Le BNVCA s’étonne que Libération ait prêté son nom pour la diffusion d’une tribune signée par 1000 faussaires de l’histoire.
Le BNVCA s’interroge sur la tribune publiée sur le site de Libération le 27 juillet dans laquelle 1000 signataires unissent leurs voix pour réclamer « l’élimination et la disparition du crime d’apartheid de la Palestine historique ».
En effet, de quelle Palestine historique s’agit-il ? Il s’agit vraisemblablement de la Palestine mandataire d’avant 1948, date de la création de l’Etat d’Israël.
Palestine mandataire sous mandat britannique dont Golda Meïr détenait un passeport et dont le drapeau arborait une jolie Étoile de David d’or.
Y avait-il un gouvernement palestinien ?
Peut-être encore faudrait-il dans ce cas considérer comme palestinienne la reine d’Angleterre, ou la période antérieure de l’empire ottoman ? Lui aussi serait palestinien.
Ou encore avant ce qui s’appelait la Syrie du Sud était-elle palestinienne. Mais toujours aucun nom de palestinien, le sultan était plutôt turc ou ottoman.
Plus loin on trouvera l’empire romain qui conquit la Judée, pas totalement palestinienne, ou encore plus tôt Canaan, les Hébreux.
De quelle Palestine historique est-il donc question.?
Le BNVCA comprend qu’il ait fallu mille signataires pour tenter de donner une quelconque consistance à cette vaste forfaiture qui sans répit essaie de gagner de la crédibilité.
Le BNVCA suggère que la prochaine tribune soit signée par plus de 5 millions de palestiniens, qui se présentent comme les légataires de cette Palestine historique et qui de surcroît hurlent au génocide, eux dont la population a été multipliée par 8 en soixante treize ans, un bel exploit.
Enfin, quant à l’apartheid, Ahmad Tibi, membre du parti Ra’am dont on sait les sympathies et accointances, doit en sa qualité de Vice-président de la Knesset rire très fort en entendant parler d’apartheid.
En revanche les territoires sous contrôle de la dite Autorité palestinienne restent, eux, désespérément vides de Juifs, mais cela ne s’appelle pas de l’apartheid: c’est un pur antisémitisme de la même nature que celui qui vit la Conférence de Wannsee en janvier 1942, Conférence dont l’objet était « Comment se débarrasser des Juifs ».
Le BNVCA espère que Libération a su bien monnayer l’ouverture de ses colonnes à ces faussaires de l’histoire pour qu’au moins, à défaut d’éthique et de déontologie, ce titre ait pu gagner de quoi compenser son passage de journal d’informations à celui de feuille de chou.
Libération se vautre dans le mensonge et la falsification des faits historiques Ce n’est plus du journalisme c’est de la propagande !