Rencontre-Débat mardi 22avril, 19h30, Schibboleth à l’Institut Français d’Israel à Tel Aviv. Inscription pour participation sur place ou par zoom: secretariat@schibboleth.fr
Avec M. G. Wolkowicz, R. Jerusalmy, O.Rafowicz, S.Fainberg, G. Benayoun, St.Wahnich, V.Chetrit, S.Tyano, E.Adda, M. Ifergan, C.Azoulay, Shirel Sayeg, D.Abitbol, JL.Repelski, J. Hattab, D.Milman, Steve Suissa /
SCHIBBOLETH à TEL AVIV: mardi 22 Avril , Institut Français d’Israël, Rothschild 7, Tel Aviv, 19h30 ou par zoom.
« L’actuel du trauma singulier/collectif, et la question du deuil et des liens : L’identité et la transmission en question(s) :
— Comment re-créer un fonds identificatoire commun aujourd’hui en Israël ? Façons d’être sioniste ! Dédiée à Michaël Bar Zvi : S/S dir. de Michel Gad WOLKOWICZ, avec Olivier RAFOWICZ Sarah FAINBERG, Raphaël JERUSALMY, Maurice IFERGAN, Sam TYANO Georges BENAYOUN, Stéphane VANISH,
Valérie ABÉCASSIS, Steve SUISSA,Jean-Louis REPELSKI, Viviane CHETRIT-VATINE, Daniel MILMAN, Jocelyn HATAB, Caroll AZOULAY, Emmanuelle ADDA, Shirel SAYEG, Michel Gad WOLKOWICZ,
Comment s’inscrire ? participation sur place /réservation : écrire à Secretariat@schibboleth.fr contribution : 50₪ (sur place) ou 15€ (par ce lien)
Participation par zoom écrire à secretariat@schibboleth.fr
Contribution : 50₪ ou 15€, par virement ou CB via ce lien https://www.schibboleth.fr/pour-une-clinique-du…/… )
Argument
Le 7 octobre 2023 est un traumatisme abyssal, cumulatif et transgénérationnel. « L’événement », toujours actuel en ce que « l’événement » même, qui se voulait irreprésentable mais a été rendu possible, révèle un symptôme tragique de l’état sociétal, psychopathologique, idéologique, politique, d’une psyché collective désétayée des marqueurs qui tenaient la conscience d’un fonds commun et la persistance d’un trait identificatoire collectif, transcendant les différends, voire les conflits, parfois très violents dans l’histoire du peuple Juif et depuis la création de l’État d’Israël, mais permettant une pluralité vivante et féconde.
Comment permettre un travail de deuil individuel et groupal, et de liens à reconstruire à partir de cette crise d’identité profonde et s’aggravant depuis plusieurs dizaines d’années, ayant produit, malgré une solidarité extraordinaire entre citoyens, des clivages massifs de par un consumérisme individualiste d’une part, et d’autre part via ce qui s’est constitué régressivement en tribus, hordes identitaristes (tout cela comme ailleurs dans les sociétés développées) aux seules fins d’une quête de reconnaissance tyrannique narcissique, et/ou d’intérêts propres, et d’egos fratricides…
Cette désagrégation du tissu « national » et d’une peau psychique groupale, aboutit à rendre impossibles consensus et prises de décision nécessaires et claires, en perspective, à propos des questions essentielles, de la vie en société et de la guerre.
La deuxième séance constituera une suite de cette première. Qu’est-ce aujourd’hui, qui, avec qui, pourquoi, quels sens et réalités, « sortir d’Égypte ? » Michel Gad WOLKOWICZ
photo M.G.Wolkowicz, par Shlomo Israel
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