Le chiffre est raide : détenir le djihadiste S. Abdeslam, à Fleury-Mérogis, coûte 36.000 euros par mois. Cet adepte forcené de l’islam politique est le détenu le plus cher de France, soit une trentaine de SMIC.
Et au vu du classement de la sécurité des grandes villes dans le monde, la France est partie pour passer pas mal de son argent dans le gardiennage de prisonniers de plus en plus nombreux et dangereux.
Dans cette liste, de la plus à la moins sûre, Nice, première ville française classée, est 194e. Puis Bordeaux, Lyon, Toulouse, Lille, Grenoble, Paris, Nantes, Montpellier et Marseille, bonne dernière, ville la moins sûre de France, à la 354e place.
Pas de quoi pavoiser, la première des libertés étant la sécurité. Les villes citées, sont comme par hasard, les plus « multiculturelles », dira-t-on sobrement, attestant la réalité vraie d’un lien avec une certaine immigration, en dépit de l’idéologie de « l’enrichissement ».
Fermer les frontières, réformer le droit du sol, supprimer le regroupement familial, renvoyer aux pays, couper les robinets à allocations et cesser cette impensable mansuétude avec les pires voyous. Sinon, entre les coûts d’incarcération et la difficulté à recruter des gardiens, la ruine et le chaos nous guettent…
© Pierre Duriot
Pierre Duriot est Porte parole national du parti gaulliste « Rassemblement du Peuple Français« .
Le RPF n’existe plus depuis 1957.
Remplacé successivement par : UNR, UDR, RPR, UMP, et actuellement LR (« Les Républicains »).
Prétendre représenter le RPF aujourd’hui est, en restant polis, une tentative de s’accaparer l’héritage gaullien dont personne n’est propriétaire.
Méfiance.