Triste nouvelle. Barel ben Nitza, le soldat de l’unité spéciale Magav qui a reçu samedi dernier 21 août une balle dans la tête par un terroriste à Gaza samedi dernier, a succombé à ses blessures il y a quelques instants au centre médical Soroka de Beer Sheva, 9 jours après une fusillade à bout portant.
Si Naftali Bennett a qualifié de » combattant dans sa vie et dans sa mort » Barel qui gardait la frontière ce jour-là, et autour duquel des veillées de masse devant les hôpitaux eurent lieu tous les soirs, nul n’oubliera les propos de la mère du tireur d’élite de la police qui attribua sans détour la responsabilité de l’accident au gouvernement : Un terroriste de 12 ans a ouvert le feu sur mon fils à bout portant et tout cela en sachant que nos soldats avaient l’interdiction de tirer et de riposter. Pourquoi ont-ils envoyé mon fils ? Pourquoi ? Je veux une réponse, avait réagi Nitza Shmueli au micro de la station 103 FM Radio.
Pour rappel, si des vidéos de la scène montrèrent des émeutiers essayant de prendre le fusil d’un soldat alors qu’il passait à travers un trou dans le mur de béton, avant qu’un homme tire trois coups à travers le trou, l’un de ces coups atteignant Barel à la tête, les premières conclusions de l’enquête de l’armée évoquèrent des troupes non préparées à l’afflux soudain d’émeutiers vers la barrière de sécurité et des soldats stationnés à la frontière qui n’ouvrirent pas immédiatement le feu sur la foule accourue, de crainte de toucher des civils.
Un projet en ligne avait été mis en place pour permettre de réciter des chapitres de Tehilim pour le rétablissement de Barel Ben Nitza (nom hébreu de Shmueli) et avait fédéré près de 20 000 personnes.
shalom,
un GRAND KADDICH pour Barel ce jeune homme de TSAHAL ET toutes mes condoléances à sa
mére qui a perdu son fils bien trop jeune pour mourir….
yossef cohen