
Zineb El Razhoui a déclaré en décembre 2023 : « Les sionistes ont perfectionné la science du génocide. Ils ont amélioré le modèle nazi. (…) Le but est l’extermination des Palestiniens, tout comme les nazis projetaient d’exterminer les Juifs ». Elle a ajouté que « les prisons israéliennes [étaient] identiques au camp d’Auschwitz-Birkenau ».
Mais que révèle réellement l’usage de termes comme génocide, nettoyage ethnique, camp de concentration à ciel ouvert, ghetto, extermination, appliqués à la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza ? Ces mots ne sont-ils pas soigneusement choisis pour blesser les juifs en effaçant leur histoire et pour frapper l’imaginaire, pour manipuler l’opinion, et pour charger le débat d’une émotion insoutenable, rendant toute réflexion rationnelle impossible ?
Accuser, sans fondement, d’être victime tout en aspirant à une domination universelle, en s’appropriant ce que d’autres ont bâti avec leur labeur et leur amour, n’est-ce pas une forme d’escroquerie morale et intellectuelle ? Est-il justifiable de transformer une tragédie collective en prétexte à la victimisation perpétuelle ?
Se complaire dans une martyrologie stérile plutôt que de construire, de créer, de bâtir une nation digne, n’est-ce pas condamner les générations futures à hériter d’un fardeau insurmontable ? Ce choix ne revient-il pas à offrir à ses propres enfants le cadeau le plus toxique, celui de l’impuissance et du ressentiment ?
Transmettre un statut de réfugié, non pas comme une réalité mais comme une revendication éternelle, de génération en génération, n’est-ce pas une falsification de l’histoire ? Une déformation qui finit par piéger un peuple tout entier dans un narratif sans issue ?
Et que dire du harcèlement, de l’agression et de la terreur dirigés contre ceux que l’on dépeint comme des bourreaux, alors qu’ils ne font que se défendre contre des attaques initiées par des adultes qui exposent parfois des adolescents endoctrinés à haïr et à tuer ? Cette dynamique ne reflète-t-elle pas un sadisme pervers, une déshumanisation délibérée, autant des agresseurs que des victimes qu’ils prétendent défendre ?
Lorsque des actes de violence inouïe — pillages, assassinats, mutilations — sont commis avec une joie macabre, célébrés par des cris de victoire, des distributions de friandises, et l’exhibition morbide de cadavres, n’atteint-on pas un sommet de folie collective ? Une folie où la mort devient une arme politique et un outil de propagande ?
Quel est donc ce peuple qui proclame aimer la mort plus que la vie, qui rêve pour ses « martyrs » d’un au-delà peuplé de vierges et noyé de vin, de luxure et d’excès ? Comment peut-on nourrir de telles aspirations tout en prétendant parler au nom d’une justice divine ou humaine ?
Et enfin, loin des champs de bataille, qui sont ces naïfs qui, aveuglés par leur ignorance, reprennent sans discernement ces slogans vides de sens ? Qui sont ces pervers qui, sous prétexte de solidarité, alimentent leur propre ressentiment, utilisant le malheur d’autrui pour mieux attaquer ceux qu’ils envient ou détestent ? Le commerce de la haine, insidieux et rentable, n’est-il pas l’ultime trahison envers ceux qu’il prétend défendre ?
© Charles Rojzman
Agiter l’épouvantail de fascismes et d’extrême-droite imaginaires a toujours servi à faire le jeu des véritables extrême-droites et fascismes. On peut les nommer : islamisme et indigénisme. Plus leur allié l’europeisme. Zineb El Razhoui a montré son vrai visage depuis le 7 octobre 2023. C’est une Nazie, mais il faut tout autant se méfier de celles ou ceux pratiquant le double discours : les Fourest, les Aram, les LICRA qui disent « Le Hamas, c’est mal » tout en combattant les ennemis de l’islamisme et en soutenant nos gouvernements d’extrême-droite islamonazis.
Fourest est une hystérique russophobe et une fanatique européiste, comme BHL et Bruckner. Quant à S.Aram, elle travaille pour Rance Inter, la radio des fachos mélenchonistes, sans que cela semble lui poser le moindre problème de conscience.
« Protégez-moi de mes (faux) amis. Mes ennemis, je m’en charge ».
Il y a encore en France des gens d’extrême droite mais il n’y a plus de parti. Le RN est est parti de droite.
Au contraire, les partis d’extrême-droite sont ultra majoritaires : la FI, EELV, LREM etc…Ils dirigent la France.
EELV, LFI, sont des partis d’extrême gauche, et à ma connaissance ils ne dirigent rien du tout,ils disparaîtront et Marine Le Pen, et son parti de droite dirigeront la France.