Le Conseil des droits de l’homme a clos les travaux de sa 49e session qui se tenait à Genève depuis le 28 février et au cours de laquelle il a adopté 11 résolutions.
S’il a créé une commission d’enquête sur les allégations de violations des droits de l’homme dans le contexte de l’agression de la Fédération de Russie contre l’Ukraine, il s’est attelé à sa marotte, la situation des droits de l’homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés, tels que définis par … Le Point 7!
A ce sujet, le Conseil a adopté quatre résolutions anti-israéliennes et pro-palestiniennes par lesquelles il a réaffirmé le droit inaliénable du peuple palestinien à disposer de lui-même, y compris son droit de vivre dans la liberté, la justice et la dignité, et son droit à l’État indépendant de Palestine ; exigé qu’Israël se retire des territoires palestiniens occupés depuis 1967, y compris Jérusalem-Est ; exigé qu’Israël mette fin immédiatement à toutes ses activités de colonisation dans l’ensemble du Territoire palestinien occupé, de même qu’à tous les plans et activités de peuplement dans le Golan syrien occupé.
Trois résolutions au titre de la situation des droits de l’homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés ont en effet été adoptées à l’issue d’un vote. Dans l’une d’elles, le Conseil réaffirme le droit inaliénable, permanent et absolu du peuple palestinien à disposer de lui-même et engage Israël, Puissance occupante, à mettre fin immédiatement à son occupation du territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et à lever tous les obstacles à l’indépendance politique, à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de la Palestine.
Dans un autre texte, le Conseil exige qu’Israël mette fin immédiatement à toutes ses activités de colonisation dans l’ensemble du Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et dans le Golan syrien occupé.
Il prie instamment tous les États et toutes les organisations internationales de ne prendre aucune disposition de nature à reconnaître l’extension des colonies de peuplement ou la construction du mur dans le Territoire palestinien occupé.
Il demande à tous les États de prendre des mesures propres à faire en sorte que les entreprises domiciliées sur leur territoire et/ou relevant de leur juridiction s’abstiennent de commettre des atteintes graves aux droits humains des Palestiniens ou d’y contribuer.
Une troisième résolution exige qu’Israël mette immédiatement fin à tous les plans et activités de peuplement dans le Golan syrien occupé.
Une résolution condamne les activités de colonisation israéliennes et appelle au boycott des produits des colonies et à un retrait israélien sur les lignes d’avant 1967. Elle a été approuvée par 38 voix contre 4, avec cinq abstentions.
Le CDH demande enfin un embargo limité sur les armes.
Réactions
Le CDH est une chambre d’écho de la fantaisie et de la haine contre Israël, a déclaré l’ambassadeur Meirav Eilon-Shahar, dénonçant lors du processus de vote la partialité du CDH, alors que Michele Taylor, Ambassadrice des États-Unis à l’ONU, a déclaré que l’administration Biden constatait qu’Israël était ciblée de manière disproportionnée, et était consternée par les nombreuses résolutions répétitives et unilatérales qui s’appliquent année après année : « Le maintien de ce point à l’ordre du jour remet en question la crédibilité de cet organe. Aucun des pires auteurs de violations des droits de l’homme au monde, dont certains font l’objet de résolutions à cette session, n’a son propre point à l’ordre du jour à lui seul. Seul Israël reçoit un tel traitement », a déclaré Michele Taylor.
Israël fut en effet une nouvelle fois le seul pays que l’UNHRC a censuré à plusieurs reprises, la Russie n’ayant été censurée qu’une fois pour son invasion de l’Ukraine.
Sur les quatre textes de résolution, la résolution sur la « responsabilité » qui parlait de l’embargo sur les armes est considérée comme la plus controversée : elle a été approuvé par 37 voix contre 3 et sept abstentions.
Les trois pays qui se sont tenus aux côtés d’Israël étaient le Brésil, le Malawi et les États-Unis, lesquels ont rejoint cette année le conseil en tant que membre votant.
Les pays qui se sont abstenus lors du vote sur la responsabilité sont le Cameron, le Honduras, l’Inde, les Îles Marshall, le Népal, l’Ukraine et le Royaume-Uni.
Tous les pays de l’Union européenne siégeant au conseil ont soutenu le texte, dont la France et l’Allemagne.
Ibrahim Khraishi, ambassadeur palestinien à l’ONU à Genève, qui a accusé Israël de « colonialisme et d’apartheid », a déclaré qu’il était important de tenir « Israël responsable de ses actions contre son peuple, estimant que l’Etat hébreu devait fournir réparation et indemnisation aux familles des victimes palestiniennes ».
Les trois autres résolutions ont été votées au titre du point 7 : situation des droits de l’homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés, un Point 7 considéré par Israël comme « une relique dont le seul but est de le diaboliser ».
Lecteurs, si vous trouvez une réaction de notre GRDF, de nos responsables communautaires, nous la publierons!
Je pense qu il faudrait inviter un regiment de l armee russe en judee samarie ! Cela permettrait aux terroristes arabes de regretter les juifs et cela permettrait au CDH de prendre des vacances, vacances qui seraient partagées par les juifs israéliens tres certainement.
Comme d’habitude une mascarade grotesque et indécente et cette Europe hypocrite et lâche…