Pierre Saba – Perspectives Israéliennes

Les agressions des organisations terroristes de Gaza sont décidées à Téhéran, appuyées par l’Autorité palestinienne (AP) avec la complicité interactive de la Jordanie.

LES AGRESSEURS : LES DJIHADISTES

Les publics soumis à la dictature politique et militaire de l’AP et aux terroristes djihadistes de Gaza sont empêchés d’exprimer leurs aspirations régionales et leurs votes pour des institutions démocratiques. S’ils étaient libres, les missiles que leurs bourreaux lancent pour terroriser et tuer les populations civiles d’Israël n’existeraient pas.

La guerre aérienne à destination civile est actionnée et financée par les théocrates de Téhéran qui préfèrent affamer leurs peuples et dépenser leurs budgets aux bombardements des civils israéliens.

L’ONU, l’UE, la Jordanie, l’Egypte, l’AP endossent par leurs hostilités permanentes la responsabilité civile et militaire du conflit qui oppose Israël aux djihadistes de Gaza.

LES AGRESSES : LES ISRAËLIENS

Le système électoral de proportionnelle quasi-intégrale est éminemment démocratique et représentatif. Il est exceptionnel dans la région infestée par les dictatures.

Ce système favorise l’infidélité politique, des indignités parlementaires, les crises gouvernementales, la reproduction de cabinets chargés d’expédier les affaires courantes…à l’exception notable de l’adoption des budgets militaires. Cette situation institutionnelle ne correspond guère à la situation militaire que connaît le pays.

PANORAMA

Il ne peut y avoir de paix dans la région tant que le poison djihadiste de Téhéran, de Beyrouth et de Gaza intervient dans les agressions contre le public israélien.

Il ne peut y avoir de paix tant que la monarchie autoritaire jordanienne « met de l’huile sur le feu » par le biais des avantages extravagants dont elle dispose à Jérusalem sur le Mont du Temple / Esplanade des mosquées.

Il ne peut y avoir de paix tant que des puissances qui disposent -telle la France- ou non d’un siège permanent au conseil de sécurité de l’ONU incriminent Israël de faits non-avérés sur la base d’un droit inexistant dans les organisations internationales et dans leurs considérations diplomatiques.

Leur mise en équilibre de l’agressé (Israël) et de l’agresseur (djihadistes)est coupable du maintien du conflit par la présentation irréelle et injurieuse des souffrances civiles de populations agressées par des assassins motorisés.

Le seul parallèle convenable est l’oppression des civils palestiniens par les terroristes djihadistes de Gaza eet les menaces vitales contre les civils israéliens. Or de ce parallèle, rien ou presque n’est dit.

Dans l’attente, l’unique démocratie régionale que constitue Israël doit augmenter sa force de dissuasion. Les atermoiements relatifs à l’intensité de la défense militaire de l’Etat est unique au monde. Elle honore ses militaires. Elle favorise les publics de Gaza opprimés par ses dictateurs djihadistes. Elle nuit considérablement aux intérêts stratégiques, militaires et civils israéliens.

Il est anormal qu’Israël paie le tribut d’un voisinage de dégénérés djihadistes financés par le régime de Téhéran.

Eradication des islamistes et des dictatures destinées à abuser de l’ »ennemi commun » comme outil d’oppression de leurs peuples, modifications institutionnelles en Israël, augmentation de la force de dissuasion israéliennes, tels semblent, à ce stade, les profonds changements nécessaires à la paix régionale et à quiétude du peuple israélien agressé depuis 1948.

Pierre Saba

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