D’abord une pensée pour le monsieur de 69 ans, ressortissant portugais dont le nom est inconnu à cette heure, qui a été tué par un terroriste lors de l’attentat commis à Mulhouse le samedi 22 février.
Des pensées émues et reconnaissantes pour les policiers municipaux qui sont courageusement intervenus et qui ont été blessés.
L’homme qui a attaqué ces innocents présentait toutes les caractéristiques de la dangerosité criminelle.
Ressortissant algérien entré illégalement sur le sol national , il avait été condamné peu après le 7 octobre par un tribunal correctionnel pour des faits d’apologie du terrorisme relatifs au 7 octobre.
Placé sous OQTF, obligation de quitter le territoire français, le ministère de l’intérieur avait essayé à dix reprises de le renvoyer en Algérie.
A chaque fois c’était le même scénario : placement en centre de rétention administrative (CRA) , demande aux autorités algériennes de reprendre leur ressortissant en délivrant un laisser-passer consulaire et absence de réponse des autorités algériennes ou refus de reprendre leur ressortissant.
L’homme était considéré comme si dangereux qu’il était assigné à résidence et contraint de pointer chaque jour au commissariat de Mulhouse, cette obligation de pointage quotidienne étant totalement hors norme.
C’est d’ailleurs à quelques centaines de mètres de ce commissariat qu’il s’est précipité, couteau à la main, sur ses victimes aux cris d’Allah ouakbar.
L’attitude actuelle des autorités algériennes pose question.
Outre cet attentat qui aurait pu nous être évité, on apprenait aussi cette semaine que l’Algérie demandait officiellement à l’écrivain Boualem Sansal, emprisonné en Algérie, de changer d’avocat au motif que son avocat français est juif.
Cet antisémitisme d’Etat trouvait sa prolongation sur le sol français puisque pour les deux synagogues ayant fait l’objet d’une tentative de mise à feu en 2024 (Rouen et la Grande Motte), deux ressortissants algériens ont été pris sur le fait.
Comment éviter que de tels faits se reproduisent, faisant de nouvelles victimes ?
Les politiques se sont mis au travail et vont faire de chaque côté de l’échiquier des propositions d’action que nous ne jugerons pas ici.
On aimerait cependant qu’il y ait également une réponse citoyenne ou plus exactement une levée de boucliers au cours de laquelle de tous horizons politiques et religieux soit exprimé clairement le refus de cette violence.
Au delà de la réponse psychiatrique trop facile s’abritant derrière l’explication de la schizophrénie, il faudra redemander à Monsieur Bompard de LFI si cette fois-ci il est d’accord pour dire que l’islamisme peut être un danger pour la République.
A cette question il a refusé de répondre la semaine dernière.
De même, au delà de nombreux musulmans qui n’approuvent pas ces actes terroristes commis au nom de l’islam , il serait sans doute utile qu’une réaction générale soit coordonnée .
Le premier pas fait par le recteur de la mosquée de Lyon, Kamel Kabtane, est constructif. Au nom des mosquées du Rhône, il estime que « Rien ne peut justifier de telles violences qui ne font que semer le chaos et la division ».
Ce qui est certain, c’est que Mulhouse ou plutôt ce qui s’y est passé sonne comme un échec français et qu’il est urgent de trouver des parades efficaces pour que les français ne désespèrent pas.
© Raphaël Nisand
Chroniqueur sur Radio Judaïca
Un regime politique qui fait entrer des centaines de milliers d islamistes chaque année , en prenant bien soin de donner des papiers et de l argent aux » clandestins » ne peut pas etre en echec !!!!!!!
Au contraire , la classe possedante a choisi cette strategie depuis 40 ans et elle maintiendra celle ci quoi qu en pense le petit peuple .
Ou voyez vous un echec ? Les familles des possedants ne subissent ni degat ni insecurité , et les grands patrons profitent pleinement du dumping social qui transforme la France en asile de necessiteux .
Entièrement d’accord avec vous. Il faut tenir un discours de vérité au regard des faits et cesser de (se) raconter des histoires à dormir debout.
Les faits sont têtus DÉMOGRAPHIQUEMENT et ÉCONOMIQUEMENT. C’est un principe de réalité qui s’impose à tous : l’immigration massive est une chance pour que la France et l’Europe disparaissent et, ce faisant, pour qu’elles voient leur désir de sortir de l’histoire enfin accompli.
Effondrement en Europe de la natalité. En Afrique, bientôt 2,5 milliards d’êtres humains en 2050. Les Ehpads et les entreprises auront un besoin pressant d’une main d’œuvre abondante et corvéable à merci venant de pays en détresses écologique et économique et qui sont en outre d’anciennes colonies ayant un compte à régler avec le colonisateur européen que nous sommes restés. Le ressentiment et la haine des hommes sont beaucoup plus actives et vives que leur amour. C’est en somme le déroulement implacable de la vieille dialectique du maître et de l’esclave : la décolonisation n’est pas la fin de la colonisation mais seulement une étape intermédiaire. Tout sera vraiment accompli quand les colonisateurs se seront fait coloniser à leur tour. Ce qui est pour bientôt. Il n’y aura pas d’arrêt encore moins de retour en arrière d’un tel processus.
L’Europe sombre et disparaît, engloutie, submergée. Appelons cela un grand remplacement ou une violente acculturation : peu importe les termes. Enfin l’idéologie wokiste, enseignée dès la maternelle à l’école, permet de faire passer la pilule auprès des jeunes générations. Elles doivent apprendre à aimer leur soumission, à baisser la tête devant leurs nouveaux maîtres qui viendront leur imposer leurs règles.
Il faut reconnaître à Mélenchon le mérite d’avoir le premier à gauche affirmé et souhaité explicitement le grand remplacement du « vieux » peuple français par le « nouveau », créolisé et islamisé, d’avoir assumé haut et fort le primat de la race et de l’islam sur tout le reste afin de s’en servir comme d’une arme politique. En somme d’être sorti du déni. Mais le futur qu’il trace, en raison même des concepts qu’il emploie, n’est pas le paradis qu’il nous promet. Il doit bien savoir que tout discours raciste commence par parler de métissage pour finir par affirmer la supériorité des races pures sur celle des mélangés, bientôt tenus pour des sous-hommes. Le métissage ne fait pas disparaître la folie raciale, au contraire, il ne fait que l’exacerber puisqu’il met en avant l’existence de races ascendantes censées être plus pures et qui vient déchirer la conscience du métis qui ne sait pas à laquelle il est le plus attaché. Quant aux Juifs, soyons sûrs qu’ils auront disparu depuis longtemps, emportés avec le vieux monde ou peut-être réfugiés en Israël.
Il n’y a pas d’échec dans tout cela, vous avez raison, on peut même parler d’une parfaite réussite. Si notre bateau sombre, il n’a pas fait naufrage, il s’est d’abord sabordé.
Mais la quasi totalité des horreurs commises dans ce pays seraient évitées si l’Etat n’en était pas complice. Un « échec français » ? Non, un crime commis avec la complicité des autorités. Comme le meurtre de Sarah Halimi, le viol et le meurtre de Lola et des milliers d’autres atrocités. Aucun « échec français » mais au contraire l’énieme fruit d’une politique criminelle et collaborationniste ayant été planifiée et mise en place à tous les échelons de l’Etat.
Pourquoi doit-on recevoir des personnes « dérangées » ? Pourquoi ne pas être très fermes avec les pays qui nous les envoient et ne peut-on pas les renvoyer chez eux ? Je ne vois qu’une solution : fermer les frontières.