Ce soldat nazi arrachant le nouveau né des bras de sa mère dans le wagon à bestiaux pour le jeter en l’air avant de le shooter se faisait plaisir, la monstruosité de son geste et celle de ses congénères avait un « alibi », les juifs étaient des sous-hommes qui auraient détruit la race aryenne en proliférant.
Rony Brauman est un sachant, un « humaniste », un « médecin », un juif avec tous les moyens du savoir à sa portée, parce que les chiffres sont connus à Treblinka c’était jusqu’à 5.000 personnes par heure, comme la définition du génocide et l’intention génocidaire.
Rony Brauman en disant que « Gaza va supplanter Auschwitz » efface la mémoire de la Shoah et de l’horreur génocidaire en tentant de la masquer par un génocide fantasmé.
Pour tout cela Rony Brauman est un personnage infiniment plus abjecte que ce soldat nazi.
Le cas de Rony Brauman relève de la psychiatrie, la haine de soi a un terreau précis, un problème œdipien non réglé en effet son père né à Jérusalem est un résistant et militant sioniste, un héros israélien, qui s’installa avec sa famille en Israël dès la création de cet État en 1948. Ses parents ont divorcé alors qu’il était très jeune. Sa mère et lui à 5 ans ont quitté Israël pour la France. La mésentente de sa mère avec son père est devenu le terreau de sa haine d’Israël.
« Gaza va supplanter Auschwitz » la comparaison choquante de l’ex-patron de Médecins sans frontières
À l’occasion du 80e anniversaire de la libération d’Auschwitz, l’UJFP et Tsedek, deux organisations juives d’extrême gauche, ont organisé un colloque à Paris. Durant l’événement, les intervenants, dont l’ancien patron de Médecins sans frontières Rony Brauman, n’ont pas hésité à faire une douteuse comparaison entre la Shoah et la situation à Gaza.
© Marianne Lecach
28/01/2025