Aux confins de l’ignominie. Par Yaël Simon



Pallywood n’en finit plus de sombrer dans la dépravation la plus abjecte. J’en veux pour preuve la dernière mise en scène de restitution des corps d’otages, brutalement assassinés dans les geôles du Hamas, du Djihad islamique ou dans quelque habitation privée de « civils gazaouis », collaborateurs zélés de l’officine locale des Frères musulmans, entièrement dévouée à sa vocation génocidaire.

En ce sinistre 20 février 2025, les foules fanatisées ont été invitées à se repaître en famille de ce spectacle macabre, tels les badauds qui assistaient en masse, en d’autres temps, au supplice des régicides et criminels de sang. Parmi cette joyeuse assemblée, venue profiter de ce divertissement gratuit en plein air, casse-croûte, chicha et smartphone en bandoulière, des bébés de l’âge de Kfir lorsqu’il a été arraché à son berceau. Il n’est jamais trop tôt pour enseigner à ses rejetons les fondamentaux de la haine des Juifs et la mission sacrée de les exterminer jusqu’au dernier.

Côté scénographie, destinée à deux audiences (la sphère arabo-musulmane d’une part, la « communauté internationale » et les idi0ts utiles d’autre part), on notera l’incontournable estrade où sont exhibés les condamnés, le non moins traditionnel déploiement du narratif d’inversion victimaire et accusatoire, les étendards de toutes les factions terroristes « palestiniennes », mais aussi une immense banderole, concentré de poncifs antisémites, du meurtre rituel d’enfants au vampire suceur du sang. Des caricatures ancestrales qui retrouvent une nouvelle jeunesse au Moyen-Orient – et dans les productions douteuses des vidéastes amateurs de LFI. Parce que le Hamas, passé maître en manipulation des esprits faibles, est conscient que les Occidentaux, quoique fortement insensibilisés aux souffrances des « bébés colons », peuvent avoir l’âme tendre, il a exigé que l’assistance modère son enthousiasme sanguinaire et choisi d’utiliser des cercueils de taille adulte pour les deux petits garçons. Tout ceci sous le regard passif, voire complice, du CICR.

Comble de sadisme, les nazislamistes ont remplacé la dépouille de Shiri par les restes d’une femme non-identifiée. Si l’on peut poursuivre la torture psychologique d’une famille et de tout un peuple par-delà la mort de ces malheureux, pourquoi s’en priver ?

Que la mémoire de ces innocents soit une bénédiction.

עם ישראל חי


NB : par respect pour les familles, je ne publie pas de photo de la mise en scène morbide. La dignité des soldats de Tsahal est une bien meilleure option.

© Yaël Simon

MD in History, Yaël Simon is Journalist, subeditor, proofreader et translator English to French 

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2 Comments

  1. ces photos des petits me hantent
    j ai pleuré en lisant ce qu ils avaient subi
    comment est ce de possible de s en prendre ainsi à deux
    petits’
    en écrivant j ai les larmes aux yeux
    ces barbares meritent la mort

  2. Ce sadisme est bien présent chez les Nazis psychopathes de la FI qui se plaisent à décoller les affiches des otages. Beaucoup d’entre eux sont cadres, fonctionnaires, enseignants, universitaires etc…Mais derrière leur apparence de.gens civilisés, ils sont potentiellement aussi sadiques et barbares que leurs cousins gazaouis ou syriens.

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