Après avoir parlé, à propos de Nice, « d’attentats de faible intensité qui avaient de très fortes répercussions », le torchon d’Edwy Plenel tente de salir Elisabeth Badinter: « La philosophe multiplie les déclarations contre l’islamisme politique, celui qui tue, mais arrondit son immense fortune avec le pays qui en est le berceau, puisque Publicis, le groupe dont elle est la première actionnaire, est sous contrat avec l’Arabie saoudite, écrit Laurent Mauduit abrité dans le media aux méthodes contestables, un Laurent Mauduit fier au point de twitter encore au sujet de son « dossier ».
Minimisant l’injustifiable et l’inacceptable, le torchon poursuit inlassablement sa ligne: à défaut de pouvoir contrecarrer ses arguments, ils tenteront sans vergogne de détruire la personne et après avoir réduit Emmanuel. Macron à un banquier et Zemmour à un raciste, les voilà bientôt assimilant Elisabeth Badinter à un financier du terrorisme islamiste.
Bien sûr il serait possible d’emprunter leurs méthodes et d’aller à notre tour nous répandre au sujet des fonctions de l’épouse de l’auteur de ce ramassis qui se prétend informations ou de la famille Plenel.
A Dieu ne plaise.
Contentons-nous de nous en référer à ce papier de votre serviteur publié ici-même en 2017 sous le titre « Le prédicateur et le collabo » , où nous citions l’éditorial de Jacques-Marie Bourget évoquant dans Mondafrique , à propos de l’affection de Plenel pour Ramadan, « l’Union Sacrée d’un serrurier chargé d’ouvrir une porte et qui a besoin d’un passe-partout. Il trouve Edwy Plenel, fondateur du site Mediapart. Edwy et Tarik. Le premier déclarant récemment chez Yann Barthes : Avec Ramadan, même si nous avons des divergences, nous devons fonder une maison commune ».
Cochon qui s’en dédit.
Que peut-on attendre d’autre de la part de Mediapart ?
Sa clientèle de nécrophages se nourrit, mieux se délecte de l’ordure. Et Plenel est un marchand, un grossiste en pourriture.
Alors, pour défendre l’obscénité de ses positions, il a recours à l’attaque, la meilleure des défenses.
Mais, s’il se défend, c’est peut-être parcequ’il sent le vent tourner.
Pas exclu qu’un jour il retourne sa veste..