Libération des terroristes interrompue jusqu’à garantie par le Hamas de la fin des « cérémonies » de restitution des otages

Chaque samedi et jeudi encore, Israël a bu le calice jusqu’à la lie, supportant sans broncher les spectacles indignes, pervers et humiliants orchestrés par le Hamas avant de « rendre » nos otages.

Le point d’acmé a-t-il été atteint lors de la cérémonie de restitution des otages d’hier, au cours de laquelle on aura tout vu, du « spectacle » récurrent avec estrade, remise de diplômes, spectateurs, mais encore cette fois obligation pour un otages d’embrasser son bourreau et, surtout, surtout, -nous ne l’avons appris qu’après-, obligation pour 2 autres otages, Guy Gilboa Dalal et Evyatar David, d’assister au spectacle avant de retourner dans ce qui leur sert de geôle.

La perversité extrême avait été atteinte jeudi, lors de la restitution des 4 corps attendus, les cercueils étant présentés au son d’une musique entrainante et face à un public convoqué pour l’occasion, enfants compris.

La suite, chacun la sait: l’insupportable découverte des sévices infligés aux 2 corps d’enfants étranglés et mis en pièce, l' »erreur » qui fit que le 3e corps n’était pas celui de Shiri, etc…

Il ne fallait pas compromettre le retour, samedi, des 6 otages, mais il fallait, de surcroit, rendre en échange cette fois quelque 600 terroristes de haut vol: le pacte avec le diable en somme.

Alors que ces 600 bombes humaines avait été dans un premier temps transférée -avec retard- dans des camions, on a appris la suspension de l’échange, et l’on vit le retour des mêmes au point de départ: Le Cabinet de Netanyahou réuni en urgence en avait décidé ainsi et on ne peut que comprendre et, pour nous, approuver: les terroristes seront libérés « si » et « seulement si » le Hamas s’engageait à restituer les otages restants en s’abstenant de la mise en scène hebdomadaire.

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Il y en aura pour venir dire qu’israélo-palestiniennes a rompu les accords, le pacte avec le diable, d’autant qu’il est aussi question de suspendre aussi l’aide humanitaire.

Comment ne pas finir ces pauvres lignes en taisant l’assourdissant silence mondial, à de rares exceptions près, face à ce que subit Israël depuis le 7 octobre, et comment ne pas être assuré qu’il y aura un jour un Procès de Gaza comme il y eut un Procès de Nuremberg.

Enfin, comment ne pas nous répéter en appelant de nos voeux à … « une bombe sur Gaza », la chose étant ici une formule hâtive mais pensée par nous auxquels les barbares ont appris la haine. Comment ne pas soutenir, de la même manière, Barbara Lefevre « suspendue » pour avoir appelé sur un plateau télé à … « Vider gaza ».

A noter:

Selon l’accord, Israël doit se retirer de l’axe de Philadelphie jeudi.
Quatre corps de nos morts doivent revenir la veille… Il n’y a actuellement aucune libération de terroristes.

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