Nouvelle « gaffe » palestiniste à la RTS Radio Télévision suisse. Par Joel Hanhart

27.3.2025. Quelques minutes à charge contre Israël, au mépris de la déontologie


«Écoutez l’avis de l’un des meilleurs spécialistes…»


La parole est donnée, sans préciser qui va parler, à… William Schabas.

Biais anti-israéliens de William Schabas:

👉Conflits d’intérêts avérés
– A reçu 1300$ comme consultant pour l’OLP en 2012 (non divulgué lors de sa nomination à l’ONU)
– A démissionné le 3 février 2015 de la commission d’enquête sur Gaza après révélation de ce conflit d’intérêts
– A participé au « Russell Tribunal on Palestine » (2010-2014), tribunal d’opinion critiqué pour son parti pris

👉 Déclarations publiques documentées
– 2009: A déclaré que Netanyahu serait « son premier choix » à traduire devant la CPI
– 2010: A suggéré dans un article que Shimon Peres pourrait être poursuivi pour les bombardements au Liban (1996)
– 2013: A affirmé lors d’une conférence à Londres qu’Israël « planifie des atrocités »
– A régulièrement utilisé le terme « apartheid » pour qualifier les politiques israéliennes

👉Dans son rôle à l’ONU (2014-2015)
– Nommé le 11 août 2014 pour diriger la commission d’enquête sur l’opération « Bordure Protectrice »
– Sa nomination a été contestée immédiatement par Israël et plusieurs pays occidentaux
– A initialement refusé de reconnaître un conflit d’intérêts malgré les preuves de sa collaboration avec l’OLP
– Les termes de référence de sa commission présupposaient des violations du droit international par Israël

👉 Publications et positionnements académiques
– A publié plusieurs articles critiquant exclusivement les actions militaires israéliennes
– Absence de publications critiques concernant les attaques terroristes contre des civils israéliens
– Siège au conseil d’administration d’organisations identifiées comme critiques systématiques d’Israël

Ces faits, vérifiables et documentés, établissent objectivement l’impossibilité pour William Schabas d’exercer une fonction d’enquête neutre sur le conflit israélo-palestinien.
Le présenter simplement comme «un spécialiste» est une manipulation qui contrevient aux devoirs du service public.


«Écoutez l’avis de l’un des meilleurs spécialistes…»

Présenter un activiste comme expert sans dévoiler son engagement militant constitue une violation flagrante du Code de déontologie des journalistes suisses. Cette pratique enfreint l’article 3 (omission d’information essentielle), l’article 4 (méthode déloyale), l’article 5 (information inexacte) et l’article 10 (confusion d’intérêts). Le journaliste manque ainsi à son devoir fondamental de transparence, privant le public de son droit à une information complète.

© Joel Hanhart

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1 Comment

  1. Pourquoi on ne peut pas attaquer en justice l’es journalistes menteurs par omission ou idéologie cela assainirait la profession qui devient de moins en moins fiable !

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