« Sansal est la France et l’honneur de la France. Nous devons sauver cet honneur »

« Sansal est la France et l’honneur de la France. Nous devons sauver cet honneur »

La France, aujourd’hui, cœur, corps, âme, esprit, plume, liberté, c’est Boualem Sansal.

Écoutez ces beaux patronymes « bien de chez nous » : Olivier Faure, Marine Tondelier, Manuel Bompard, Aymeric Caron. Ils sont moins français et par leurs prises de position, souvent honteuses et scandaleuses, désormais « beaucoup » moins français et beaucoup moins précieux pour la France qu’un homme qui s’appelle Boualem et qui vient de la terre d’Algérie.

Ceux, de gauche ou de droite, qui n’ont pas compris que Boualem était plus français que la plupart d’entre nous, qu’il incarnait la France à présent, c’est-à-dire aussi le courage des mots, des idées, du style, la liberté de blâmer, la haine de la censure, l’amour de notre terre et de ce qui en est germé, moeurs, lois, arts … ceux-là ne sont pas de mes amis.

Boualem Sansal est le meilleur de nos compatriotes et un excellent écrivain qui illustre notre langue : il doit être sauvé coûte que coûte.

Je donne cent mille Mélenchon et tous les Dupont-Lajoie bornés ou racistes, tous nos islamo-gauchistes, nos vicomte de Lagasnerie, nos obscurantistes traqueurs d’islamophobie, nos ayatollahs, nos wokes, nos néoféministes épris du Hamas, nos décoloniaux communautaristes, nos contempteurs-déconstructeurs de toutes les grandeurs de la France, contre un seul Boualem Sansal.

Il faut des Boualem Sansal, des Daoud, des Finkielkraut , des Zemmour à la France puisqu’ils sont ceux qui auront le plus manifesté leur amour de ce pays et crié qu’il devait conserver son visage et sa personnalité, son idiosyncrasie, sa fierté, aussi, pour le bien de l’humanité tout entière.

Libérez Sansal et vite. Rendez-le nous Cette parodie de procès, ignoble, grotesque, répugnante doit prendre fin.

Le sang français est un sang d’encre.

© Antoine Desjardins

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2 Comments

  1. Je n’oublie pas que Boualem Sansal, l’honneur de la France et de l’humanité, a soutenu la tribune d’Annie Ernaux publiée dans « Le Monde » contre Richard Millet en 2012.

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