Dans “ Une terre promise ” (Editions Fayard), première partie de ses mémoires, Barak Hussein Obama décrit Nicolas Sarkozy de la manière suivante :
“ Sarkozy, en revanche, était tout en emportements émotifs et en propos hyperboliques. Avec sa peau mate, ses traits expressifs, vaguement méditerranéens (son père était hongrois, son grand-père maternel juif grec), et de petite taille (il mesurait à peu près 1,66 mètre, mais portait des talonnettes pour se grandir), on aurait dit un personnage sorti d’un tableau de Toulouse-Lautrec. Bien qu’issu d’une famille aisée, il reconnaissait volontiers que ses ambitions étaient en partie alimentées par le sentiment d’avoir été toute sa vie un étranger… Les discussions avec Sarkozy étaient ainsi tour à tour amusantes et exaspérantes, ses mains en mouvement perpétuel, sa poitrine bombée comme celle d’un coq nain, son interprète personnel (contrairement à Merkel, il parlait un anglais limité) toujours à ses côtés, reflet exalté de chacun de ses gestes, de chacune de ses intonations, tandis que la conversation passait de la flatterie à la fanfaronnade, sans manquer d’une authentique perspicacité ni jamais s’éloigner de son intérêt premier, à peine déguisé, qui était de se trouver au cœur de l’action et de s’attribuer le mérite de tout ce qui valait qu’on s’en attribue le mérite”.
Ce portrait peu flatteur de Nicolas Sarkozy avec cette notation frise le racisme : (vaguement méditerranéen , grand père maternel juif grec , père hongrois ) . Il faut y ajouter les traces de méchanceté ou de haine : la taille de 1,66 mètre , les talonnettes , personnage de Toulouse-Lautrec , coq nain , mains en mouvement perpétuel , flatterie, fanfaronnade , un anglais limité …
Bernard-Henri Lévy s’est ému de cette accumulation de propos négatifs qui dessinent une caricature exprimant le mépris du Président américain envers un Président français peu à son goût.
S’agit- il de « muscler » le texte pour rendre moins indigestes les mémoires détaillées à l’excès d’un Président que BHL qualifie de « bad writer » ?
Ou bien Obama élu et réélu a-t-il regardé Sarkozy comme le Président d’un seul mandat donc voué à l’oubli ?
En tout cas, ce portrait d’une rare méchanceté ne grandit pas son auteur.
André Simon Mamou
Merci pour citer le livre d’Obama. Semble intéressant .
Sachant que le GROS procès, celui pour son rôle dans l’agression catastrophique (pour et par la France) de la Lybie en 2011, n’aura peut-être jamais lieu.
Que faire s’il a laissé une piètre impression sur Obama ? Alors que ce dernier ne tarit pas d’éloges sur Merkel ?
Peut-on exclure qu’Obama est fin observateur des hommes et sait de quoi il parle ?
Rien d’étonnant de la part d’Obama sans doute encore plus xénophobe et francophobe que Trump. Je me rappelle son fameux « la Russie est un petit pays qui ne produit rien »…
MR OBAMA SE COMPORTE COMME UN IMBECILE VIS A VIS DE M SARKOSY LUI QUI N’ A RIEN FAIT AU MOYEN ORIENT SI CE N’EST DE RENFORCER L’ARCENNAL NUCLEAIRE IRANIEN S’EST UN SINISTRE PERSONNAGE MEME SI J’AI COMMBATUT MR SARKOSY, L’ANCIEN PRESIDENT AMERICAIN ME CHOQUE .ON SE DEMAMDE SI ETRE D’ORIGINE JUIVE PETIT EXT EST UNE TARE ?CELA RESSEMBE A UNE SORTE DE RACISME ET D’ANTISEMITISME HONTE A LUI.
Y
President Obama,grand de stature mais petit mediocre pour oser publier de tels propos sur un Président Français ,
Sa méchanceté dépasse tout entendement
La presse américaine se comporte de la même manière abjecte envers la France que la presse française envers Israël. Au sujet d’un nouvel article raciste et diffamatoire du Washington Post, la LICRA vient d’ailleurs de tweeter « Your lies are a shame ». Quoique moins haineux que le WP et le NYT, Obama est lui aussi nourri de préjugés xénophobes et imbéciles à l’égard de notre pays. Car c’est bien lui qui est visé à travers les propos blessants envers N. Sarkozy.