Les hommes (et les femmes) d’affaires de la victimisation offrent une explication répétitive et rhétoriquement habile de leur lutte contre « l’islamophobie » qui se situe au carrefour idéologique postmarxiste et islamiste ( « Vous êtes les victimes du colonialisme impérialiste blanc », disent des mouvances de la gauche ; « Vous êtes les victimes de l’Occident islamophobe et enjuivé », disent les islamistes). Ces répétitions, érigées en rang de théories explicatives, conditionnent la conviction suivante : les musulmans sont des victimes ontologiques, ceux qui critiquent leurs comportements, leur rejet de l’assimilation et certains de leurs pratiques violentes sont « islamophobes », « racistes » et « xénophobes ». Utilisés par les gauchistes, « islamophobe » est une étiquette infamante, à l’instar de « extrême droite », « facho », « nazi » etc. qui relève du dévergondage verbal et dont on n’a rien à faire. En revanche, utilisé par les islamistes, c’est une condamnation à mort qu’il faut prendre au sérieux. Analyse du cas de Fadila Maaroufi.
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A relire:
— cattan (@sarahcattan_) February 7, 2025
Être islamophobe veut dire Être opposé à l’obscurantisme, ay sexisme, au crime et à la barbarie, au racisme anti-occidental et à l’antisémitisme. Bref, à tous les fléaux du monde.
Je suis moi-même islamophobe, le revendique fièrement et toutes les personnes saines d’esprit le sont.
Seuls les Nazis, les racistes et les antisémites sont islamophiles.
D’où la nécessité de rappeler les liens entre Mohammed Amin al-Husseini et Adolf Hitler, et plus généralement entre islamisme, palestinisme et Nazisme. En matière d’idéologie et de crimes génocidaires.
Les défilés contre « l’islamophobie » (la seule forme de racisme dont sont victimes ceux qui en sont accusés) sont des défilés islamistes et des défilés nazis.
Il faut rappeler les faits historiques afin de leur faire rendre gorge et leur montrer leur vrai visage : j’inclus dans le lot les 30% d’électeurs du NFP et ceux du parti « travailliste » anglais.