Sans entrer dans le fond du sujet ni du programme du pré-candidat Zemmour à l’élection présidentielle, certains faits paraissent déterminer le cadre pré-électoral français.
Alliance objective entre « anti-Zemmour » et djihadistes
Les opposants à Zemmour disent craindre ses programmes présidentiels. Leurs silences, les faiblesses de leurs réactions face aux crimes et délits des djihadistes déterminent leurs peurs. Ces contradicteurs craignent Zemmour et les djihadistes.
La peur de Zemmour ne les empêche pas de réagir vivement, violemment, dans l’ensemble des media. La peur des djihadistes les tétanise. Leur peur des programmes de Zemmour est par conséquent feinte et celle des djihadistes, réelle.
Les « anti-Zemmour » feignent de craindre Zemmour
Cette équation atteste de la véracité des constats de Zemmour sur les djihadistes. Les « anti-Zemmour » montrent la peur des djihadistes et feignent de craindre Zemmour. Ils rejoignent objectivement les djihadistes. Il existe en France une alliance objective et peut-être subjective entre « anti-Zemmour » et djihadistes.
Les opposants à Zemmour ne lui opposent aucun argument contradictoire
Les constats de Zemmour sur les délits, les crimes, la terreur, les déménagements de familles dans les circonférences détenues par les djihadistes, les laxismes judiciaires, etc, ne rencontrent aucune réponse de fond de ses détracteurs. Ils jettent l’opprobre sur le pré-candidat sans lui répondre sur le fond. A moins de prétendre à la limite intellectuelle du corps électoral français, la riposte anti-Zemmour lui est productive et leur est contre-productive.
Les opposants à Zemmour lui assènent des affronts antisémites
Pas supplémentaire dans l’abstraction de fond, la méthode, le lexique, l’attitude générale des « anti-Zemmour » comme ils se nomment eux-mêmes, sont fondés sur l’injure personnelle, l’insulte ad hominem, la caricature idéologique et graphique qui relève des caricatures antisémites d’avant-guerre ou de certains courants d’extrême droite qui lui sont alliés (couleur grisâtre ou jaunâtre, nez crochu, animalisation, etc) tout en lui reprochant les mêmes méthodes !
Contradiction des arguments « anti-Zemmour »
Les « anti-Zemmour » l’accusent de racisme et prétendent que ses programmes le sont. Ils le combattent avec des signifiants racistes. Ils se nomment « anti-Zemmour » ce qui signifie « contre l’existence de Zemmour ». Ils lui contestent toute humanité et tout droit à la vie.
Interrogés parfois sur ce genre d’arguments, ils rendent responsables l’inhumanité des propos de Zemmour. Cette prétention est identique à celle qui consiste à culpabiliser les filles en mini jupes de se faire violer. Elle est irrecevable.
Conséquences sécuritaires
En raison de la haine et de la violence des « anti-Zemmour », le pré-candidat et son proche entourage sont astreints à la protection de police.
La plupart des personnes publiques ou privées qui affrontent en France les djihadistes le sont aussi.
Il faut constater que les partisans de Zemmour d’une part et les personnes qui dénoncent les djihadistes d’autre part sont contraints à protéger leurs vies et leur droit de vivre. Tel n’est pas le cas des « anti-Zemmour ».
L’ambiance pré-électorale française est décidément imprécise, malsaine, dénuée de fond, éloignée du Droit général et de celui des personnes.
Reste à espérer que l’entrée en campagne électorale certifiée par le Conseil Constitutionnel présentera une modification positive et plus conforme aux intérêts du peuple français.
© Pierre Saba. 15 février 2022
Poster un Commentaire