C’est officiel, la Belgique n’est plus un état de droit. Dans l’indifférence générale, un état fondateur de l’UE a basculé dans un régime autoritaire où les différents pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire, décident d’imposer à toute une population et de manière parfaitement antidémocratique des mesures sanitaires moyenâgeuses, réglant ainsi la vie privée de 11,5 millions d’individus en réduisant leur existence à une survie biologique élémentaire.
Conseillé par une junte médico-scientifique névrotique en blouse blanche, le gouvernement de l’état belge continue sa fuite sanitaire inique en avant, aidé par un quatrième pouvoir complice et à sa botte à 100%.
Tous enfermés vous allez tous mourir
Ce virus rend vraiment fou, c’est le Radjaïdjah du Lotus Bleu combiné à L’Etoile Mystérieuse : tous enfermés vous allez tous mourir.
Et pourtant, pour apaiser l’angoisse, il suffit de consulter les graphiques officiels pour constater le contraste entre ce qu’il se passe réellement et ce que les autorités en disent et en font. Or, d’après les sondages, 70% des belges approuvent ces mesures et réclament même un reconfinement général.
J’ai eu personnellement l’occasion de vivre tout récemment un épisode remarquable qui pourrait bien être un échantillon représentatif de cette majorité. La séquence a lieu dans un magasin de fourniture informatique. Je rentre avec le masque et le nez dégagé, à l’intérieur, dans un très grand espace, un couple de personnes âgées devant moi qui attendent sur les marques au sol avant d’aller au comptoir situé plusieurs mètres devant eux. La dame se retourne vers moi, me foudroyant du regard, et me demande de mettre mon masque sur le nez. Je lui réponds « non », elle me demande pourquoi, je lui dis que j’ai besoin de respirer. « Tout le monde a besoin de respirer », me dit-elle, « c’est à cause de gens comme vous que nous en sommes là », ajoute-t-elle. Deux personnes arrivent ensuite derrière moi dans la file, puis une autre et là, commence un véritable harcèlement qui tourne immédiatement au lynchage collectif, chacun y allant de son accusation en égoïsme, la dame me demandant si j’étais médecin, son voisin menaçant d’appeler la police ou encore un autre me demandant de signer une décharge de refus de soins au cas où j’attraperais le virus mortel, histoire de libérer un lit pour les bonnes personnes.
Tremblant intérieurement, je réussis néanmoins à garder mon calme dans le silence pendant que les uns et les autres continuèrent à me provoquer de manière agressive et menaçante. Voilà comment des mois de propagande délétère ont réussi à transformer une masse d’individus bien intégrés en juges, en procureurs, en policiers et en délateurs.
La fabrique de l’opinion et du consentement élaborée par le pouvoir bio-technocratique et les médias de masse a ainsi démontré de manière brillante comment il est possible de manipuler une population rendue docile et compliante par la peur institutionalisée en système de gouvernance.
L’expérience de soumission à l’autorité de Milgram
Beaucoup se sont demandé et se demandent encore peut-être aujourd’hui comment des millions d’allemands ont pu adhérer activement ou passivement au nazisme et même consentir à l’extermination de millions de personnes au seul motif qu’elles étaient juives. L’expérience de soumission à l’autorité de Milgram (1960/63) a fourni une explication scientifique sans appel : l’être humain préfère torturer que désobéir aux ordres.
J’accuse l’état belge, son gouvernement, son parlement et son sénat, ses magistrats et son conseil scientifique, ses académies de médecine, sa presse et plus particulièrement les médias audiovisuels officiels d’état et leurs journalistes serviles, d’avoir trahi les principes fondamentaux de l’état de droit au nom d’un impératif sanitaire douteux et d’avoir fabriqué des cohortes de monstres masqués dociles prêts à envoyer à la mort sous ordonnance les récalcitrants et les dissidents à l’ordre sanitaire tyrannique.
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