
B-H L écrit dans son « Bloc-notes » ( Le Point du 24 avril 25) une réaction intitulée « Chagrin et pitié en Tunisie » dont nous détachons les deux inter-titres suivants :
« La première réaction, face à ce tissu d’âneries , est de traiter la chose par le mépris »
« Et puis je pense à la Tunisie, ce grand petit pays qui donna, il y a quatorze ans, le signal des printemps arabes ».
On pourrait continuer à s’indigner de voir un professeur de Droit public élu Président de la République confisquer la totalité du pouvoir et déshonorer sa fonction , son titre et son peuple.
Une quarantaine d’opposants jugés sans intervention de leurs avocats et condamnés d’avance à des peines de prison sans autre possibilité que la réduction de moitié de la durée de l’emprisonnement décidé d’avance !
Pourquoi B-H L ? Parce qu’il est juif
Le Président Saïed hait Israël et il ne s’en cache pas.
Il hait les juifs : il a trouvé qu’un phénomène météorologique baptisé « Daniel » par les scientifiques prouvait l’implication des juifs dans la tempête qui provoqua des dégâts !
Interpellé par une mère de famille qui lui demandait pourquoi son fils , diplôme en poche , ne trouvait aucun emploi, il répondit sur un ton définitif : « Alla khatar elliyoud ! A cause des juifs ! »
La Tunisie va mal et à chaque fin de mois, le Président va quémander des prêts pour payer les salaires des fonctionnaires. L’Algérie les accorde pour se garder un allié dans sa confrontation avec le Maroc triomphant.
Mais KS commence à trop peser même s’il surenchérit dans la haine des juifs et de l’Occident. Le Président Tebboune réfléchit.
En conclusion la dernière ligne du bloc-notes :
« QUEL GÂCHIS !
QUELLE PITIÉ ! »
Tribune juive
Je réagis à propos du fameux printemps arabe qui on le sait a été piloté en sous-main par les frères musulmans, qui ont d’ailleurs toujours raflé la mise. Il ne s’agissait pas d’un élan d’amour immodéré de la démocratie comme ont voulu le faire croire les B.H.L
Bravo les Tunisiens. Qu’on en finisse avec la notion « d’état de droit » qu’aucun peuple du monde n’a choisi; qu’on en finisse avec la juiverie planétaire qui n’oeuvre pas pour le bien de l’humanité, mais pour SON pouvoir unilatéral. Et qu’on en finisse avec le faux pays du faux peuple juif, établi sur une terre volée et un tampon sur un papier. Aux chiottes