Il est Colère, Maître Gims, au point d’avoir ressenti l’urgence de recadrer via les réseaux sociaux ces malotrus qui ne cessent de lui souhaiter « une bonne année »… alors qu’ils sont … de confession musulmane.
« S’il vous plaît, laissez-moi avec les « bonne année, nouvel an »… Laissez-moi avec ça » tweete-t-il, exaspéré. « Vous savez bien que je n’ai jamais répondu à ça et vous continuez à m’envoyer des « bonne année ». En plus, les muslims arrêtez ça, on a les mêmes convictions ! Ce sont eux qui envoient la plupart des « bonne année ». Les frères, on ne fête pas ça […]. Non les gars, ça ne fait pas partie de nos convictions« .
Quand je vois des grands sapins chez des Mustafa…
Plus loin dans la vidéo, le rappeur s’en prend aux musulmans qui ont le front de mettre chez eux le traditionnel sapin : « Quand je vois des grands sapins chez des Mustafa, des Bakari, je vois qu’on n’est pas concentré à la maison là-bas. Venez, on se concentre sur nos trucs à nous. Restons quand même forts sur nos valeurs et nos trucs à nous. Pendant l’Aïd, tous ceux qui font Thanksgiving, tranquilles, ils ne font pas l’Aïd. Noël, on respecte, mais ce ne sont pas nos fêtes » conclut celui qui s’est converti à l’Islam en 2004 et affirme souffrir lorsqu’on lui souhaite son anniversaire : Un anniversaire, c’est un pas de plus vers la mort.
Venez, on se concentre sur nos trucs à nous
Est-ce que les compagnons ont fêté Nouvel an ? Non ! Je n’ai jamais répondu à ça, mais vous continuez de m’en envoyer tout le mois de janvier et février. Les muslims arrêtez ça.
Une déclaration qui n’a pas manqué de faire réagir sur Twitter, les uns interprétant ces déclarations comme une très inquiétante dérive islamiste, cet autre traitant le rappeur d’ayatollah, tous lui rappelant que ses clips haram, mentionnant alcool, filles et argent, seraient interdits par la charia.
Ce personnage ne présente aucun intêret pour moi, nous sommes libres en France d’installer un sapin chez nous de quelques confessions que l’on soit. et de se souhaiter une bonne année même si la nôtre n’est pas à la même date. Pour qui se prend-il celui-là!