La Matinale de l’info d’, Shavouah Tov, Mardi 25 mars 2025, 25 Adar 5785, רק יחד ננצח 

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Beer-Sheva : servir 1,3 million de personnes. 

Un nouvel hôpital, l’Asuta, a ouvert ses portes après 70 ans d’existence de l’hôpital Soroka. Il dispose de technologies médicales avancées, dont des robots chirurgicaux.

Judée Samarie : drôle d’oscar. 

Chamdane Bilal, le réalisateur d’« Il n’y a pas d’autre terre », a été arrêté après avoir jeté des pierres sur les soldats lors d’un affrontement près de Sussiya. L’incident a commencé lorsque des Palestiniens ont attaqué des israéliens.

high-tech : malgré l’immense succès, il reste modeste.

Asaf Rapaport, co-fondateur de Wiz, vit avec des colocataires dans un appartement loué à Tel Aviv et utilise les transports en commun. Son entreprise a été vendue à Google pour 32 milliards de dollars, faisant de lui l’un des plus grands bénéficiaires de l’histoire des « exit » en Israël.

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Taux de change : 
Euro : 3,97 shekels
Dollar : 3,68  shekels

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Message matinal : oreille musicale…

Le ministre Yitzhak Goldknopf, filmé en train de danser sur une chanson indécente, s’est excusé pour son comportement. Il ne voulait pas froisser le hatan. À mon humble avis, cette chanson anti Tsahal devrait être bannie et interdite. Comme l’a bien dit le journaliste Amit Segal : « S’il avait entendu une femme chanter, serait-il resté danser ? Ou si cela avait été l’Hatikva ? » Il faudra lui poser la question… Allez, on attend la prochaine affaire. Ici, ça ne manque pas, hélas… Belle journée  

Avraham Azoulay

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Le Billet de Meir Ohana ? 

Au contraire : En ces jours de division – un rappel du bien qui nous unit

Au lieu d’ajouter un nouveau front intérieur à une scène déjà saturée d’ennemis extérieurs, mieux vaut choisir la responsabilité, la bienveillance et le respect mutuel.

On reparle encore de « guerre civile ». On entend à nouveau des appels à la désobéissance, à l’insurrection civile, au refus de payer les impôts. Difficile de ne pas se demander : n’avons-nous rien appris depuis ce jour terrible du 7 octobre ?

Les semaines qui ont suivi le massacre dans le sud ont été parmi les plus bouleversantes que nous ayons connues en tant que peuple – des instants rares d’unité, de véritable solidarité. Et voilà qu’à peine six mois plus tard, les déchirures réapparaissent. Les réseaux sociaux – véritables champs de mines d’incitation et de calomnies – sont de nouveau en ébullition.

Mais c’est justement là, au cœur des tweets et des tempêtes, qu’un rayon de lumière a percé cette semaine.

Une utilisatrice du nom de « NEREK » a posté un simple message :

« Juste avant qu’on en arrive à une guerre civile – est-ce qu’on pourrait partager ici des histoires de belles choses que des inconnus ont faites pour vous, sans rien attendre en retour ? »

En quelques heures, plus de 200 réponses ont afflué – autant de témoignages petits mais émouvants de bonté quotidienne, de cette lumière qui vainc l’obscurité.
En voici quelques-uns :

• Shlomi Rozental : « J’étais à Tibériade, je n’avais nulle part où manger le repas de Shabbat. Une famille formidable m’a accueilli. »

• Byoss : « Pendant le Covid, quand tout le monde peinait à travailler, mon propriétaire a simplement annulé le loyer d’un mois, sans que je ne demande rien. »

• Yitzhak : « Quand ma fille était hospitalisée, une famille inconnue a offert à ma femme une chambre chez elle pour le Shabbat. »

• Batkha Rotkoff Odem : « J’étais enfermée dehors de ma voiture. Une femme inconnue ne m’a pas seulement prêté son téléphone, elle a aussi été chercher mes clés chez moi quand elle a compris que personne d’autre ne le pouvait. »

• Sahar a résumé simplement : « Keren, tout est très dramatique, mais sors un instant dehors – il y a aussi du bon ici. C’est juste difficile de le voir depuis Twitter. »

Ces petites histoires sont la preuve que le peuple d’Israël est loin d’une guerre civile. Il y a ici un peuple chaleureux, généreux, aimant. Il suffit de faire briller la lumière – pas les flammes.

Lors de la dernière année de commémoration du décès du Rabbi Elimelekh de Lizhensk, surnommé le « Noam Elimelekh », beaucoup ont cité sa célèbre prière :

« Au contraire – mets dans notre cœur de voir les qualités de nos amis, et non leurs défauts… et que jamais ne monte dans notre cœur de la haine de l’un envers l’autre, à Dieu ne plaise. »

Ces mots sont aujourd’hui plus pertinents que jamais. Ce n’est pas un appel réservé aux rabbins – il nous est adressé à tous : du simple citoyen aux plus hauts responsables de l’État.

Plutôt que d’ouvrir un nouveau front intérieur alors que l’extérieur nous submerge d’ennemis – choisissons la responsabilité, la bienveillance et le respect mutuel.

Au contraire, et encore au contraire.

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Annonces matinales

Conférences et spectacles :

Inconnu à cette adresse – La pièce qui résonne avec notre actualité
Qui est le bon, qui est le méchant ? Et nous, qu’aurions-nous fait ?

1932. Deux amis, l’un resté en Amérique, l’autre reparti en Allemagne. Une correspondance bouleversante, mise à l’épreuve par la montée du nazisme.
Jean-Pierre Benaym et Gabriel Villa livrent une performance poignante du chef-d’œuvre de Kressmann Taylor.

Lundi 7 avril 2025 – Théâtre Suzanne Dellal, Tel Aviv
Billets dès 100 Nis | www.LiveStage.show | 03-966-41-08
Assurance annulation incluse
Bande-annonce : YouTube

OUVERTURE DES VENTES : DIMANCHE 23 MARS 2025 À 10h00
TEL AVIV COMEDY FESTIVAL – 4e ÉDITION

Deux soirées exceptionnelles sous le signe du rire avec :

• Ary Abittan – Lundi 9 juin 2025 à 21h00

• Samuel Bambi – Mardi 10 juin 2025 à 21h00

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03 915 56 32 | 09 86 87 61 35
Un rendez-vous à ne pas manquer !
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