Une des plus belles fêtes du Peuple juif. TJ choisit de la célébrer avec Richard Kenigsman: Hanouccah a en effet inspiré l’Homme et l’Artiste, qui a imaginé une série de 8 dessins sur palette graphique, signés et numérotés sur photos argentiques. Sobres, Elégants, Lumineux, Ils sont la Flamme du peuple juif.
Hanouka
Triomphe de la Lumière, Triomphe de l’Enfant, Triomphe de la transmission…
Nous aurons allumé au cours de la fête de Hanouka un total de 44 bougies.
En voici le détail : 36 chandelles, – cela ne s’invente pas -, plus 8 « Chamach », soit 44 bougies .
Si l’on « éclaire » ce nombre par le décompte que nous offre la guematria ( en hébreu chaque lettre a aussi sa valeur numérique ),
Alors 44 c’est « yeled », l’enfant.
Mais 44 c’est aussi 3 + 41
3 c’est « av », le père
41 c’est « ima », la mère
44 c’est le produit de de la parenté, et le triomphe de la transmission lumière comme enfant lumière.
Lumière de la transmission car Transmettre, c’est avant tout Transmettre la Transmission. Lumineux, non?
© Richard Kenigsman
Richard Kenigsman vit et travaille à Bruxelles. Internationalement connu pour son engagement dans la communauté juive, Kenigsman, depuis plus de trente-cinq ans, développe sa recherche autour de trois pratiques : la peinture, la sculpture et le dessin, revisitant et détournant avec ironie, autodérision et subversion, d’anciennes photos et publicités, afin de répondre par la peinture à la question de l’identité juive et des traces de mémoire qui s’y rattachent.
A consommer sans modération : » L’homme du Roi « , 10 chroniques publiées dans Contact J, Mensuel d’expression Du Judaïsme belge.
Richard Kenigsman est présent dans de nombreuses collections privées à Bruxelles, Paris, Milan, Londres, New-York et Jérusalem.
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