La mairie de Strasbourg vient d’exercer à deux reprises son mépris des principes universels des droits humains. Le premier par la compromission avec l’islamisme, le second par la haine d’Israël.
1 – La mairie de Strasbourg encourage l’islam politique à Strasbourg.
La maire écologiste EELV de Strasbourg poursuit avec sa majorité municipale EELV la procédure d’édification sur le territoire de sa commune d’une mosquée prévue comme la plus grande d’Europe.
Cette mosquée est initiée par un groupement d’associations musulmanes dont la plus importante est l’association islamique turco-européenne « millî görüs » (nouvelle vision). Cette organisation diffuse par intrusions nationales et personnelles l’idéologie islamiste et l’expansionnisme panturc du président Erdogan et de son parti AKP.
Les principes idéologiques de MG suivent à la lettre ceux de l’équipe turque d’Erdogan. Elles sont incompatibles avec les principes des Nations-Unies, de l’Union-Européenne & de la république française en termes de libertés publiques et privées, de l’interdiction du racisme, de l’antisémitisme, du sexisme, et de tout ce qui concerne directement ou indirectement la déclaration universelle des Droits de l’Homme. MG ne respecte pas les principes des Etats démocratiques dans lesquels il organise un islam plus politique que religieux.
En dépit de la nature de ce groupement, des protestations des publics, de la minorité municipale et de la réprobation du président de la république plusieurs fois insulté par le président Erdogan, la maire de Strasbourg maintient son accord de principe. Elle indique ne pas connaître d’éléments qui l’inclineraient à le retirer. Son argumentaire constitue à lui seul une injure à l’intelligence élémentaire et au respect qu’elle doit au fonctionnement démocratique dont elle est l’expression électorale.
2 – La mairie de Strasbourg partage la haine islamiste obsessionnelle d’Israël.
Comme si ses inclinaisons islamistes ne suffisaient pas, elle assène dans la même période un second coup aux principes législatifs et organiques de la prohibition de l’antisémitisme.
Obéissant à la faveur islamiste, la mairie de Strasbourg sépare par protection juridique « anti-sionisme » et antisémitisme, alors que « anti-sionisme » signifie en français « hostile au / haine du sionisme » !
Grâce à des personnes publiques comme la maire de Strasbourg, à la propagande islamiste et à la propagation en France de la haine antisémite, l’absurde séparation entre « anti-sionisme » et antisémitisme est désormais admis et même recommandée par les ennemis d’Israël et autres antisémites.
La maire de Strasbourg comme chacun que le Sionisme est l’unique mouvement de libération nationale à être l’objet de tentatives d’interdictions et ce, plis d’un siècle après sa création!Ces interdictions accompagnent l’« interdiction » de l’Etat juif par une propagande antisémite et ce plus d’un siècle après son avènement ! Afin de tenter de lui retirer tout caractère délictuel, obsessionnel et antisémite, les individus telle la maire de Strasbourg procèdent par la culpabilisation du sionisme, sa transfiguration en mouvement raciste, colonialiste et même d’apartheid.
Ce n’est pas nouveau, ça fonctionne toujours. Les islamistes et leurs alliés ont pris la suite des des accusateurs soviétiques et autres dictatures fascistes qui accusaient les Juifs de tous les maux avant de les éliminer.
La maire feint d’ignorer le mouvement de libération nationale sioniste comme elle dit ignorer les dogmes liberticides du groupement. Elle oblige sa mairie à se ranger sur l’antisémitisme comme sur l’islamisme. Elle épouse l’idéologie antisémite soviétique qui qualifiait les juifs de sionistes. Elle adopte la lâcheté des antisémites qui pensent s’exonérer des lois antiracistes en remplaçant « juif » par « sioniste »! Elle motive sa haine d’Israël en véhiculant sournoisement les mensonges djihadistes de la culpabilité d’Israël des crimes qu’ils commettent eux-même. Elle feint d’oublier qu’Israël a été créé par des Juifs pour des Juifs au nom du mouvement de libération nationale juif sioniste.
Comme tous ceux qui justifient la distinction entre « anti-sionisme » et antisémitisme, elle procède par confusion. Elle réclame le droit de critiquer l’Etat d’Israël sans antisémitisme. Sa boiteuse revendication atteste de l’obsession anti-israélienne et le caractère unique au monde d’un Etat critiqué. C’est pourquoi la critique de l’Etat d’Israël se confond avec sa délégitimisation au nom de mensonges véhiculés par la propagande antisémite et anti-israélienne conjointes! Seul la critique d’un gouvernement est acceptable, acceptée et revendiquée au titre de la démocratie. Les agenda électoraux israéliens sont là pour le prouver! En toutes hypothèses, les lâches arguments présentés plus ou moins sournoisement procèdent tous des critiques des gouvernements israéliens successifs aux politiques opposées et différentes. Bref, il s’agit pour la maire de Strasbourg de prendre l’électorat, les citoyens, les interlocuteurs pour des imbéciles tout en offensant les strasbourgeois et tous les citoyens juifs de France.
La maire ignore, méprise & insulte les victimes de la shoa. Elle offense les victimes civiles et militaires israéliennes qui subissent depuis 1948 les crimes de guerre commis par les armées des Etats bellicistes. Elle soutient la délégitimisation d’Israël. Elle stigmatise les strasbourgeois attachés aux libertés publiques en général et les strasbourgeois juifs en particulier.
En bref, si toute fois c’est possible, tant le sujet est écœurant, la maire de Strasbourg flatte l’ électorat islamiste, antisémite, raciste, homophobe & sexiste dont le compte électoral dépasse de loin et jusqu’à présent celui des personnes et des idées ciblées explicitement et désignées implicitement.
La maire semble par ses décisions éprouver satisfaction à afficher sa proximité personnelle et y entraîner son conseil municipal avec l’islam politique et le doute sur la légitimité d’Israël. Elle y commet hélas la ville avec elle.
Il est capital que les démocrates, les antiracistes, les personnes salies par les positions antirépublicaines de la maire de Strasbourg s’exprime publiquement, saisissent leurs députés, leurs sénateurs, leurs préfets sur les positions nauséabondes de la maire de Strasbourg. A ce stade d’indignité municipale, c’est ce qui leur demeure possible.
L’expérience atteste que les comportements tels que ceux de cette édile encourageront les infractions et les délits de racisme, d’antisémitisme et de ségrégations. Il sera alors important de saisir les juridictions directement ou au moyen des organisations de défenses des droits humains.
Ces réactions populaires, civiques et démocratiques des publics ciblés par la maire peuvent par leurs nombres, rectifier les manquements municipaux. C’est un sursaut local démocratique.
La maire de Strasbourg s’appelle Jeanne Barseghian. Son parti politique est EELV/écologistes. La démocratie est le meilleur soutien des personnes opprimées. Elles peuvent, comme tous citoyen attaché aux libertés, dégager par le vote les politiques fonctionnant sur l’injustice, la violence des idées et des actes.
Les citoyens peuvent aussi s’exprimer contre ces responsables politiques qui, comme la maire de Strasbourg, profitent de leurs positions pour asséner la haine publique, la confusion idéologique et fragiliser encore plus les français victimes des racismes en général et de l’antisémitisme en particulier.
La maire entraîne la ville de Strasbourg dans l’indignité démocratique et républicaine.
Barseghian rejette la séparation des cultes et de la politique qui interdit notamment la propagation de l’islam politique. Elle participe de l’escroquerie antisémite de focalisation sur Israël et de dissociation du sionisme de son corollaire direct et historique du judaïsme.
La séparation des cultes de la politique est un principe universel de démocratie politique. Israël est l’œuvre humanitaire universelle de l’ONU au sortir de la shoa en 1948. Barseghian « oublie » l’un et l’autre.
Il faut protéger Strasbourg des dispositions municipales contraires aux principes universels de l’égalité et de la dignité de la personne humaine.
Pierre Saba
cher Mr Saba , si ces politiciens vereux de la goooooooche , mais aussi tant d autres de la drouate flirtent avec des idées aussi nauseabondes , il faut malheureusement se poser la question qui fait tres mal :
c est pour en tirer benefice aupres d’un electorat nombreux , mobilisé et totalement devoyé, autrement dit , pour etre plus clair : le ver a fini par manger la majeure partie du fruit
On a la mairie qu’on mérite. Il sera intéressant d’observer quelle association musulmane se désolidarisera de ces tristes « options »…
Elle s’appelle Barseghian ??? n’y-a-t-il pas un parfum arménien ?? Probablement ce qui justifie sa proximité avec Erdogan ( soit elle a à se plaindre de celui qu’elle a épousé soit ses éventuels ascendant doivent se retourner dans leur tombes . Finalement à chaque fois qu’on gratte un peu l’étiquette EELV on est surpris par la saleté qui s’en dégage !!!!!!
Ne faites pas preuve de racisme pour contester celui qui vous fait mal, svp!
Je ne comprends pas le rapport avec Erdogan puisque celui-ci massacre les Arméniens ! Il me semble que Juifs et Arméniens, peuples persécutés victime de génocides,devraient être solidaires et alliés y compris contre Erdogan.
A STRASBOURG ALASACE LORAINE C.EST SPECIAL A CAUSE DU CONCORDAT QUI N.A PAS ETAIS ABOLLI TOUT LES CULTES SONT EGAUX.
à Malika Hamat : Votre commentaire évoquant le concordat n’a rien à voir avec tout ce que Pierre Saba reproche à la maire de Strasbourg, et notamment son antisémitisme délirant.
Comment se fait-il que les membres du gouvernement et le Président Macron laissent faire et laissent dire tout ce que Pierre Saba reproche à la maire écologiste de Strasbourg ?
La maire de Strasbourg restera-t-elle impunément au-dessus des lois ?
Jusqu’à quand ?