Michel Gad Wolkowicz. L’extermination de l’existant Juif

                                          Lextermination de lexistant Juif :

                Le Symbolique et le Sujet en question(s) en France, aujourd’hui :                                 

              – de l’effacement de l’événement du meurtre de Sarah Halimi au négationisme

                      et au révisionisme des attaques génocidaires par le Hamas et le Djihad –

                                               


    Désolé, je n’ai pas un message positif à transmettre, mais en échange, j’en ai deux négatifs! (Woody Allen)


La démarche de Schibboleth Actualité de Freud – qui réunit un collectif d’intellectuels, de chercheurs, d’universitaires, d’auteurs, de praticiens de référence, de toutes les disciplines (psychanalyse et psychopathologie, droit, histoire, sciences du vivant, bio-médicales, humaines, sociales, économiques, politiques, des religions, pensée juive, éthique, philosophie, anthropologie, littérature et arts plastiques et cinématographiques), et de filiations de pensée différentes, vise à décrypter les signes, signaux, emblèmes, des problématiques humaines, sociétales et civilisationnelles, à en dégager et analyser les symptômes afin de construire une clinique du contemporain toujours à reprendre, à croiser les regards et confronter les réflexions, à créer les conditions pour intervenir dans le paysage intellectuel, académique, scientifique, culturel, médiatique, ainsi du Politique, et face à une partie de l’intelligentsia qui répète traditionnellement un déni idéologique désubstancialisant du réel. Parce que notre référence au Et tu choisiras la vie nous oblige à assumer une éthique de vérité, d’élévation de l’esprit, d’un universel du singulier et de subjectivation, de liberté responsable.

Ainsi, comment ne pas interroger la concordance de la décision de déresponsabilisation par les instances institutionnelles françaises de l’assassin de Sarah Halimi, et d’évitement d’un procès qui aurait contribué à reconstruire la généalogie du crime et des défaillances (policières, judiciaires, politiques), et dérives, des influences diverses, idéologiques et culturelles, des responsabilités. Juif, pour le criminel qui agit un discours idéologico-religieux génocidaire, et la complaisance, voire le soutien de ces mêmes instances, politico-médiatiques, au groupe terroriste islamo-nazi Hamas qui met à l’œuvre son projet de massacre de masse à lencontre des juifs? La silenciation, l’effacement des noms juifs des victimes israéliennes, de l’Histoire – le négationisme et le révisionisme sont consubstantiels (comme on en a déjà lexpérience avec la Shoah) à lextermination

À quel moment de l’évolution de notre culture, de notre psyché collective, en sommes-nous, en France, pour être Charlie à propos du Bataclan, de Nice, de Charly Hebdo et de l’Hypercasher concomitants, larmes et bougies comprises, mais plus du tout Charlie lorsqu’une femme juive à Paris, des enfants et leurs enseignants à Toulouse, et des millions d’israéliens sont les objets de cette haine destructrice par les mêmes barbares fanatiques?

Le Forum que Schibboleth a organisé le 3 juin dernier, sous forme de table ronde avec des intellectuels et praticiens pluridisciplinaires, et d’échanges avec le public, a constitué une Rencontre particulièrement importante en ce qu’elle a repris une chronique annoncée il y a quatre ans au Centre Rachi à Paris d’un scandale d’Etat, qui manifesterait peut-être aussi une rupture civilisationnelle.

«Anatomie d’un meurtre, psychopathologie d’un silence: Halimi, le nom de personne», à Rachi en 2017: bouleversés par l’assassinat barbare de Sarah Halimi, femme médecin, directrice de crèche dévouée, dans un arrondissement populaire de Paris, à la retraite, par un voyou multirécidiviste, un dealer, qui, avec sa famille habitant le même immeuble que la victime, l’avait des mois durant insulté de «sale juive» et menacé; et déjà troublés par des manquements étranges des représentances institutionnelles dans cette affaire d’homicide s’avérant alors une «affaire française» manifestée par l’énigmatique passivité (sur quel ordre?) de la police alertée, présente en nombre et en armes sur les lieux, par la silenciation de la presse qui n’en fera finalement qu’un simple fait divers, enfin par la décision obstinée de la Justice de déresponsabiliser le meurtrier Traoré et d’éviter un procès qui aurait engagé une enquête approfondie, remontant la généalogie du crime et l’anéantissement des fonctions républicaines, et ainsi des marqueurs symboliques et civilisationnels garants en droit d’une vie en société, sur la défection du politique et ses composants (peur, électoralisme, collaboration) qui continue par ailleurs de déclamer que nous sommes en guerre contre l’ennemi, islamiste comme pandémique… sans jamais la faire; hallucinés par cette inquiétante étrangeté de déjà vu, de compulsion à la répétition du même, à 10 ans d’intervalle, l’enlèvement, la torture, l’exécution d’Ilan Halimi, par Fofana (Traoré dans un geste de triomphe pervers empruntera le nom sur les réseaux sociaux du chef du Gang des Barbares), jeté, lui, agonisant dans un fossé le long d’une voie ferrée, comme Sarah l’a été par dessus le balcon, comme un résidu, un chiffon, un shmateh, un stück. Notre Tribune parue dans Le Parisien, co-signée par 300 personnalités diverses, interpellant les responsables politiques, culturels éducatifs et cultuels, y compris musulmans, afin d’oeuvrer contre l’antisémitisme et de réformer certains fondements de leur enseignement idéologico-religieux, nous a valu d’être traités de racistes, d’islamophobes, of course, par un agrégat dans Le Monde. La publication de l’ouvrage collectif «Le nouvel antisémitisme en France.» chez Albin Michel connaîtra pour autant un grand retentissement et suscitera un large débat.   

Aujourd’hui, 4 ans plus tard, dans un contexte de massacres collectifs, d’enlèvements d’enfants, de jeunes filles, de viols et de mise en esclavage, de conversions forcées, au Moyen-Orient, en Afrique, de séries ininterrompues de crimes et d’attentats en Europe et en France en particulier, enfants tués à bout portant, des jeunes femmes, égorgées, des mères, grand-mères abattues, ainsi des filiations tranchées, le prof. Samuel Patti décapité (comme Daniel Pearl au Pakistan («Je suis Juif»), conséquence d’un déchainement de foule sur les réseaux sociaux, de parents, d’élèves, conjugué à la passivité d’une partie du corps enseignant, des policiers égorgés ou brûlés dans leurs véhicules, au nom d’«Allah est le plus grand» et des enfants palestiniens qui auraient été victimes des «nazis» israéliens et de rituels fantasmés de meurtres d’enfants; abasourdis au bout de l’inique confirmation du Jugement immonde par la Juge d’ininstruction, annihilant le statut de sujet! Alors, nous venons d’organiser le Forum «L’extermination de Sarah Halimi – Le Symbolique et le Sujet en quetion(s) aujourd’hui en France». Le refus de reconstitution et de confrontation afin de «protéger» l’assassin Traoré «fragile» (suffisamment lucide pour essayer de faire croire à un suicide, et que c’est la vue du chandelier à 7 branchesse qui l’aurait mis en rage), la commande de nouvelles expertises psychiatriques plus «conformes» à l’attendu, que celle initiale du dr. Daniel Zagury. Forclore qu’une «bouffée délirante», par définition aigüe, est suivie classiquement dans l’après coup par un effondrement dépressif, parler de délire schizophrénique éphémère et ignorer qu’égorger sous H participe d’un rituel des Hashishim musulmans depuis le 7è siècle participant de l’extermination des «infidèles», mesure un certain degré d’incompétence, alors même qu’une expertise faite plusieurs mois après l’acte devrait prêter à plus de prudence.

Détérioration des instances symboliques, ouvrant un boulevard au règne de l’illusion du «vivre ensemble», hors fond commun, hors surmoi culturel collectif, qui s’est substitué à la vie en société, comme la norme à la Loi, avec le droit subverti par une culture narcissique, version concurrence victimaire, identitarisme clos parano-pervers, constitutifs d’une nébuleuse qu’Orwell nommait déjà de «fascifisme», coagulant racialistes antiracistes racistes, indigénistes, néo-féministes, écologistes idéologiques, tenants de la théorie du genre et du dogme du neutre, alliés des archaïques et totalitaires islamistes: le symptôme est paradigmatiquement énorme, la haine étant aussi puissante qu’aveugle, en négatif de la fascination, lorsque l’on connaît le sort que les régimes islamistes et p(f)alestiniens réservent aux homosexuels, aux transgenres, dont des mouvements pourtant soutiennent farouchement le Hezbollah et le Hamas, leur égérie, la reine de la cancel et de la woke cultur, des queers, Judith Butler qualifiant ces «mouvements» de progressistes, exemplairement parties prenantes de la gauche internationales; là aussi la haine anti-juive et anti-sioniste étant plus forte que tout, comme la Wermacht avait consacré leurs derniers trains pour déporter le reste des juifs hongrois dans les camps de la mort plutôt que de les employer pour convoyer des renforts de troupes et de matériels manquants sur le front de l’Est.

Troublés, choqués, certains le furent par le qualificatif d’«extermination», par le retour du Réel! Choquant, pour d’autres, son emploi qui serait inadéquat à propos d’un crime individuel, et non groupal.

Le négationisme et le révisionisme sont consubstantiels à l’extermination. Ils n’en sont pas seulement des conséquences pour masquer le crime et annuler les responsabilités mais sont au fondement du crime, de la destruction pour effacer une antériorité, une dette, une Histoire, mise en oeuvre d’un délire de filiation, d’auto-engendrement, d’éternité, dans une quête de plénitude narcissique, de comblement identitaire, l’identité mortifiée, activant envie, identification mimétique, destruction, et fantasme de substitution. 

Le meurtre de Sarah Halimi lui-même a été conçu, organisé, perpétré sur ce mode de la destruction: torturée, massacrée, défigurée, jetée par le balcon…parce qu’elle représentait les juifs, le Juif, la juive démoniaque, détentrice de symboles d’une transmission éternitaire, tout en assumant une intégration exemplaire (sans assimilation); une destruction telle dans la Shoah par balles, les pogroms, ou dans les ghettos et les camps, comme au Rwanda. La mise en acte du déshumain, au delà de l’inhumain. Un massacre de masse, d’un peuple, par un atome soumis d’une formation-en-foule ayant introjecté et agi les discours idéologico-religieux, de prières et d’ordonnances. L’Institution Judiciaire a persévéré ainsi jusqu’au bout des procédures. Qu’il nous ai été consenti comme un os à ronger aux chiens la qualité «antisémite» du meurtre, comme si nous étions des schnorers[2]. Totems sans tabous, des assassins innocents, «fragiles» qu’il faudrait «protéger» du fanatisme de la communauté juive, des victimes désubjectivées, désidentifiées. Un événement qui n’en est pas, circulez il y a rien à voir! Restent comme seuls responsables, non des sujets, mais le cannabis et une loi qui serait incomplète. Le «H», comme l’alcool, habituellement facteur aggravant du moindre accident de voiture, de la moindre infraction à la Loi, est considéré, selon une interprétation arbitraire de la Loi, au contraire élément annulant le crime et sa sanction. La même loi n’avait pas empêché, encore très récemment un individu sous l’emprise de l’alcool, ayant jeté son chien par la fenêtre ou un mari alcoolisé, en même temps que jaloux paranoïaque, une affection psychiatrique chronique avérée, violentant son épouse, inculpations, procès et condamnations pénales. L’interprétation ici concrétise et justifie un choix idéologique pré-établi. Le juge et la cour s’incarnent alors en auteur de la loi, ainsi arbitraire, s’appuyant sur la toute-puissance de son désir, plutôt que représentant de la loi et de la société. La décision de modifier ou d’édicter une nouvelle loi, comme on le fait régulièrement en France lorsque par impuissance ou lâcheté, on n’ose appliquer la loi existante: un placebo, du bouchik! Du vent! On ne l’appliquera pas davantage, ou à géométrie variable.

La Tribune récente que nous avons initiée dans Le Figaro, soutenant Israël dans son droit et son devoir de défendre en tant qu’Etat souverain son territoire et ses citoyens, soumis à une nouvelle attaque massive génocidaire, 4800 missiles lancés par les islamo-nazis du Hamas et du Jihad dans le but déclaré d’exterminer un maximum de « juifs », Israël faisant face à des palestiniens utilisant de force leur propre population comme boucliers humains, femmes et enfants de préférence pour mieux apitoyer les naïfs ou/et les pervers occidentaux, a vu un journaliste, «ancien» trotzkiste, du Monde employer la bonne vieille méthode stalinienne pour tenter de disqualifier certains de ses signataires en les traitant d’«extrême-droite dure»: du mensonge le plus gros, il en restera toujours quelque chose. L’armée française combat lourdement et sans couverture médiatique les djihadistes au Mali, en Libye, la Russie, Daesh en Syrie et en Tchetchenie, mais Israël, sous les regards disproportionnés de tous les medias du monde, est rendu coupable de combattre les mêmes qui s’attaquent aux siens depuis des années: des enfants depuis leur naissance, depuis une quinzaine d’années, ont vécu tous les jours l’angoisse et la désolation des bombardements à Sderot, à Ashkelon.

Notre premier ministre Castex à l’Assemblée Nationale accuse Israël d’être le responsable de la situation de guerre et humanitaire, de crime de guerre contre les palestiniens, Israël coupable éternel par essence, innommé, mais incarné dans le froid et monstrueux Dôme de fer, un Golem moderne qu’il s’est construit injustement disproportionné puisqu’il arrête 95% des missiles ennemis qui n’ont pas les moyens, les pauvres, de détruire pour tuer plus d’israéliens. Sans aucune empathie pour les citoyens israéliens attaqués, sans aucun mot pour les victimes qui n’existent que comme «colons», y compris les enfants, Israël étant réduit à une abstraction occulte persécutrice. De la compassion uniquement pour les gazaouis, leurs victimes comptées avec obsessionalité dans l’indistinction des civils et des terroristes. Assiste-t-on à la réminiscence paulinienne de l’enseignement de la souillure, du mépris, et du dogme de la substitution, réalisée maintenant par délégation? Pas d’hommes, de femmes, de mères, d’enfants juifs! Encore le nom de personne. Israël n’aura été pour cette aristocratie, qui n’a jamais renoncé à son statut de mandataire de cette région, comme en témoigne sa posture constante vis à vis du Liban, de la Syrie, qu’un refuge temporaire toléré après la Shoah, et donc qu’une parenthèse de l’Histoire: la Shoah n’aura pu se représenter qu’en termes d’Holocauste, sous le sceau du pêché originel et de la culpabilité et du sacrifice expiatoire. Dans le déni de la réalisation d’un projet historique et politique qu’est le sionisme, la construction d’une démocratie exemplaire et de sujet individuel, collectif, et politique. Les chrétiens, les intégristes et les «mal baptisés» comme les appelait Freud, les extrêmes-gauches chez qui le retour du refoulé paulinien est d’autant plus puissant que cette origine est déniée, n’ont toujours pas intégré l’arrachement des juifs au statut de dépendance à l’humeur de ses propriétaires (H.Pagani), et les musulmans semblent ne toujours pas faire le deuil que les juifs, qu’ils ont expulsés, ne se tiennent plus soumis au seul statut tolérable qui leur était imposé, celui de dhimmi!

Voici des arabes excités (et rémunérés) par le triomphalisme du Hamas bombardant les villes israéliennes, qui retrouvent les vieux réflexes de lynchage de juifs et de pogroms à l’intérieur même de l’Etat d’Israël, et voilà que Le Drian, ministre des affaires étrangères de la France s’inquiète de la tournure d’apartheid qu’Israël prendrait. Quelle abolition du discernement, me permettrais-je de juger! Pour le coup, au-delà de l’altération. Au nom de quelle passion? De quelle honte s’intriquant à de la haine qui se trouve un objet pour tenter de se légitimer et de la dissoudre? Quand l’éthique de peuple, d’Israël, faisant la guerre au Covid et aux ennemis (qui n’ont pour but que de le détruire et qui ne construisent avec les fortunes qui leur sont attribuées que des armes et des tunnels, sans absolument rien d’autre pour sa population, pour progresser, s’inventer) ne suscite qu’envie, mimétisme, honte et haine, comme si l’existant Juif empêchait les autres d’exister, et le nom dIsraël constituait un miroir, une blessure narcissique, insupportables. Quels clivage et projection cet existant suscite-t-il? Fait-on payer à Israël précisément l’exemple qu’il donne dans son investissement au développement, à l’étude, à la recherche, à la création, à la transmission, qu’il a donné dans la lutte collective contre la pandémie de la Covid 19, contre les terroristes, et même, peut-être surtout, par l’éthique de guerre exercée au maximum pour protéger les civils, tant ceux du camp adverse que leurs citoyens quels qu’ils soient? 

Alors quel est le point de rencontre entre l’idéologie française et l’Islam? Entre les prêcheurs de honte et les prêcheurs de haine? Quel fantasme de destruction et de substitution active-t-il, fût-ce par délégation? Qui soit plus fort que leurs intérêts, que leurs désirs de construction? Voir d’auto-conservation?

Où en est le Malaise dans notre culture, de notre culture? Malaise ou régression, involution? Quel état de la Psyché collective? Quels liens feraient symptômes?

Et pourtant quelques lueurs – Notre tribune a aussi rencontré un large public; un camp semble se constituer au delà de la communauté juive face à cette plomberie collaborationniste menée en tête par France Inter, France Culture, Télérama, Libé, Le Monde, Fr.2, BFM, Europe1, etc..?

Le président, Mister Chance, en référence au livre de Jerzy Koszinsky, et au film éponyme Bienvenue Mister Chance, ou à Zelig, est peut-être sincère dans certains de ses discours: que les actes suivent. Que la périphérie gagne un peu plus sur les milieux auto-proclamées élites, les «sachants». Peut-être aussi commençons-nous à être déterminés et à comprendre comment s’attaquer aux problèmes anti-démocratiques des réseaux-sociaux, aux formation-en-masse? C’est une jeune fille, Mila qui donne l’exemple. Que le procès de certains harceleurs qui la menacent de mort soit pédagogique et un tournant dans la volonté  de lutte contre l’obscurantisme. Ne l’abandonnons pas en offrande.


Michel Gad Wolkowicz[1]

[1] psychanalyse -APF – Prof. Ass GHU Paris Sud – Orsay (Fr), Visiting Professor Tel Aviv (IL), Glasgow (UK), Président de l’Association Internationale Inter-Universitaire Schibboleth – Actualité de Freud (Fr) and of The Interdisciplinary Institute Schibboleth – Presence of Freud (IL)

[2] mendiants, en yiddish

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3 Comments

  1. Les bouffées délirantes, je les attribue plutôt à Le Drian , Dupont Moretti qui a déclaré publiquement que « la station tv de Marine Le Pen …..c’est Cnews ! et au chef de bureau Jean Castex qui accuse Israel d’apartheid . Les Juifs, nous, sommes régulièrement harcelés, menacés, et pire encore. L’équipe de football Les bleus,ont finalement renoncé à mettre un genou à terre, c’était soi-disant pour s’insurger contre le racisme. Mais de quel racisme s’agissait-il ? de l’anti sémitisme ? Evidemment que non .

  2. Mme Danielka,tout le monde sait tres bien que Mme Le Pen n a pas de programme economique et social digne de ce nom,et qu elle fait son fonds de commerce en commentant les faits divers,comme si elle avait pu les empecher.C est a Mr Zemmour d enterrer definitivement cette incompetente qui s inspire de la descendante de Mussolini pour essayer de nous ramener a l epoque des Petain,Laval,Darnand et autres voyous endimanches.

  3. De nos jours, nous nous sommes tellement habitués à l’expression « mettre la charrue avant les bœufs », que lorsque nous l’entendons, il nous semblerait que ceci serait bien dans l’ordre des choses. Il ne nous viendrait plus jamais à l’esprit qu’il y eut un temps, une époque où l’ordre de la causalité (la causation qui exprime le souffle de vie, le souffle du symbole), le sens s’organiserait de telle manière que mettre les bœufs devant la charrue était la seule façon de la faire avancer.
    Peut-être que si on en est arrivé là, alors c’est qu’il n’y a plus rien à faire que de se voir en effet comme ceux qui sont désignés « ennemis », ceux qui « sommes » désignés fauteurs d’un temps figé qui n’avance plus. Il n’est en effet plus fait appel à l’entendement mais à la furie, à la fureur exterminatrice.
    Bon, moi on m’a appris ceci : « l’homme est généralement rarement enclin à attribuer à l’autre une forme quelconque d’intelligence sauf s’il se trouve que c’est un ennemi. ». C’est Albert Einstein qui disait cela.
    Alors ce serait plutôt une bonne nouvelle pour nous, enfin !!!

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