Incitation et folie
Parfois, je me demande si la secte radicale de la haine de gauche a étudié les mathématiques au lycée.
Le 7 octobre, 251 civils et soldats ont été kidnappés à Gaza. Jusqu’à présent, deux opérations d’échange ainsi que plusieurs tentatives de sauvetage ont eu lieu qui ont conduit à une réduction radicale du nombre d’otages : de 251 à 59.
En d’autres termes, sans renoncer à l’objectif de guerre d’écraser le Hamas ou de l’exiler, Israël a réussi à rapatrier 77 pour cent des personnes enlevées (la grande majorité d’entre elles vivantes, et une petite partie, malheureusement, décédées).
On estime que sur les 59 personnes qui ne reviendront pas d’ici la semaine prochaine, 25 sont en vie et les autres ont été assassinées par le Hamas.
Nous voyons également comment le gouvernement israélien a pu tirer parti du soutien de Trump pour ramener davantage de personnes enlevées et/ou à un rythme plus rapide que prévu.
Ce fut le cas d’Arbel Yehud, et il devrait en être de même samedi pour les six personnes kidnappées qui rentreront chez elles vivantes.
En outre, le gouvernement s’efforce de prolonger autant que possible la première phase de l’accord, afin de libérer davantage d’otages vivants.
Et on peut supposer que même si les portes de l’enfer s’ouvraient, il y aurait des points en enfer où un autre cessez-le-feu tactique serait proposé afin de libérer davantage d’otages.
Et tout cela sans renoncer au but de la guerre, qui est d’une importance stratégique primordiale et qui jouit d’une priorité lexicale : l’effondrement complet du Hamas afin que les événements du 7 octobre ne se répètent pas et que les kibboutzim de l’enveloppe de Gaza puissent vivre une vie paisible.
Il ne fait aucun doute qu’à tous égards, il s’agit d’une réussite extraordinaire du gouvernement israélien, obtenue dans des conditions extrêmement difficiles.
Aucun pays au monde n’a été obligé de mener une guerre aussi complexe alors que l’ennemi cruel détient 251 otages, la plupart d’entre eux étant des civils, et fait un usage transparent de la propagande psychologique, avec la complicité des principaux médias du pays et affaiblissant la capacité des dirigeants de cette nation à atteindre leurs objectifs cruciaux.
Mais la haine
Oh la haine
Le culte des fous et des manifestants professionnels, en proie à une grave hypocrisie et à la haine du peuple d’Israël, défile à Jérusalem tandis que le Premier ministre d’Israël est vêtu d’une robe orange et ressemble à quelqu’un sur le point d’être pendu.
Une femme délirante nommée Carmel Yom Tov arbore un panneau de deuil pour le « terroriste » Benjamin Netanyahu.
L’incitation des « seigneurs du pays » – Yair Golan et Ronen Tzur (deux professionnels sanguinaires) – atteint des niveaux que nous n’avons jamais vus auparavant.
Et bien sûr, les heuristiques et leurs alliés se taisent et ne font rien.
Ni la souveraine à ses propres yeux, ni le procureur général, ni le chef du Shin Bet. Ils sont occupés à contrecarrer leur propre licenciement en se concentrant sur des enquêtes qui servent leurs intérêts en préservant leurs centres de pouvoir.
Si les dirigeants du Shin Bet et du Bureau du Procureur général ne prennent pas des mesures immédiates pour réduire l’incitation, le sang des dirigeants du peuple d’Israël sera sur leurs mains et ils seront jugés par le peuple après la guerre.
© Mordehaï Fitoussi
Marc Mordehai Fitoussi est le créateur du groupe Telegram « Israel Eternel », site d’information en temps réel sur la situation en Israël. Avec quelque 52 000 membres à ce jour, Israel Eternel est devenu une source incontournable pour des informations vérifiées et rapides, des réactions en temps réel, un filtrage inédit des fake news.
« Le principal c’est d’être le premier à donner les infos vérifiées sans faire stresser les membres. C’est le but que je me suis fixé depuis le début. Je veux aussi rassurer les centaines de parents de combattants qui sont dans le groupe », me disait Mordehaï récemment…
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