Pierre Saba. Europe-Israël: La Loi du plus bête

A nouveau, Israël subit la réprobation d’un agrégat de dictatures hostiles à son existence depuis 1948 et d’Etats européens qui s’y remorquent.
Cette fois, c’est la mort d’une journaliste arabe, palestino-américaine, officiant dans la haine antisémite et anti-israélienne du media qatari (autre dictature arabe) « Al Jezeerah ».

Sur le plan pénal, le nœud du dossier est la nature de la balle qui a touché la journaliste, détenue par les Palestiniens qui refusent de la produire…

Ce comportement détermine la nature dictatoriale du régime palestinien, met en doute la provenance israélienne de la balle et incrimine l’origine et la provenance palestinienne de ladite balle.
Si cette balle était produite, la trajectoire pénale épouserait probablement la trajectoire balistique. La culpabilité palestinienne innocenterait alors la partie israélienne.

Sur le plan du Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, iI est inacceptable que des media, des manifestations politiques et de rues, des déclarations hostiles à l’existence d’un Etat, menacé et attaqué de surcroît (Israël), puissent se dérouler dans la violence et la fureur sur le territoire même de l’Etat.
Israël est le seul Etat à accepter, permettre et subir telle situation.
Il est inacceptable que des Etats agrègent leurs « indignations » éphémères, contextuelles, stratégiques, conjoncturelles à celle des dictateurs arabes au premier rang desquels ceux de Ramallah en feignant d’ignorer le refus palestinien de produire la balle. 
Il est inacceptable de voir ces Etats en proie à des lobbies internes et externes anti-israéliens et antisémites aveugles et sourds à la volonté palestinienne manifeste et autoritaire de se considérer au-dessus du Droit et de la manifestation de la vérité.

En n’exigeant pas des Palestiniens de produire la balle, les Etats occidentaux violent une nouvelle fois le Droit, la dignité des personnes, la manifestation de la vérité et se désignent comme complices du meurtre de la journaliste et de la dictature palestinienne. 

Réactions israéliennes

En toutes hypothèses, la démocratie judiciaire et parlementaire israélienne peut exploiter le refus juridique palestinien et son soutien occidental.  
Jérusalem peut exiger des Occidentaux qu’ils cessent d’appuyer la dictature palestinienne dans son oppression de son propre peuple et du refus de le conduire à la paix… qui conduirait à une démocratie palestinienne.

Le faible caractère et un faisceau d’intérêts certes de plus en plus insignifiants des dirigeants européens laissent peu de chance à leur abandon des dictatures palestinienne et qatarie.

Qu’importe ! Israël peut dresser une ligne de conduite plus respectueuse de sa diplomatie que de ses interlocuteurs européens. Ces derniers ont l’habitude d’être malmenés dans le cadre public et privé des relations internationales.

Enfin, dans un monde de relations internationales iniques, cyniques, favorables à la loi du plus fort et du plus bête, Jérusalem n’a que faire des rodomontades fallacieuses, mensongères, hétéroclites des Européens qui n’hésitent pas une occasion de soutenir les dictateurs palestiniens sans qui la paix avec Israël serait déjà établie.

Jérusalem peut engager le virage international en cours : celui du mépris du méprisable, du rejet affiché et exprimé de la loi du plus bête.
Autrement dit, nul besoin à Israël de justifier à des Etats aux comportements véreux l’évidente réalité qu’ils connaissent et qu’ils taisent au mépris de tout et à une prétendue et vaine défense de leurs intérêts.

© Pierre Saba