Terreur militante à Sciences Po? Par Pablo Ladam

« À Sciences Po comme au Far West, on pend d’abord, on juge ensuite. »

À vingt ans, Pablo Ladam, étudiant à Sciences Po Paris, livre un témoignage saisissant sur les mutations profondes qui bouleversent son école. Au fil d’une enquête minutieuse, il dévoile l’émergence d’un système de justice parallèle orchestré par le « Pôle violet », une organisation étudiante autoconstituée qui, via une plateforme numérique de signalement, s’est arrogé un droit de regard sur la vie du campus.

L’auteur documente avec précision les mécanismes de ce tribunal informel : dénonciations anonymes, ostracisme organisé, pressions psychologiques. Son récit s’appuie sur des témoignages d’étudiants confrontés à ces pratiques, et sur sa propre mise au ban. Face à ces dérives, il interroge la responsabilité d’une administration qui peine à faire respecter les principes fondamentaux du débat démocratique.

Cette immersion dans l’un des établissements les plus prestigieux de l’enseignement supérieur français révèle les tensions qui traversent notre société. Comment garantir la liberté d’expression tout en luttant contre les discriminations ? Peut-on sacrifier les droits de l’homme sur l’autel d’une cause, si noble soit-elle ? Un document exceptionnel qui résonne comme un cri d’alarme.

Pablo Ladam, auteur de «Terreur violette» (L’Observatoire), est l’invité d’Alban Barthélemy dans Points de Vue.

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1 Comment

  1. Cette école prestigieuse se dégrade parce que des élèves politisés s’y sont infiltrés jusqu’à pourrir la vie de ceux qui ne pensent pas comme eux, d’ou ce « pôle violet » un mouvement féministe auto proclamé. Si la direction de l’école ou étudie Pablo Ladam n’y met pas bon ordre, comme dans toutes les autres écoles S.p. Elle deviendra une école réservée aux étudiants gauchistes et propalestiniens.

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