Robert Louis Norrès. Rester debout et me battre sur mon bateau qui coule car il est mon bateau et celui de mes ancêtres

 « Le naufrage de la Reliance », tableau de George Baxter réalisé en 1843 d’après la description donnée par le seul survivant anglais du drame

Dujardin a dit il y a quelque temps qu’il se casse car ça pue dans notre pays. J’y ai parfois pensé, je le reconnais, mais l’effondrement est général en Occident. Même si des pays donnent des indications qu’un mieux serait possible, les Etats-Unis avec Trump, mais on a vu ce qu’il en est, ou la Grande-Bretagne du Brexit et de Boris Johnson, tout indique que ces prémisses de redressement restent fragiles et on ne sait pas quelles mauvaises surprises nous réserve l’avenir.

Avec maintenant Biden aux USA, l’extension de la sharia law en GB, l’intensification du politiquement correct dans ces pays, tout est envisageable.

Je ne parle pas de l’Allemagne ou le mal mental est des plus profonds, tant ce pays, à l’origine et au coeur de tous les désastres européens depuis 1870, est profondément et de manière incurable malade.

Alors, tant qu’à vivre l’effondrement de notre civilisation, je préfère le vivre dans mon pays où je serai toujours plus légitime pour tenter de m’y opposer, et même si on me le contestera bien sûr, – indigénisme, décolonialisme et progressisme obligent-, que dans des pays étrangers où l’on me renverrait sans ménagement à ma nationalité française et à ma blancheur mâle de peau.

Je préfère donc rester debout et me battre sur mon bateau qui coule car il est mon bateau et celui de mes ancêtres et je rentrerai dans le lard de quiconque essaierait de m’en dénier la légitimité.

© Robert Louis Norrès

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