Gaza comme fétiche, comme symptôme ou comme passion ? – Michel Gad Wolkowicz est l’invité de Yana Grinshpun pour « Perditions idéologiques »

Dans cet entretien passionnant avec Michel Gad Wolkowicz, nous abordons ce que Yana Grinshpun appelle « le désir de Gaza » et ce que le psychanalyste Michel Gad Wolkowicz explique comme fétichisation d’un fantasme de destruction.

En effet, un grand nombre de discours, qu’il s’agisse des discours manifestants (banderoles, affiches, slogans), des noms des groupes de soutien, des titres d’articles, des numéros spéciaux de revues, de production cinématographique, d’obsessions politiques, de décisions diplomatiques, portent sur « Gaza ».

« Queers for Gaza », « mur de Gaza », « all eyes on Gaza », « tout ce que vous voulez savoir sur Gaza », « Gaza mon amour », de Gaza à l’Ukraine, de Gaza à Auschwitz etc… interrogent les experts sensibles au discours et ses leurres. Explication psychanalytique et métaphysique qui mérite d’être entendue.

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1 Comment

  1. Mohammed Amin al-Husseini était (tout comme Stepan Bandera) un allié de Hitler et un complice de la Shoah. Le palestinisme est intrinsèquement, fondamentalement nazi. Si les héritiers de Bandera sont localisés à Kiev et chez leurs amis européistes, ceux de Mohammed Amin al-Husseini ont conquis une grande partie de la planète. Un palestiniste est un Nazi ayant troqué sa Croix gammée contre un drapeau palestinien. Le fait que la «  » » »cause palestinienne » » » » (ajoutez autant de guillemets que vous le souhaitez) soit devenu un motif d’engagement chez la jeunesse de notre occident décérébré indique une accélération exponentielle du phénomène de Nazification de nos sociétés. Certaines sont évidemment plus touchées que d’autres et la « France » en fait évidemment partie.

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