Armen Ghazarian. La France finance ceux qui veulent nous envahir et a donné 3 milliards à la Turquie

Combien de temps va durer ce suicide qui consiste à financer ceux qui veulent nous envahir? Ce masochisme inspiré d’accords ineptes est une honte. Mais la pire des hontes est de financer un criminel de guerre, génocidaire, épurateur ethnique et culturel des Arméniens, des Yézidis, des Kurdes, des assyro-chaldéens, qui menace la Grèce, occupe Chypre, et protège, organise et utilise les groupes de l’EI, Daesh, et d’Al Qaïda, qui violent, enlèvent, décapitent ou vendent en esclavage sexuel. Ce criminel de guerre qui enferme opposants et journalistes.

Cet argent, les français en ont besoin pour développer leur armée et retrouver une souveraineté sanitaire, alimentaire et industrielle.

La Turquie doit être boycottée, totalement, virée de L’OTAN, ses ressortissants fichés ex Loups gris ou islamistes expulsés.

La mollesse face des tueurs dignes des nazis, voire pires, est du suicide et de la trahison vis à vis des français et des peuples massacrés par le tyran génocidaire Erdogan.

© Armen Ghazarian

La France a donné 3 milliards à la Turquie depuis 2004

Trois milliards d’euros, cette somme rondelette représente l’ensemble des financements accordés par l’Agence française de développement (AFD) à Ankara depuis 2004 (Ce qui équivaut à 185 millions annuels depuis 16 ans). La Turquie est même le pays qui en a le plus bénéficié.

Ces largesses envers le régime autoritaire de Recep Tayyip Erdogan suscitent aujourd’hui beaucoup d’incompréhensions. « Il n’est pas normal qu’un pays avec lequel nous sommes en conflit sur la plupart des grands dossiers géopolitiques soit à ce point subventionné par un organisme public français« , tempête le sénateur LR Jérôme Bascher.

De son côté, l’AFD assure que ces financements visent avant tout à promouvoir une « croissance inclusive et sobre en carbone, au bénéfice non pas de la seule Turquie, mais de la communauté internationale« .

Dans les faits, les trois quarts du volume des interventions financent, par le biais des banques, divers projets écologiques ou pour l’emploi des femmes, ou, en direct, des infrastructures de transport ou d’eau.

Est aussi incluse l’aide, via des délégations de Fonds européens, aux régions affectées par la crise des réfugiés syriens.

« La question des réfugiés est centrale dans la place de la Turquie au sein de l’AFD, souligne un diplomate. Cela s’inscrit pleinement dans l’accord avec l’Europe. »

En 2016, la Turquie s’est en effet engagée à retenir les migrants désireux de rejoindre le Vieux Continent en échange d’un chèque de 6 milliards d’euros. Elle devrait rester l’un des principaux bénéficiaires de l’AFD, qui, dans sa stratégie pays 2020-2023, propose une « augmentation contrôlée » de ses subsides vers Ankara. Tout en soulignant « l’incertitude du risque turc« .

Source: Challenges. 26 novembre 2020.

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