
Ils vous embêtent les Juifs. Vous ne savez plus comment vous en débarrasser!
Ils envahissent le paysage, et là où ils auraient dû disparaître à force de persécutions, voilà qu’ils resurgissent comme un bouchon jeté à l’eau, sans crier gare.
Mais au fond, les connait-on vraiment, ces empêcheurs de haïr tranquillement, comme il se doit, dans une société humaine normale?
Evidemment, ils sont faciles à identifier, avec leurs petites calottes au sommet de leurs fronts soucieux, par leur démarche pressée vers leurs temples, ou en fait ils ne prient pas, mais y ourdissent des complots contre les braves gens. On le sait, ce sont des gens qui aiment l’argent, d’ailleurs ils restent entre eux, ne se mélangent pas et leurs contacts avec les autres se limitent aux échanges commerciaux.
Est-ce alors suffisant pour les identifier et leur vouer une détestation éternelle ? Sûrement pas. Les juifs ne sont une interrogation rageuse que pour ceux qui ne s’aiment pas et se vengent de leur médiocrité par le prétexte du bouc émissaire.
Le juif fantasmé est le réceptacle des frustrés qui cherchent par cette fiction la cause de leurs échecs.
Connaitre le juif, c’est le rencontrer dans son contexte social et historique. On découvre alors un peuple aimable, lumineux, aux yeux doux et à l’âme bien trempée.
Ce peuple est sans égal parce que la Morale conduit ses pas. Celle qui laisse sa place à l’autre, celle qui relève la veuve et l’Orphelin, qui ne détourne pas son regard du miséreux.
Le juif est celui qui sait mieux que quiconque ce qu’est la solidarité, car sans elle il aurait été anéanti depuis des siècles. Il est solidaire de tous les humains qui sont dans la misère.
Il est celui qui sait lire, il y toujours eu dans sa généalogie, des ancêtres qui savaient lire (CF Renan).
Ils ont un secret ? Sûrement puisqu’ils survivent à toutes les catastrophes depuis 4 000 ans.
De grands auteurs ont su replacer les Juifs au sommet de l’Humanité
Léon Tolstoï en 1891
Qu’est-ce qu’un Juif ?
Cette question n’est pas aussi étrange que cela puisse paraître à première vue.
Examinons cette créature libre qui a été isolée et opprimée, foulée aux pieds et poursuivie,
Un Juif est un être sacré qui s’est procuré un feu éternel du ciel et avec lui il éclaire la terre et ceux qui y vivent.
Il est le printemps et la source d’où le reste des nations ont puisé leurs religions et leurs croyances.
Un Juif est un pionnier de la culture.
Depuis des temps immémoriaux, l’ignorance était impossible en Terre Sainte, de même que de nos jours dans l’Europe civilisée.
Un Juif est un pionnier de la liberté.
Un Juif est un symbole de la tolérance ; « Donc montrez votre amour pour l’étranger, car vous avez été étrangers dans le pays d’Égypte » : Ces paroles ont été prononcées au cours de lointains et barbares temps où il était communément acceptable entre les nations d’asservir les autres. La nation que ni le feu ni l’épée des civilisations ont été en mesure d’effacer de la surface de la terre, la nation qui la première annonce la Parole de Dieu, la nation qui a préservé la prophétie depuis si longtemps et qui l’a passé au reste de l’humanité, une telle nation ne peut pas disparaître.
Un Juif est éternel, il est une incarnation de l’éternité. »
Thomas Newton, Pasteur de Bristol (1704-1782)
La préservation des Juifs est véritablement l’un des plus insignes et plus illustres actes de Providence divine… et qui d’autre qu’un pouvoir surnaturel aurait pu les préserver d’une manière telle qu’aucune autre nation sur terre n’a été préservée. La providence de Dieu n’est pas moins flagrante dans la destruction de leurs ennemis que dans leur propre préservation… Nous voyons que les grands empires qui, tour à tour, ont assujettis et opprimés le peuple de Dieu, sont tous tombés en décadence… Et si telle a été la fin fatale des ennemis et oppresseurs des Juifs, que cela serve d’avertissement à tous ceux qui, à n’importe quelle époque et à n’importe quelle occasion, désirent s’élever contre eux ou les persécuter….
Quel est ce Juif qu’ils n’ont jamais réussi à séduire par toutes les séductions du monde, dont les oppresseurs et persécuteurs ont seulement suggéré qu’il renie (et désavoue) sa religion et renie la loyauté de ses ancêtres ?!
John Adams, deuxième Président des États-Unis. 16 février 1808
J’insisterai sur le fait que les Hébreux ont davantage contribué à la civilisation de l’homme que n’importe quelle autre nation. Si j’étais athée et croyais aveuglément en une fatalité éternelle, je croirais encore que la fatalité a prescrit aux Juifs d’être l’instrument essentiel de la civilisation des peuples… Ils sont le peuple le plus glorieux qui ait jamais vécu sur cette Terre. Les Romains et leur empire ne furent qu’une illusion comparés aux Juifs. Ils ont donné la religion aux trois quarts du globe et ont exercé sur les affaires de l’humanité une influence bien plus joviale que tout autre peuple, ancien ou moderne.
Winston Churchill, Premier ministre de Grande-Bretagne
Certains aiment les Juifs, et d’autres non. Mais aucun homme de réflexion ne peut nier le fait qu’ils sont, au-delà de toute question, la « race » la plus formidable et la plus remarquable qui soit apparue dans le monde.
Charles Wagner, Pasteur français, 1918
Aucun des noms resplendissants de l’histoire — l’Égypte, Athènes, Rome — ne peut rivaliser de grandeur éternelle avec Jérusalem. Parce qu’Israël a donné à l’humanité la catégorie de la sainteté. Seul Israël a connu la soif de justice sociale, et cette sainteté interne qui est la source de la justice.
Thomas Cahill, auteur irlandais
Les Juifs ont tout commencé….Sans les Juifs, nous verrions le monde à travers d’autres yeux, entendrions avec d’autres oreilles. Nous penserions avec un autre esprit, interpréterions toutes nos expériences autrement….Et nous donnerions une autre direction à nos vies.
Mark Twain, Concerning The Jews, Harper’s Magazine, 1899
Si les statistiques sont exactes, les Juifs constituent à peine un pour cent de la race humaine. Cela suggère une faible nébuleuse de poussière perdue dans l’éclair de la voie lactée.
Normalement, on ne devrait guère entendre parler du Juif, mais on en entend parler, on en a toujours entendu parler.
Son importance économique est d’une extravagante proportion comparée à la petitesse de sa taille. Ses contributions à la liste du monde des grands noms de la littérature, de la science, des arts, de la musique, de la finance, de la médecine et des apprentissages complexes sont également de loin hors de proportion avec la faiblesse de son nombre. Il a fait dans ce monde un combat merveilleux, à toutes les époques; et il l’a fait avec les mains attachées derrière le dos. Il aurait pu être vaniteux, et être excusé pour cela.
Les Égyptiens, les Babyloniens, les Perses se sont élevés, ont rempli la planète avec leur retentissement et leur splendeur, puis se sont évanouis dans un rêve. Les Grecs et les Romains ont suivi, et ont fait beaucoup de bruit, puis ils ont disparu ; d’autres peuples ont vu le jour et ont tenu leur flambeau très haut pour un temps, mais ce dernier s’est éteint, et ils sont maintenant assis dans la pénombre, ou ont disparu.
Le Juif les a tous vus, tous battus, et maintenant, il est ce qu’il a toujours été, ne présentant aucune décadence, aucune infirmité de l’âge, aucun affaiblissement de ses composantes, aucun ralentissement de ses énergies, aucun ternissement de son esprit alerte et combattif.
Toutes les choses sont mortelles, sauf le Juif ; toutes les autres forces passent, mais lui reste. Quel est donc le secret de son immortalité ?
Paul Johnson, Une histoire des Juifs, Épilogue
L’humanité, l’Orient et l’Occident, les chrétiens et musulmans, ont accepté la conviction juive d’un Dieu unique. Aujourd’hui, c’est le polythéisme qui est si difficile à comprendre, qui est tellement impensable.
Assurément, un monde sans Juifs aurait été un endroit radicalement différent. Toutes les grandes découvertes conceptuelles de l’intellect humain semblent évidentes et incontournables une fois qu’elles ont été révélées, mais il faut un génie particulier pour les formuler pour la première fois. Les Juifs ont eu ce don. C’est à eux que nous devons l’idée d’égalité devant la loi, tant divine qu’humaine ; celle de la sainteté de la vie et de la dignité de l’être humain ; celle de la conscience individuelle et donc celle de la rédemption personnelle ; celle de la conscience collective et donc celle de la responsabilité sociale ; celle de la paix en tant qu’idéal abstrait et de l’amour comme fondement de la justice, et bien d’autres notions qui constituent le substrat moral fondamental de l’esprit humain. Sans les Juifs, [le monde] aurait pu être un lieu bien plus vide.
Regardez les, ces juifs qui obsèdent vos consciences et votre mémoire.
Vous leur faites perpétuelle injustice. Ils sont totalement innocents des turpitudes dont vous les accablez. De quelque point de vue qu’on se place on ne peut rien leur reprocher, sauf leur sens inné de la Justice.
La Loi de Moise prescrit : « La Justice, la Justice tu poursuivras». Justice pendant l’Instruction, Justice dans le jugement.
C’est ce qui est insupportable. La Justice, dit la loi juive, passe avant tout le reste, avant toutes les autres vertus. Elle est le socle d’une humanité enfin en paix.
Ce temps n’est pas encore arrivé si l’on se penche sur l’Etat du Monde. Mais ils sont là, les Juifs, le peuple de l’espérance.
Depuis 5785 ans le peuple juif marche en quête de Justice, son espérance est une flamme éternelle.
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Pourtant, les yeux du monde sont fixés sur eux pour les maudire et parfois les encenser. Ils surnagent dans l’océan du Mal qu’on leur veut, les juifs, ce peuple en mode permanent de survie, est victime de sa capacité d’espérance selon la parole d’un auteur célèbre.
« Nous marchons » dit le dessin, « depuis 5785 ans sur les chemins périlleux d’un Monde instable ».
Qu’avons-nous fait pour mériter la double destruction de Jérusalem la capitale des Hébreux, que la royauté de Judas devait n’aurait jamais dû quitter.
Pourtant elle fut détruite et bafouée déjà aux temps antiques par les Chaldéens, puis anéantie par la Rome impériale qui alla jusqu’à changer son nom en Aelia Capitolina.
Ils commencèrent à hanter le monde, chassés de leur pays que le Ciel a juré de leur donner pour l’éternité
De quel droit jugez-vous les Juifs ? Qui vous donne autorité ?
Deux mille ans de civilisation en Europ sont émaillés de massacres et de rejets des juifs ballotés d’un pays à l’autre au gré des humeurs des Princes du moment.
Accusé de crimes imaginaires le plus souvent ineptes le meurtre de Dieu en particulier, qui a été le fondement de l’antisémitisme chrétien. Quoi de plus stupide et dégradant que de se dire antisémite, pour celui dont l’identité se limiterait à une indigence morale sans fond.
Il est plus facile de détruire que de construire. Pour construire, il faut savoir, vous ne savez rien d’autre que de vous constituer en hordes hurlantes, enflammant les rues et brisant les vitrines.
De quel droit implantez-vous votre haine millénaire des juifs dans l’espace français.
De quel droit avez-vous courbé les communautés juives sous vos lois iniques, pendant plus de 1 600 ans?
Vous êtes nombreux et cela suffit pour que votre cruauté se déchaine contre des gens sans défenses, dispersés en petites et pauvres communautés.
De quel droit tentez-vous de reproduire en Europe vos comportements mortifères?
L’Europe avait banni les discriminations raciales, religieuses, vous les réinventez en versant le sang des innocents.
De quel droit occupez-vous les lieux de la haute culture française ?
Que faites-vous à Sciences Po qui vous a accueilli par souci d’égalité et d’intégration ?
Vous avez introduit la haine et le désordre dans ces lieux d’enseignement et de culture qui sont désormais des tribunes de propagande d’un conflit importé exclusivement dirigées contre les juifs de France que vous vous voudriez retransformer en dhimmis de vos contrées sauvages.
Désormais Science Po a perdu son aura, eti n’est rien d’autre qu’une enceinte de cris d’insultes et de ségrégation. Vous contribuez avec entrain à la décadence française.
Votre idéologie est une nudité parée d’un humanisme de pacotille, qui révèle votre obsession antijuive et votre rejet des valeurs républicaines.
Vous n’êtes pas seuls, La France insoumise et ses satellites vous accompagnent et vous précèdent pour saper la République et stigmatiser les juifs.
Vous et vos amis ne dites rien du massacre des musulmans en Chine, de l’Inde du Mahayana et du reste. Ce ne sont donc pas mes frères musulmans que vous soutenez, mais l’éradication des juifs de la surface du monde.
De quel droit avez-vous chassé les juifs des quartiers et des villes islamisés ?
La France vous a laissé entrer en masse sur son territoire, à prospérer. On aurait pu croire, et hélas on a cru, que vous enrichiriez le patrimoine culturel et l’économie française. Vous avez au contraire apporté le désordre et la discorde, la haine et la méfiance.
Les humoristes ne peuvent plus faire de l’humour, les beaux esprits sont menacés de mort et les enseignants ne doivent enseigner que ce que vous exigez, soit une Histoire falsifiée, des contes des temps anciens, mais plus l’Histoire de France. Vous avez banni la vérité pour la remplacer par un discours moyenâgeux, fait de fureur et de mort.
Personne ne vous a invité à imposer vos mœurs à l’Europe. Que n’êtes-vous restés dans ces espaces sauvages que vous avez délaissés pour les mirages d’Occident.
Des mirages que vos nuisances transforment en cauchemar : Marchés orientaux, villes morcelées en quartiers hostiles, inconduites et injures dites incivilités (un euphémisme) en croissance.
De quel droit répandez-vous la violence dans les rues françaises ?
On appelle ces horreurs des émeutes, mais elles sont en réalité, le sac et le pillage organisé d’une société détestée… mais nourricière.
Les juifs sont les premières victimes de vos exactions, couverts d’opprobre et accusés de tous les maux du monde: La pauvreté et la richesse, c’est eux, la puissance et la ruse, c’est eux, les complotistes, c’est eux, les tortionnaires c’est eux, les colonialistes c’est eux, les oppresseurs, c’est eux.
Ils sont de trop, il faut ou les anéantir: De la gauche sectaire aux Imams intégristes il y a union sacrée.
Mais le règne des barbares ne dure pas, des jours de lèvent qui verront la fin de cette entreprise de destruction de la paix en France.
© Charles Baccouche
Votre lettre, monsieur Charles Baccouche est un cri de révolte contre des êtres immondes et abjects qui n’ont de cesse de tuer et de convertir comme le prescrit le Prophète, et il semble vain de les détourner de ce qu’il leur semble être le bon chemin dicté par la confrérie des « Frères Musulmans » qui ne concerne fort heureusement, qu’une partie du monde arabe.
Mais j’ai relevé une citation de Tolstoi, que l’écrivain Vercors a donnée dans son essai: »La sédition humaine et la pensée Judaïque » Les Cahiers du Sud, collection Rivages page 330:
» Pionnier de la liberté, pionnier de la civilisation, Israel dérobé aux cieux le feu éternel et en a illuminé le monde. IL est la source, la fontaine et l’eau vive. »
Nos principes fondamentaux de Liberté, de Justice et d’Humanisme prescrits dans la Thora ont illuminé toute la terre et à ce titre nous en sommes fiers et nous nous efforçons d’agir ainsi et en toute humilité.
Assurément, un monde sans Juifs aurait été un endroit radicalement différent.
A propos de découvertes menant à un monde différent :
Le fait d’attribuer à Colomb une origine génoise n’empêche pas certains historiens d’envisager une origine judéo-espagnole plus ancienne.
Le premier a été Salvador de Madariaga dans son livre Christophe Colomb publié en France en 1952. Selon lui, la famille Colomb serait une famille juive de Galice en Espagne refugiée à Gênes après avoir fait partie des « nouveaux chrétiens » ou conversos, juifs convertis au christianisme, souvent soupçonnés d’avoir fait une fausse conversion
Le billet de Charles Baccouche, que d’honneur nous fut attribué par d’illustres personnages :le peuple le plus glorieux, éternel, juste, cultivé-le peuple du Livre- Et c’est peut-être pour cela que nombre d’envieux nous détestent…et pourtant les Juifs des shtetleh miséreux au possible, brûlèrent dans les fours crématoires, furent gazés.