
Les statistiques récentes dressent un tableau alarmant de la situation des Juifs en Suisse.
L’antisémitisme, autrefois phénomène marginal, connaît une escalade sans précédent :+42,5% d’incidents entre 2023 et 2024, et une explosion de+287%depuis 2022. Un pays qui enregistrait environ 50 incidents antisémites annuels entre 2018 et 2022 en compte désormais 221 en une seule année.
Les attaques pogromistes du 7 octobre 2023 ont marqué un point de bascule, avec 50 incidents enregistrés ce mois-là et 47 le mois suivant.
Plusieurs causes sont identifiables.
Le rapport sur l’antisémitisme 2024 souligne que « ce qui se pensait ou se disait en cachette avant le 7 octobre est remonté à la surface ».
Des médias comme « Le Temps » et « Le Courrier » ont contribué à installer un « antisémitisme d’ambiance » difficile à quantifier mais omniprésent.
L’obsession antisioniste qui s’y déploie, ravivée par les attaques du Hamas et du Jihad islamique, se doublent dans le premier d’une dévalorisation pathologique du judaïsme vécu: les seuls « bons Juifs » sont ceux qui, avant de disparaître, crachent sur les Juifs réels (en illustration, la directrice du Conseil d’administration de cet organe au financement opaque servant les intérêts du Qatar).
Cette montée de l’hostilité se traduit par 11 agressions physiques en 2024 contre une seule en 2022. Les insultes verbales (44 cas) et les commentaires antisémites (103 cas) ont respectivement quintuplé et été multipliés par 17 en deux ans. Le phénomène s’étend désormais massivement au monde numérique, avec 1’596 commentaires antisémites recensés en ligne, majoritairement sur Telegram (890 cas).L’étude ZHAW/HETS-FR révèle que 46,9% des 1’335 membres de la communauté juive interrogés ont subi au moins une expérience antisémite dans le mois précédant l’enquête, contre 31,3% en 2020. Les comportements d’adaptation se multiplient : 32% évitent désormais de porter des signes visibles de leur identité (contre 19,5% en 2020).
Difficile d’établir une causalité directe mais dans le contexte actuel les données suivantes doivent aussi être considérées :
Augmentation de 10% en un an du nombre de Juifs suisses envisageant de quitter le pays pour Israël, atteignant désormais 28,4%.Ce phénomène s’inscrit dans un contexte européen plus large, avec 38% des juifs européens envisageant l’émigration.
Le palestinisme, alimenté par les réseaux qataris récemment mis en évidence dans l’agitation antijuive (« antisioniste ») en Suisse, contribue certainement à éroder la confiance dans les institutions d’un pays autrefois perçu comme un havre de paix pour toutes les minorités religieuses.
Sources:
https://lnkd.in/djiBcv-c
https://lnkd.in/d_7um85H
© Joel Hanhart
les Schweinss sont très propres sur eux et dans leur langage polisse. Comme dailleurs les magnifiques paysages de ce joli Pays.
Mais derrière ce paravent ce cache toute la laideur de l’humanité. Les prétendues valeurs dont se réclament les petits suisses, masquent la veulerie, l’arrêté au gain, une passion sans limite pour l’argent, quelqu’un soit l’origine. La Suisse lave plus blanc que le blanc. Une véritable machine à la laver pour l’argent sale des trafiquants de drogue, et il y a quelques decennies, le recyclage de l’or des chambres a gaz de Himmler et Goering durant la Shoah… A part ça très créance, très créance, les petits
schweinns…