Après avoir coulé en France des jours heureux en prêchant « ad nauseam » l’antisémitisme en particulier et la haine sociale, raciale, sexiste, etc., en général, l’ »imam » Iquioussen a fui le territoire français afin de ne pas subir la décision pénale enfin prononcée contre lui.
I- Mode opératoire du fuyard
La finance dont il dispose et son réseau s’engouffrent dans les failles des systèmes administratifs, de police et de justice.
Il agite son réseau et sa finance afin d’utiliser l’ensemble des probabilités juridiques de retardement et d’exonération des décisions judiciaires.
Il en tire le « maximum maximorvm » de profit néfaste à la société et bénéfique à sa nocivité.
I
I- Structures administratives, de police et de justice
Une fois de plus, à l’instar de la quasi-intégralité des criminels et délinquants antisémites, cet « imam » bénéficie de retards d’exécutions administrative, de police comme de justice.
Le délinquant dont il convient de se rappeler les méfaits et d’oublier son indigne patronyme comme son titre immérité, est protégé par la structure judiciaire.
Il faut bien admettre qu’elle applique la Loi, même si elle l’applique généreusement à destination de l’accusé, et sans tenir compte du climat de haine antisémite et raciste qui nuit à la société française.
Une fois de plus, l’appréciation judiciaire est déconnectée de la réalité sociale, civile, civique, politique que vit la nation.
Une fois de plus, elle se désolidarise des victimes des délits du fuyard.
Désormais, le système de défense et d’exemption de Droit des délinquants et criminels antisémites est parfaitement rôdé.
La lenteur, la négligence, les anomalies de procédures administratives, de police, et de justice sont constatées à chacune des atteintes aux vies des victimes française de confession juive.
Elles constituent autant d’appui objectif aux accusés antisémites, précisément au fuyard.
L’exemple de cet « imam » se joue des décisions le concernant, profite des failles que lui offrent la police et la justice et se distrait des commentaires du ministre de tutelle.
Il faut reconnaître que les répétitions des mots « république » et « victoire » par le ministre en charge de la police feraient rire par leur théâtre s’il ne s’agissait de masquer les carences de ses services.
III- Conséquences des absences de DroitComplicités
Les décalages devenus habituels entre les faits avérés et les décisions de justice y relatives sont si importantes, itératives et si nombreuses que la question de la complicité se pose comme elle se poserait en tous cas identiques de négligence ou de refus d’obtempérer à la procédure pénale.
Absences de la Chancellerie
Il est extraordinaire que les dispositions administratives tendant à stopper la chaîne de ces fautes de Droit ne sont toujours pas remarquées, examinées, prononcées ni appliquées par la Chancellerie.
Fautes et erreurs manifestes de procédure pénale
Il est surprenant que les questions procédurales restées sans réponses permettent, pour ne prendre que deux exemples, au crime de madame Halimi de demeurer sans jugement et au fuyard dont s’agit d’avoir mené une vie de vitupérations antisémites depuis le septennat Hollande, bénéficié de répit judiciaire, jusqu’à prendre tranquillement la fuite courageuse qui le caractérise.
Nouvelles catégories
La répétition des crimes et délits antisémites, l’indécence judiciaire à l’égard des victimes, la mansuétude à l’égard des coupables constituent autant de faits qui nuisent décidément en France à l’équilibre du Droit, des droits, et à la dignité des personnes.
Ces manquements aux droits de la part de ceux en charge de l’appliquer mènent à une pernicieuse conséquence : la création d’une catégorie d’ « injusticiables ».
Ces « injustifiables » commettent, se jouent des failles, négligences et autres culpabilités administratives, de justice et de police. Ils se défendent avec des budgets qui apparaissent à chaque cas supérieurs à ceux de la police et de la justice.
Ils offensent, blessent, tuent, attaquent, violent les personnes, les consciences & les principes relatifs de libertés.
Les charges retenues contre eux sont lourdes et avérées.
Ils bénéficient dans la plupart des cas signalés de risque minima d’interpellation, d’écrou, de jugement.
Bref, ces « injustifiables » constituent désormais en France une catégorie frontale. Cette catégorie s’oppose à la catégorie des justiciables quelle attaque.
Les « injusticiables » ne rendent de compte qu’à eux-mêmes. Les « droits » dont ils disposent sont supérieurs à ceux qui les subissent.
Ils satisfont et font satisfaire le prédicat djihadiste qui s’emploie à installer progressivement et fermement en France un régime de terreur djihadiste en lequel ils bénéficieront d’un certificat d’individus aux droits plus étendus (citoyens) que la masse des « infidèles » (sujets soumis) : le « dhimi ».
Force est de constater qu’ils sont aidés en cela par les failles, erreurs, fautes des institutions républicaines … qui confirme dans leurs propagandes l’aptitude française à la soumission.
C’est l’apparition de criminels et de délinquants libres et prolifiques, qui utilisent leurs finances, les failles et les complicités de l’Etat afin de propager leurs haines.
L’immonde imam en fuite en est le signifiant prototype.
Pierre Saba
2 septembre 2022
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