Michel Rosenzweig. Fin de l’an 1 de l’ère covidienne, l’occasion d’un bilan et d’une mise au point

Entre les lecteurs qui adhèrent à mes propos et qui les apprécient et les autres qui les réprouvent et les critiquent parfois sans aucun recul ni aucune nuance en se bornant à me disqualifier et à me discréditer par des accusations et des invectives ad personam ou/et ad hominem, je pense nécessaire et utile de clarifier ma position à l’égard de quelques points essentiels et fondamentaux relatifs au Co-vid.

1. Je n’ai jamais nié l’existence du virus incriminé et ses conséquences réelles dont la maladie qu’il engendre dans certains cas, chez certaines personnes et dans certaines circonstances et je pense qu’il ne s’agit pas d’une réelle pandémie mais bien d’une syndémie dont les causes sont encore à approfondir.

Mais je récuse totalement la version officielle qui déforme la réalité en écrivant une autre histoire et en fabriquant une autre représentation de l’épidémie.

2. Je n’adhère pas à l’idée d’un plan à visée exterminatrice par l’entremise d’un vaccin. Cette idée relève selon moi d’un fantasme paranoïde qui ne résiste pas un instant à l’analyse lorsqu’on s’y attarde. Ce qui ne signifie pas que la pulsion génocidaire soit désormais inenvisageable, cette pulsion existe encore au sein de l’espèce humaine et a déjà été mise en oeuvre de manière systématique et industrielle comme chacun le sait dans le projet d’extermination des juifs d’Europe mis au point par le régime nazi et élaboré la 20 janvier 1942 lors de la conférence de Wannsee sous le nom de « solution finale ». L’idée pourrait donc bien entendu regermer chez quelques individus au cerveau malade détenant du pouvoir et de la puissance. Dire le contraire serait nier un des aspects les plus obscurs de l’espèce humaine, mais il n’en est rien aujourd’hui, non pas que l’idée soit saugrenue en elle-même comme je viens de le dire, mais tout simplement parce que cette idée d’exterminer des milliards d’individus pour réduire drastiquement la population ne pourrait aboutir de cette manière, nous ne sommes pas en 1942, nous sommes en 2020 à l’ère de l’internet.

Aucun angélisme ici, pur pragmatisme. De plus cette hypothèse qui est une conviction pour de très nombreuses personnes est systématiquement teintée de références relevant de la grande tradition conspirationniste du complot mondial judéo-maçonnique.

Je ne fais bien entendu pas partie de cette nébuleuse, ni de près ni de loin et ceux qui voient du « complotisme » dans mes textes se trompent et me salissent en manquant cruellement de discernement, leur but étant simplement de nuire à ma réputation.

Ceux que l’on appelle « complotistes » ne sont en général que des personnes dissidentes du dogme officiel et du narratif imposé et qui tentent de penser en dehors de la boîte et de sa notice en réalisant des recherches, des analyses et en tentant de restituer une réalité confisquée et dérobée qui leur semble déformée tout en formulant des hypothèses interprétatives3.

3. Je ne suis pas un opposant au principe de la vaccination, je ne suis ni pour ni contre les vaccins, certains ayant été très utiles pour vaincre et même éradiquer une maladie (la variole, la polio et le tétanos entre autres). Etre pour ou contre les vaccins me semble par conséquent absurde autant que stupide et obscurantiste, c’est au cas par cas qu’il faut évaluer la pertinence d’une vaccination pour une maladie donnée qui constituerait un réel danger pour la population et c’est à chacun qu’il appartient de décider si un vaccin est utile ou non.4.

4. J’assume totalement ma participation au film Hold-Up, bien que n’ayant malheureusement pas eu l’occasion de visionner la version bêta, même si je conserve des critiques envers ce film et certains passages, je ne renie rien, je suis qui je suis, je ne m’appelle par Hold-Up, je suis un être libre et autonome, je pense par moi-même et personne ne m’apprendra qui je suis.5.

5. Je pense que ce que j’appelle le « covidisme » est un objet sociopolitique constructiviste aux confins de la religion, du scientisme et de l’idéologie et que cet objet a été érigé en système de gouvernance par la plupart des états en Occident et que son pilotage et ses opérateurs sont identifiés et connus: fabrication du consentement et de l’opinion par les média, détournement des données sanitaires ayant pour objet l’amplification et la persistance de la peur dans le but d’imposer un vaccin non par obligation légale mais par défaut un peu comme un « windows par défaut » qui serait la base minimale nécessaire pour pouvoir vivre sans trop de contraintes en ayant à nouveau accès aux services, travail, déplacement, loisirs, alimentation, etc, et avec pour corollaire la création d’un apartheid sanitaire instituant une classe de citoyens de seconde zone non marqués, non identifiés.

Le covidisme s’apparente à un totalitarisme sanitaire sous bien des aspects et son caractère numérique ne fait plus aucun doute. Ce sont des faits, rien que des faits. Certaines raisons qui sous tendent ce régime sont identifiées, assez claires et connues, d’autres le sont moins et demeurent opaque et obscures. Seul l’avenir nous montrera ce qu’il en est.6.

6. Je pense sincèrement que cette affection respiratoire contagieuse est apparentée à la grippe (c’est tellement vrai que la grippe a disparu car elle est remplacée par le Co vid, volontairement ou pas), non seulement par la similarité des symptômes ainsi que par la biodynamique saisonnière, mais aussi et surtout par la nature des groupes cibles qui en souffrent le plus et qui en payent le plus lourd tribu. Il n’en reste pas moins, quoi qu’en disent et qu’en pensent encore certains qui ne veulent toujours pas l’accepter et qui nient les données officielles, hypnotisés par la propagande médiatique et politique, que cette grosse grippe 2019 ne tue majoritairement que des personnes à risques avec comorbidités et dont la moyenne d’âge est paradoxalement légèrement supérieure à l’espérance de vie, soit entre 83 et 84 ans, que son taux de mortalité dans la population générale est de 0.05% avec un taux de létalité médian mondial de 0.23%, entre 0.5 et 1% en Europe occidentale. Je ne répondrai plus aux personnes qui viendraient à la suite de ce point me traiter de menteur, je les renvoie à leurs propres investigations, je n’ai aucune vocation prosélyte, chacun pense ce qu’il veut et entretient des croyances personnelles qui ne me regardent pas.

Les chiffres que je publie sont toujours sourcés et ont fait l’objet de recherches et de vérifications (mes réseaux d’informations scientifiques sont sérieux et crédibles), mais les aveugles persistent à se mettre la tête dans le sable et à dénier la réalité qui leur est trop insupportable, lui préférant certaines croyances plus confortables et conformes à leurs angoisses et à leur valeurs.7.

7. Je ne nie pas la réalité des services hospitaliers, en revanche je suis convaincu que cette réalité est amplifiée volontairement par les autorités pour entretenir la peur et justifier les mesures sanitaires de confinement et de distance sociale et je suis convaincu qu’une grande partie des patients déclarés « covid » ne sont pas malades du virus mais seulement porteurs de l’ARN viral entier ou fragmentaire et que la saturation des services est en partie due au climat malsain de peur et d’affolement fabriqué par les autorités et les médias tous pilotés par des scientifiques paniqués et thanatophobiques ayant probablement des liens et des conflits d’intérêts économiques, politiques et idéologiques dont ils ne sont peut-être même pas conscients, précipitant des milliers de personnes dans les hôpitaux.

8. Enfin, je pense qu’au lieu de monopoliser tant d’énergie et tant de moyens financiers pour une immunité collective artificielle qui n’assure même pas la non contamination des personnes protégées, il serait plus urgent de développer, d’encourager et surtout d’autoriser les traitements préventifs et curatifs connus qui ont fait leurs preuves, quoi qu’en pensent les détracteurs de ces traitements qui persistent dans leur déni et leur ignorance: la bithérapie HCQ/ AZT (et d’autres antibiotiques), l’Imervectine, l’Artémisia, les vitamine D et C à haute dose et le zinc ainsi que l’entretien d’une vie saine, aérée, déstressée, conviviale, sportive, bref autant de conditions que ce régime sanitaire délétère ne permet pas et qui contribue énormément à ajouter plusieurs couches toxiques, autant de facteurs syndémiques aggravants pour les personnes susceptibles de contracter le virus et peut-être la maladie.

Joyeux Noël…

25 décembre 2020

© Michel Rosenzweig

Michel Rosenzweig est philosophe de formation (histoire de la philosophie, ULB) et psychanalyste. Son intérêt pour la géopolitique se porte sur les enjeux relatifs à la montée de la nouvelle judéophobie inscrite dans l’idéologie de l’islam politique radical et conquérant. Il a publié à ce sujet des articles pour Metula News Agency, Guysen news international et Causeur. Très préoccupé par la dérive antisémite contemporaine, il est résolu à défendre le concept de l’intégrité d’un monde démocratique et libre de toute forme de servitude, affranchi des démons totalitaires liberticides, d’où qu’ils proviennent.

Michel Rosenzweig

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