Ukraine : « On est toujours les petits télégraphistes des Américains » déclare Yves Pozzo di Borgio

Yves Pozzo di Borgo, ancien sénateur et ancien vice-président de la Commission des affaires étrangères et de la Défense du Sénat et Slobodan Despot, écrivain et créateur d’Antipresse.net, sont les invités d’André Bercoff dans Parlons vrai, sur Sud Radio

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4 Comments

  1. Je ne connais pas Antipresse mais je constate sur wiki qu’il est accusé de mensonge par Le Monde, Libération et Le Temps…c’est a dire trois « journaux » experts en désinformation et faisant partie de la fachosphère indigéniste dont ils diffusent l’idéologie raciste et révisionniste. Donc un bon point pour Antipress.

  2. Excellente séquence radio (et vidéo). Merci TJ.
    On entend des VRAIES opinions qui nous changent du discours larmoyant général.
    Larmoyant? Oui. Mais qui mène à l’agression. Et peut-être à la guerre en Europe, bien au-delà de l’Ukraine.
    Le moins que l’on puisse dire est que Poutine n’a pas totalement tort et que l’Occident, à la remorque des USA, n’a pas totalement raison.

  3. A partir du début des années 2000 la Russie a tout fait pour se rapprocher des occidentaux mais s’est heurtée à un refus permanent : les USA voulaient en effet empêcher l’alliance Europe Russie qui eût été une chance historique pour l’Europe et aurait mis fin à l’hégémonie américaine. Les dirigeants de l’UE (les plus ineptes et inconséquents de la planète) ont choisi de rester sous tutelle américaine alors que l’influence américaine constitue pour l’Europe un désastre culturel politique et sociétal sans précédent. L’extension de l’OTAN puis les sanctions ont contraint Poutine de se rapprocher de Pekin et aujourd’hui l’axe Russie-Chine (ou plutôt Chine Russie car c’est la Chine qui domine) a pour but de mettre fin à la désastreuse hégémonie américaine. Un moindre mal pourrait on dire mais les dirigeants Européens s’enfoncent chaque jour un peu plus dans la soumission aux USA et provoquent la destruction lente mais certaine de l’Europe. Les Européens, très majoritairement sous-informés et politiquement ignares, ont l’Europe et la situation qu’ils méritent. Ce qui va se jouer les prochaines semaines permettra d’y voir plus clair mais une chose est déjà certaine : la Chine sera la grande gagnante et les Européens seront les grands perdants.

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