Le virus n’a pas de frontière, ce n’est donc pas la peine de fermer les nôtres.
C’est ainsi que nos gouvernants, contrairement à pas mal d’autres pays, qui s’en sont sortis mieux que nous, n’ont pas jugé bon de fermer les frontières françaises, ont laissé pendant des semaines, des avions arriver de partout, sans le moindre contrôle sanitaire, sans masque et même en faisant en sorte que personne ne trouve de masque.
Quelques mois après, le même gouvernement arrive à faire croire, à force de tripatouillages de chiffres et de matraquage médiatique, qu’un virus qui compte moins de 1 % de létalité, et encore, chez les personnes âgées ou déjà malades, ravage encore la France. Il n’en est rien.
Et de prendre des mesures relevant de l’autoritarisme et de l’absurde, avec, comme summum, interdire le ski aux amateurs. Alors même qu’en plein air, le risque de contamination n’existe quasiment pas.
Mais voilà, la Suisse et l’Autriche ouvrent leurs stations.
D’un coup, la France se souvient donc qu’elle a des frontières à fermer et le président promet des mesures coercitives pour empêcher de sortir, des gens qui ont le malheur d’avoir les moyens de skier.
L’absurdistan est en plus, une prison. Le Nord-Coréen Kim Jong-un doit se marrer.
© Pierre Duriot
Pierre Duriot est Porte parole national du parti gaulliste « Rassemblement du Peuple Français« .
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