Quand nous nous souhaitons une bonne année les uns les autres, nous n’entendons pas par là que l’année 2025 sera bonne en soi. Nous connaissons les périls qui enveloppent chaque jour davantage notre pays, nous voyons les coups qui s’abattent sur lui presque chaque jour. Il y aura des attentats, il y aura des coups de couteau, d’autres Ilan, Lola et Thomas, il y aura des actions politiques inacceptables de la part de l’extrême-gauche qui se sent pousser des ailes, il y aura des coups tordus d’une magistrature politisée qui entend pousser son avantage pour le contrôle politique de notre pays et y imposer son idéologie. Il y aura des injonctions absurdes et néfastes de Bruxelles armée de son idéologie mortifère de normes outrancières qui étouffent nos libertés et notre dynamisme économique. Néanmoins, nous pouvons nous souhaiter une bonne année, une année de résistance face à tous ces maux, à toutes ces attaques, à tous ces dangers.
Le monde d’hier où la France était heureuse et en paix s’éloigne dans le passé et n’est plus. Nous subissons l’invasion migratoire, la montée de l’islamisme qui se sent pousser des ailes, l’agressivité de l’extrême-gauche alliée de l’islamisme qui croit voir venir le grand-soir à l’horizon. Nous subirons des attentats dont le caractère islamique sera non seulement nié par la presse, les media et les partis de gauche, mais ne sera même pas mentionné comme possibilité. Tous les leurres de la désinformation seront lancés en salves, et aucun de ces leurres ne portera le mot « islam », seulement extrême-droite, risque d’amalgame, droite radicale, zemmourisation des esprits, ou d’autres expressions toutes faites tant leur imagination est fertile. L’orwellisation de la pensée obligatoire ira de plus belle, avec l’inversion de culpabilité obligatoire comme grille d’analyse. Les Palestiniens sont innocents, les Israéliens coupables, les racailles violentes de nos banlieues islamisées et gangstérisées de pauvres victimes, nos jeunes assassinées au mieux de pauvres victimes collatérales et ceux qui les pleurent d’ignobles fascistes comme à Roman ou ailleurs.
À supposer que nous ne soyons pas déjà en guerre, nous ne sommes plus vraiment en paix. Nous voyons un parti d’extrême-gauche islamisé, allié de l’islamisme, tenter de faire basculer la France, la faire changer de civilisation en tentant de la faire devenir une ennemie d’Israël pour légitimer et assoir sa place à la tête d’une révolution gaucho-islamique en France. Ce parti ennemi de la France et de sa civilisation n’est pas renié par la gauche qui compte encore sur lui pour rassembler des voix, avoir des députés et peut-être même un jour une majorité. C’est l’un des plus grands dangers qui pèsent sur notre pays tant il alimente ainsi la haine de la France dans toute une frange de la population, contribuant à la faire basculer dans une violence chaque jour plus grande et peut-être même, bientôt, insurrectionnelle.
Pourtant nous pouvons nous souhaiter une bonne année, dans la résistance. Un peuple qui subit ne peut être que malheureux. Mais un peuple qui résiste, qui refuse de plier, qui ne craint pas ses ennemis mais au contraire est résolu à leur résister et à porter la crainte et la peur chez l’ennemi, avec les moyens appropriés à sa situation propre, un peuple fier de lui, sûr de ses valeurs, de son histoire et qui croit en son avenir, comme Israël nous donne l’exemple, est un peuple qui vivra et transmettra sa civilisation aux générations à venir. Faisons de même.
Il y a des lueurs d’espoir. Nous avons vu avec le nucléaire français comment notre pays, s’affranchissant de normes bruxelloises absurdes, a redressé la production nucléaire d’électricité et s’est placé sur le chemin du renouveau énergétique de manière spectaculaire. Nous devons faire confiance à la France et aux Français car ils le méritent, mais surtout car nous n’avons pas d’autre alternative. Même les élites françaises commencent à comprendre qu’elles se sont faites berner dans la politique de soumission volontaire à la bureaucratie bruxelloise. Il en ira de même dans les autres questions. Le retour à la souveraineté est en marche et rien ne l’arrêtera.
Souhaitons-nous une bonne année, malgré les difficultés à venir mais dans la résistance et la confiance dans l’avenir de la France, de son histoire, de ses institutions et de sa place dans la civilisation.
© Robert Louis Norrès
Un peuple qui ne se bat pas qui baisse les bras, c’est un peuple qui meurt. Les français sont toujours dans le défaitisme. J’aime beaucoup le titre de cet article « bonne année dans la résistance » très bien écrit par l’auteur. Tout ce qui est énuméré dans cet article, le quotidien difficile pour les français, crise économique, agressions et insécurité, tous les ennemis de l’intérieur et de l’extérieur, la violence verbale et physique attisée par un parti politique LFI qui ne cherchent que le chaos en France, oui il faut résister.
Prenons exemple sur tous ces résistants hommes et femmes qui se sont battus pour nos libertés et ont combattu le nazisme et le totalitarisme.
La résistance c’est aussi Israël qui lutte pour sa survie et tous les résistants de toutes les dictatures islamistes. Tout ce qui a fait la France du passé, son histoire, sa culture, un pays qui innovait et qui n’avait pas honte de ce qu’elle était. Il faut que les discours politiques changent. Etre fier de ce que nous avons été et ne pas se complaire dans le renoncement et l’automortification. Ce qui touche la France, c’est de ne plus avoir la force de croire, la résignation. Nous sommes capables de réaliser de belles choses en France, donc résistons!