
Dans cet entretien à deux volets, Faraj Alexandre Rifaï, franco-syrien, « décidé de se ranger du côté de l’ennemi qu’on lui a désigné (les Juifs), explique le processus mental et intellectuel qu’il a traversé venant du nationalisme syrien islamisé, férocement antijuif à l’amitié et l’attachement profonds à l’égard non seulement du peuple juif mais aussi d’Israël.

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