitė depuis ; je ne suis pas un juif pour le RN et jamais ne ne voterai pour eux, mais force est de constater que les magouilleurs qui ont imposé le fantoche actuel et son parti totalement bidon auront fait le lit du pouvoir d. Extreme droite qui arrive a grand pas dans ce pays .
L ambiance insurrectionnelle actuelle donne un apercu de ce que sera le chaos français tres bientot et les responsables sont les fossoyeurs de la democratie qui ont detruit la democratie .
T amouyal,
Macron a été légitimement élu et cela ne fait aucun doute. Pour autant les électeurs lui rappellent qu’une élection ne fit pas tout et qu’il nt encore leur mot à dire. Le droit de vote est légitime également.
Dans es deux cas ce qui pose problème, c’est la méthode. Manque de dialogue de l’un et opposition radicale.
Pour le reste, vous faite le même constat que les extrémités de l’un (LFI) font monter l’autre (RN) qui loin de s’être assagi attend tapis dans l’ombre son heur.
Dire que Macron est responsable de la monté du R(F)N est de la même eau que d’accuser Léon Blum d’avoir causer la guerre.
Il y a les acteurs et derrière ceux qui instrumentalisent la crise.
Et in fine le grand gagnant sera l’antisémitisme qui au lieu de condamner toutes les banques n’en retient qu’une la Banque Rothschild. Pourquoi (je l’ai entendu de la bouche d’un leader syndical) ?
Mr Sobol,
Si vous considerez la destruction de Fillon en quelques heures en 2017( par un organisme 100% made in PS ) , ou la non campagne et le non programme de 2022 , ( puis le theatre organisė avec Le Pen) comme des processus democratiques , nous ne partageons vraiment pas la meme approche de ce que doit etre une election democratique !!!
Je fais donc partie des 53% de citoyens qui ne validerent pas cette derniere pantalonnade , et , croyez moi , je suis totalement republicain et engagė dans la democratie , mais trop c est trop , et le naufrage actuel trouve une partie de son origine dans ce carnaval sans nom.
..« Malgré les arguments de façade de « restaurer la démocratie confisquée par les juges », rien ne justifie la frénésie législative actuelle. Hormis, par l’instauration du contrôle de l’appareil judicaire par le politique, d’éviter au chef de l’exécutif de se voir infliger une condamnation dans les affaires en cours, et ce à un prix exorbitant pour le reste de la population. »…c’est extrêmement choquant de considérer sous cet angle infamant le Premier Ministre qui mettrait en danger son pays pour lequel il s’est tant battu
pour soi-disant échapper à une justice qui le harcèle depuis 7ans pour des procès sans fondement comme l’a affirmé Mtre Dershovitz lui-même.
Bien d’accord avec vous Myriam!
Dire que Bibi est prêt à faire exploser Israël pour échapper à un procès sans fondements et sans preuves est délirant . Ils ont fini par croire à leurs mensonges ! Ce sont des nuls et surtout des jaloux !
André,
Vous conviendrez tout de même que le timing est mal choisi d’une réforme radicale passée au forceps alors que la situation sécuritaire n’a jamais été aussi grave depuis la dernière guerre et requière l’unité face au danger.
Myriam,
C’est cela une démocratie… Avoir le droit de dire des choses qui déplaisent au pouvoir. Et si pouvoir veut y rester d’y répondre.
Raison pour laquelle j’ai repris la célèbre phrase de Churchill. Malgré les services rendus, les électeurs l’ont remercié car il leur fallait au autre horizon politique et du renouvellement. Même si c’était pour le rappeler par la suite. Le pouvoir use et une petite cure d’opposition fait toujours du bien pour se ressourcer. Le plus simple, le plus éthique et le plus sain étant le renouvellement régulier des élites au pouvoir.
En attendant dans les faits Netanyaou a été plébiscité pour mener à bien son programme et l’opposition menée par Lapid sème le chaos et semble prête à détruire le pays pour renverser le gvt avec l’aide financière d’officines étrangères !
Myriam
« Dans un régime démocratique, une fois élu, le détenteur du pouvoir doit cesser d’être un chef de parti pour gouverner au nom de tous les citoyens, y compris ceux qui ne lui ont pas accordé leur bulletin. Il devient le garant des libertés, du respect des minorités et des institutions. Car un vote n’est pas un blanc-seing donné à toutes les décisions du gouvernement. Elles peuvent être critiquées et contestées ; le droit de manifester étant une liberté fondamentale. En définitive, l’exercice du pouvoir, c’est avant tout la recherche d’un compromis. »
myriam,
Netanyahou a réussi à constituer une coalition, comme l’avaient fait auparavant (Lapide et Bennett) dont le premier clamait haut et fort qu’elle était illégitime…
Victoire démocratique certes mais non plébiscite au sens premier du terme. Ni l’un ni les autres n’ont reçu directement le pouvoir du peuple mais suite à la constitution d’une coalition dont le composantes ne représentaient pas forcément la majorité.
Ensuite comme en France, une élection ne fait pas tout. Le peuple a le droit de le dire et de manifester.
Enfin, ce serait bien la première fois que les politiques tiendraient leurs promesses et appliquant tout leur programme… Aller dire cela aux français en ce moment d’accepter sans sourciller la réforme des retraites.
Quant aux critiques de destruction du pays, en tant que chef de gouvernement on ne doit gouverner contre le reste de la société mais pour tous y compris l’opposition.
C’est cette attitude qui détruit le pays et oppose la coalition à ces plus précieux représentants, ceux qui assurent sa sécurité.
Je ne répond même pas aux accusation de financement occulte de l’opposition. Parmi les très nombreux manifestants, il y a l’élite économique du pays, celle qui assure le miracle israélien d’être une start-up nation.
Hagay Sobol : Ecrire que la réforme judiciaire sert les intérêts de Netanyahu, est une contrevérité, ce la fait disant que l’on en parle, et son procès tourne en eau de boudin, car il s’avère que les soit-disant témoins ont subi un chantage odieux. Par ailleurs, Le Likoud pour lequel le peuple a démocratiquement voté n’a jamais caché son intention de mener à bien la réforme judiciaire. Je vous signale qu’Allemagne et dans bien des pays occidentaux, c’est le gouvernement qui nomme les juges. IL EST SCANDALEUX que des ONG étrangères fiancent les manifestations. On ne vous a guère entendu Mr Sobol lorsque le gouvernement Benett/Lapid était soumis au chantage des députés arabes. Alors STOP!!!
Frenkel,
Le problème central de cette réforme est qu’elle supprime tout contre pouvoir aux politiques en subordonnant aux élus leur nomination. Car contrairement aux autres pays démocratiques, en Israël, il n’y a ni chambre haute (Sénat français), ni cours constitutionnelle dont le rôle est assuré aujourd’hui par la cour suprême.
Ensuite reprendre les arguments de la défense de Netanyahou n’en fait pas une vérité. Il est présumé innocent jusqu’au jugement. S’il est condamné, il ira en appel face à des juges indépendants come aujourd’hui ou nommés par lui… Que croyez vous que feront les derniers …? Enfin, un procès c’est long, surtout si les charges n’en fissent pas de pleuvoir, technique très connues= dans certains milieux pour noyer la procédure
et la faire durer indéfiniment…
Oups ! Veuillez lire cela fait DIX ANS que l’on en parle
Frenkel (suite),
J’avais oublié de vous remercier de me lire si attentivement que vous suivez tous mes articles. J’en profite pour étayer ma réponse.
Les électeurs du Likud ont voté pour le Likud. Mais sont-ils d’accord avec Ben Gvir ou Smotrich. Apparemment un certain nombre non, car on les retrouve dans les manifestations ou menacent de plus voter les autres lectures lectures de la réforme à la Knesset.
Quelles sont vos preuves pour affirmer que les manifestants sont payés par des officines étrangères. Croyez vous vraiment que les cadres du Mossad, du Shin Bet de l’armée, les chefs d’entreprises et de Start up sont des traitres ?
Il n’y a jamais eu de toute l’histoire d’Israël aussi peu d’élus ayant fait leur service militaire dans un gouvernement. Et ce sont eux qui veulent baronner les défenseurs du pays qui risquent leur vie pour toutes et tous ?
La majorité des femmes et bon nombre d’hommes laïcs et religieux ne veulent pas non plus l’extension des prérogatives des tribunaux rabbiniques avec le risque de favoriser les hommes au détriment des femmes dans les litiges comme malheureusement on le constate trop souvent. La même justice pour tous voilà ce qu’ils réclament. Ce sont des traitres eux aussi payés par des officines étrangères ?
Beaucoup d’erreurs factuelles à commencer par l’engagement de Derhy de ne plus s’engager en politique. Même l’ancien Procureur général Mendelblit a reconnu que cela n’était pas vrai. Rien dans cet article qui n’évoque l’actuelle dictature du judiciaire auto-proclamée « raisonnable et éclairée » contre le pouvoir judiciaire ou administratif ni le fait que de nombreux partisans jadis de la réforme emboîtent le monvement de l’opposition par anomosité contre certains hommes politiques. Et oui, nombreux sont les domaines oà la cour suprême a jugé de motu proprio dans des domaines economiques, sociaux ou militaires. L’auteur omet aussi dans l’article la dicature exercée par les conseillers juridiques du Gouvernement et un tas d’autres non anomalies mais monstruosités juridico-judiciaires. L’auteur évoque une courte majorité..Mais c’est la loi de la démocratie et il est arrivé en Grande Bretagne qu’un parti soit majoritaire à la Chambre des Communes alors qu’il était munoritaire en voix. En fait il s’agit de deux campagnes : l’une, tout sauf Bibi et l’autre qui craint de voir l’actuelle majorité freinant la révolution en cours depuis des décennies de transformation d’un Etat juif en un simple et classique Etat occidental amené à se déliter dans des valeurs pase-partout de droits de l’homme, démocratie théorique ou de libre circulation de marchandises. Mais ce n’est pas pour cet Etat là que les Juifs sont restés fidèles à Sion pendant des millénaires. En gros, UN BILLET D’HUMEUR ÉCRIT PAR UN NON-JURISTE DE DROIT PUBLIC.
Disraeli,
Etre juriste ne garanti pas le respect de la lettre ou de l’esprit des Lois. Une belle plaidoirie sert à défendre un client qu’il soit coupable ou innocent.
Aussi, je ne vais pas reprendre une à une vos argumentations dont le seul but est de disqualifier l’auteur (moi) et ses propos (vous pouvez toujours lire mes commentaires ci-dessus).
Ce qui me choque le plus, c’est votre abord de l’Etat Juif non démocratique. C’est totalement contraire aux aspirations du plus grand nombre (vous semblez soucieux de l’avis de la majorité) et des celles des pères fondateurs. Sans ces démocrates, pas d’Israël garant de la sécurité du peuple juif dans le monde.
Saper ses fondements, c’est nous préparer au pire, à un nouvel exil.
Cette vision que vous exprimez, comme celle des sionistes religieux qui veulent rebâtir le Temple, la lecture de nos textes devrait pourtant vous éclairer : le peuple bâti un sanctuaire portatif (et non en dur) pour résider pari eux, pas dans le Michkan. Mais pour le construire nous travaillons tous ensemble toutes les sensibilités). Et ses piliers reposeront avec l’argent du recensement (tous les juifs pas que ceux qui portent un kippa tricotée ; d’ailleurs j’en porte une à l’office). Quand nous avons bâti un Temple en dur, il a fini par devenir un objet d’idolâtrie et le peuple s’est fissuré, puis nous avons perdu le pays.
Invoquer la Thora comme base de l’Etat, c’est oublier que nous ne sommes plus uniquement le peuple du Livre mais celui du Talmud, l’ouvrage religieux le plus transgressif.
Alors de grâce, laissez la religion dans la synagogue, ce dont Israël a besoin c’est de se rassembler autour d’une constitution !
Pour la gauche, la meilleure c’est la démocrassie !
Emet,
On trouve votre phrase sous la plume d’individus qui ont soutenu les dictatures les plus sanglantes de l’histoire !
Emet ou émét (si vous ne connaissez pas le sens des deux mots regarder dans le dictionnaire) ?
Cher Hagay, vous vous laissez convaincre par des adversaires d’Israel. Je voudrais d’abord rappeler que l’élite militaire d’aujourd’hui est principalement constituée d’officiers sionistes religieux (plutôt Smotritch et Ben Gvir) et bien sûr dans l’infanterie les brillants soldats des Golanim et Givaati sont le plus souvent des marocains. Ils ne sont peut-être pas policés comme ceux de l’armée de l’air ( achkénazes pour beaucoup). Aujourd’hui la plupart des opérations contre les terroristes se font avec l’armée de terre et ce sont nos vaillants soldats qui les mènent. Les leçons de patriotisme ne sont aps du côté de ceux auxquels on pense. Il y a aujourd’hui plus d’un million d’israeliens (yordim) qui vivent en dhors d’Israel et ils sont pour la plupart achkénazes. Lapid lui-même a reconnu qu’il avait trouvé une planque (grâce à son père Tomy Lapid zl) bien au chaud sur les ondes de Galei Tsahal et dans le même temps le Rav Shlomo Amar était dans les tranchées.
Au passage l’épouse de Lapid est la petite nièce de Madame Salzer, un grand rabbin qui a marqué Marseille.
Pour que les choses se déroulent correctement il faut du respect de part et d’autre et pas considérer les uns comme une race supérieure. C’est le drame d’Israel, il suffit de voir comment les juifs de France réussissent brillament alors qu’en Israel c’est plus fastidieux.
Il faut donc cultiver le respect et mettre à la poubelle cette phrase de Bialik: « Je n’aime pas les arabes parce qu’ils ressemblent aux Séfarades » c’est la clé.
Je finis avec le propos de Barak dans sa dernière interview sur la nomination des juges : « Je suis désolé mais nous n’avons pas trouvé un marocain pour prétendre faire partie du Bagats »
Meir,
Merci de me rappeler à la raison. a l’avenir je vérifierai mieux mes sources. Je croyais fermement que les personnes interrogées pour écrire mon article étaient dignes de fois (juristes, ex militaires, chefs d’entreprise etc…).
Je suis étonné de votre affirmation sur l’élite militaire majoritairement sioniste religieuse. Non seulement Smotrich et Ben Gvir n’ont qu’une expérience martiale des plus rudimentaires mais on serait bien en mal de trouver leurs « ouailles » tant ils sont occupés à échapper à la conscription. De plus, il n’y a jamais eu aussi peu de personnes ayant fait leur service militaire à la Knesset, dans la coalition et dans un gouvernement depuis le début de l’histoire d’Israël.
Meir,
J’ai oublié le point le plus important du mal être d’Israël : la lutte entre sépharades et ashkénazes.
Pour vous le point essentiel dans cette réforme semble être d’éloigner les ashkénazes des responsabilités. Car ces derniers que vous qualifiez de « race supérieure », sont majoritairement des yordims, une minorité dans l’armée (constituée majoritairement des « marocains ») et raflent tous les postes à la cours suprême.
Permettez-moi de rappeler un point que vous semblez omettre, « la dernière Alyah a toujours tort ». Vous êtes sans doute, vu vos propos, de la génération où les marocains ont payé au prix fort leur immigration. C’est injuste et condamnable. Depuis il y a eu bien d’autres Alyiot qui ont été affublées des mêmes critiques, y compris par les marocains qui avaient été pareillement ostracisés. Il n’est qu’à citer les éthiopiens, les géorgiens, les russes, les ukrainiens etc…
Cependant, aujourd’hui, nos familles sont composées de juifs de toutes origines. J’en suis la preuve vivante. La mienne est représentative de la diversité de notre peuple et nous en sommes fier ! Nos enfants ne se posent plus la question de savoir s’ils sont sépharades, ashkénazes ou orientaux. Comme aux EI, ils ont été élevé dans le minimum commun, ce quie nous rassemble tous.
Pour finir, ma famille ashkénaze a aidé à l’Alyah des marocains en risquant sa vie pour eux (et ce pays qui mérite mieux que les divisions actuelle), et en combattant ensemble à l’armée contre l’ennemi commun.
3Mon frère ne peut être mon ennemi, un jour surement, je lui devrait mon salut, comme Joseph et ses frères ».
Bien sûr que vous avez raison, quand je parlais des sionistes religieux, je ne parlais pas de Ben Gvir et de Smotritch, je parlais des personnes qui se considèrent comme sionistes religieux et qui sont électeurs de Smotrich et Ben Gvir, qui furent d’ailleurs électeurs de Bennett. A propos du service militaire, ils avaient établi la liste des députés de la coalition qui ont effectué leur service, et ils étaient tout de même 42 sur 64. Je ne peux pas croire que du côté de l’opposition actuelle ils ne sont que 18 ou 19 à l’avoir fait. Mon chiffre vient de Israel Hayom où ils recensaient les députés de la coalition qui avaient leur service. C’est pour cela que je reste persuadé qu’une large majorité d’élus a effectué son service.
En tout cas bravo pour votre article, je me suis même permis de l’imprimer avant chabbat et de le commenter chabbat après-midi. By the way je ne suis pas marocain, mais tous ceux qui défendent Israel corps et âmes ont toute ma sympathie tout comme la vôtre. Cela étant , un ami Imam m’a dit mettez vous dans un registre sprirituel pour défendre l’existence d’Israel, les musulmans y seront réceptifs. Autrement vous aurez des difficultés à justifier votre présence sur cette terre.
Merci à vous.
Meir,
Merci pour votre retour.
La spiritualité est essentielle pour ne pas rester collés à la matière. Mais ces deux mots ne sont pas synonymes de religion. La première nous élève vers la transcendance alors que la dernière est malheureusement le plus souvent affaire d’hommes qui sont persuadés de parler au nom d’un principe transcendant et au lieu de convaincre imposent leur point de vue par la contrainte (comme aujourd’hui).
L’histoire juive est pavée de sicaires (connus pour leurs actions violentes et les assassinats même envers les juifs), de zélotes (dévots jusqu’au-boutistes souvent confondus avec les précédents) et autres saducéens (rejetant la Thora orale) qui étaient persuadés d’avoir raison contre le reste du monde. Où nous ont-ils menés, où sont-ils maintenant ?
a plusieurs reprises ils nous ont fait perdre notre unité, l’indépendance puis fait connaitre l’exil.
Il est donc plus qu’urgent de dialoguer au lieu d’avancer à toute allure pour imposer une réforme qui divise, si l’on veut éviter la guerre civile
De plus la situation sécuritaire l’exigent (succession de Mahmoud Abbas et nucléaire iranien).
Croire que la démocratie existe encore dans un quelconque pays de monde est totalement inintelligible au vu de la façon dont la plupart des pays du monde ont obtempéré selon la même façon de penser lors de la dernière épidémie de peur (Con-vide 19) ochestrer par les multinationales dominantes. Cet état de fait démontre à lui seul, et de façon récurrente, que toutes les instances politiques du monde souffrent cruellement des manipulations de la haute finance mondiale. Du coup des institutions comme l’ONU n’engage pluque des béné-oui-oui qui ne doivent plus dire non, au risque d’être lisenciés, et les démissions ne sont pas rares. Les gouvernements voient apparaître, non plus des élytes dans leur composition, mais des molaçons ou des pervers, comme l’exemple français le démontre. C’est une ouverture toute grande à la zizanie qui déroule le tapis rouge à la toute proche gouvernance mondiale qui arrivera en Sauveur, selon le principe pervers du fameux triangle de Joriman: victime-persécuteur-sauveteur.
Sachons que l’aspect salutaire de ce processus et que l’arrivée, même d’une dictature mondiale, qui en découlerait, ne peut, par nature qu’être extrêmement instable et donc éphémère.
T amouyal,
Je ne cautionne pas les dérives mais les condamne.
Quel régime proposez-vous en remplacement de la démocratie même imparfaite ?
D’où le titre de mon article : « La démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres… »
Si vous prenez une minute pour me lire : je propose la democratie , et non les pitreries de l establishment UE
MONNEY,
Discours complotiste typique avec une énumération de menaces générales ne reposant sur aucun fait…
En tant que Médecin travaillant à l’hôpital, avec mes collègues et nos patients, nous avons subi cette pandémie avec les drames bien réels que le Coronavirus a causé.
Les progrès de la médecine ont permis de sauver de nombreuses vies.
Par ailleurs, quand on commence une réponse comme vous le faites, on s’attend à ce que soit abordé la finance mondiale.. et de là il n’y a qu’un pas au complot judéo-maçonnique !
Bref rien de neuf. Pourriez-vous vous renouveler SVP ?