
LA FABLE DE LA FAMINE À GAZA
En résumé :
LES FAITS CLÉS : PAS DE FAMINE AVÉRÉE
– Aucune famine selon les critères scientifiques de l’IPC
– Taux de malnutrition à peine plus élevés qu’avant la guerre
– Approvisionnement alimentaire globalement suffisant DES RAPPORTS DÉFAILLANTS
– Données incomplètes sur l’aide alimentaire
– Erreurs majeures de méthodologie
– Prévisions alarmistes jamais vérifiées
– Omission de sources d’approvisionnement essentielles LA RÉALITÉ DES CHIFFRES
– Taux de malnutrition avant-guerre : 4% (non 0,8-1% comme affirmé)
– Taux actuels : 2-5% selon les zones
– Classification réelle : « Crise » (Phase 3) maximum, non « Urgence » ou « Famine » IMPACT INTERNATIONAL
Ces rapports contestables ont influencé :
– La Cour internationale de Justice
– Le Procureur de la CPI
– Le Secrétaire général de l’ONU
CONCLUSION
La situation humanitaire à Gaza a été systématiquement exagérée.
Les allégations de famine ne reposent pas sur des bases scientifiques solides.
Cette analyse révèle un écart majeur entre les rapports alarmistes et la réalité du terrain, posant de sérieuses questions sur les motivations de ceux qui ont émis des rapports mensongers et s’en sont servi pour manipuler les opinions.
https://www.uklfi.com/
Voir aussi :https://lnkd.in/dtaTy8i2
LinkedIn : Merci de ne supprimer ce post que si ses détracteurs prouvent que l’étude – dont il résume la méthode, les résultats et les conclusions – n’est pas sérieuse.
Dans le même ordre d’idée, merci de restituer le post original (plus détaillé).
© Joel Hanhart
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