« L’enseignement de la haine de l’autre dans le monde arabo-musulman ». Faraj Alexandre Rifai invité de Yana Grinshpun pour « Perditions idéologiques »

Dans cet entretien à deux volets, Faraj Alexandre Rifaï, franco-syrien, « décidé de se ranger du côté de l’ennemi qu’on lui a désigné (les Juifs), explique le processus mental et intellectuel qu’il a traversé venant du nationalisme syrien islamisé, férocement antijuif à l’amitié et l’attachement profonds à l’égard non seulement du peuple juif mais aussi d’Israël.

L’auteur du roman « Grandir ailleurs » explique la stratégie de l’éducation à la haine à tous ceux qui n’étaient pas musulmans en Syrie de Hafez et Bashar al-Assad, surtout les Juifs, mais aussi les chrétiens.

Il fournit un témoignage important sur la manière dont la Syrie, cet ancien protectorat français, a diffusé le négationnisme, la mythologie antijuive inspirée par les nazis, convertis à l’Islam et devenus conseillers du régime syrien.  Venant d’une famille à moitié traditionaliste musulmane, à moitié communiste, il analyse l’origine des discours de haine antijuive diffusés aujourd’hui par la gauche radicale.

Son jugement est sans concession à l’égard de la cécité française en ce qui concerne la défense des intérêts chrétiens par la France et son indifférence absolue à l’égard du sort des Juifs.

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