Pendant deux ans, nous n’avons eu de cesse de fustiger violemment la succession des mesures liberticides auxquelles l’épidémie de covid 19 a donné lieu: les confinements policiers, les couvre-feu, l’Absurdistan (fermeture des librairies), les excès du passe sanitaire (interdiction d’accès aux terrasseS des cafés), l’abominable et absurde passe vaccinal destiné à emmerder les non vaccinés.
Nous avons dénoncé sans relâche une politique de despotisme sanitaire, consistant à alimenter la peur par des prédictions apocalyptiques et en parallèle, étouffer les libertés publiques tout en désignant des boucs émissaires à la vindicte de la foule apeurée (les non vaccinés) dans la perspective des élections nationales.
Et cela ne fonctionnait pas si mal: une immense partie de l’opinion de droite comme de gauche approuvait, crachant sur les non vaccinés, jubilant à leur malheur, appelant à les exclure et les terroriser toujours davantage.
Do you remember? Nous qui n’étions pas dans la ligne avons été insultés, traînés dans la boue, parfois même par des proches: irresponsable, complotiste, imbécile, populiste, criminel (sic) etc.
Le seul fait de s’interroger sur l’efficacité d’un vaccin – considéré alors comme le remède miracle mais qui depuis a largement montré ses limites – revenait à sombrer dans les ténèbres de la diabolisation.
Aujourd’hui la septième vague sévit, ni plus ni moins virulente que les précédentes. Mais la mode a changé. Le contexte n’est plus le même, surtout politique. En écartant à ce stade tout retour à la tyrannie sanitaire, le pouvoir reconnaît implicitement sa responsabilité liberticide pendant deux ans. Tout cela était bel et bien inutile et absurde. Les dégâts causés sont irrémédiables: gigantesque endettement du pays, faillites, souffrances et malheurs individuels qui resteront à jamais gravés dans les mémoires. D’ailleurs, les soignants ne sont toujours pas réintégrés. Mais les responsables de ce gigantesque fiasco sont toujours en place, droits dans leur bottes, comme si rien jamais ne s’était passé.
© Maxime Tandonnet
FAUX: « ….la mode a changé. Le contexte n’est plus le même, surtout politique. En écartant à ce stade tout retour à la tyrannie sanitaire, le pouvoir reconnaît implicitement sa responsabilité liberticide pendant deux ans ».
FAUX. La mode est étrangère à la question.
Le contexte, si, car Il y a AVANT et APRES les vaccins.
La vaccination généralisée (dont la contamination « naturelle ») permet désormais d’éviter (et encore…pour l’instant, face aux « variants » connus du virus) des mesures coercitives.
Les vaccins, POUR L’INSTANT, réduisent considérablement le nombre des cas graves et la pression sur le système hospitalier.
Ce qui n’était pas le cas AVANT les vaccins, en 2020 et la plupart de 2021.
Mais c’est trop compliqué pour l’auteur, ignorant l’épidémiologie comme chacun sait.
Je suis dans l’ensemble plutôt d’accord avec Maxime Tandonnet (je suis favorable au vaccin mais pas àla stigmatisation des gens qui ne sont pas d’accord moi). Ce qui m’a frappée à l’époque c’est cette diabolisation de toute contestation et cette propagande 24 heures sur 24…comme par le passé mais en pire. En fait cette censure et l’étouffement de toute critique envers le pouvoir sont la marque du régime macroniste. Onfray diabolisé, Zemmour diabolisé, le pas de vague permanent, la propagande atlantiste sur l’Ukraine, les mensonges sur la situation de la France (santé, sécurité, diplomatie etc)…
Un fait qui peut sembler anecdotique mais ne l’est pas : les courriers des lecteurs ont presque totalement disparu…les rares magazines qui en publient encore (sud ouest, marianne) en publient de moins en moins et ont cessé de publier tout ce qui remet en cause la propagande officielle. Et de plus en plus de (loi Avia par ex) lois ou projets sont mis sur la table (par exemple des journalistes comme Polony) pour anéantir la liberté d’expression sur internet… c’est à dire le seul endroit où elle existe encore !
Le covid (j’y reviens) a été un prétexte pour serrer encore plus la censure et l’étouffement des voix discordantes dans une logique totalitaire de plus en plus flagrante. En terme de liberté d’expression (et pas que), la France de 2017 ressemblait à l’Urss de Brejnev ou à la France de Louis XIV…Celle de 2027 ressemblera à l’URSS de Staline ou à la France de Vichy.
Avec les élections ou pseudo élections présidentielles + l’Ukraine, la France de 2022 ressemble déjà à l’URSS de Staline et à Vichy.