Dans le dernier numéro de la Revue de la Semaine, Jean-Luc Mélenchon aborde le traitement qu’a subi le député Louis Boyard sur le plateau de TPMP avec Cyril Hanouna. Il souligne qu’il n’est pas normal qu’un député soit insulté de cette façon et que plusieurs autres émissions totalement à charge soient organisées dans la même émission les jours suivants. Il indique que Cyril Hanouna s’est comporté de façon honteuse dans cette affaire alors que Louis Boyard s’exprimait au nom de la liberté de pensée du peuple français. Il explique également pourquoi les insoumis participent à ces émissions, afin de diffuser les messages et les propositions au plus grand nombre, comme ils le font dans la rue, dans les usines ou à la sortie des métros. Il revient ensuite sur le problème de la concentration des médias dans les mains de quelques milliardaires, en l’occurrence de Vincent Bolloré qui détient le groupe Canal+. Il rappelle que neuf personnes possèdent 90% des médias en France. Pour empêcher cette trop grande concentration qui est un danger pour la liberté de la presse et la liberté d’expression, il a annoncé que le groupe parlementaire LFI-NUPES allait déposer une proposition de loi à l’Assemblée défendue notamment par Clémentine Autain et Sarah Legrain.
C’est une blague ? Les principaux dangers pour la liberté de la presse ce sont le politiquement correct, la plus insidieuse des censures, et l’Etat ! L’Etat français possède de nombreuses chaînes de télévision ou radio et subventionne de manière totalement injustifiée des organes de presse infâmes comme le monde, libeartion ou le point. C’est donc l’Etat français et non pas Bollore qui tient les médias français dans sa main. Sans compter les milliardaires qui possèdent des journaux ou chaînes TV et qui roulent pour le gouvernement français et l’UE.
Bollore sert d’écran de fumée pour cacher les véritables problèmes faisant qu’il n’existe aucune vraie liberté journalistique en France.
Je n’aurais cru dire cela un jour… soutien à Hanouna.
Beurk ! La télé-poubelle que je boycotte depuis le début.