L’historien français Vincent Lemire a été invité à une conférence à Berlin pour y présenter sa BD sur l’histoire de Jérusalem, un chef-d’œuvre censé le mener post mortem au Panthéon aux côtés du grand Marc Bloch.
L’un des intervenants prévus pour cette conférence à Berlin est l’ancien député allemand des Verts, Volker Beck, président de l’Association Israël-Allemagne. Beck s’est désisté. Consécutivement, à défaut de trouver un autre participant face à Lemire, cette conférence a été annulée. Quelle hérésie que la messe urbi et orbi de diabolisation d’Israël n’ait pu être prononcée par Lemire sous le ciel berlinois.
Volker Beck ne comprend pas le remue-ménage provoqué par son désistement. Lemire invoque « des pressions illégales qui ont conduit à cette annulation« .
La correspondante à Berlin de « Le Monde », Elsa Conesa, (a-t-elle un lien de parenté avec l’antisioniste pathologique Pierre Conesa?), a reporté cet incident dans un article paru aujourd’hui (mardi 3 décembre 2024).
Elle attribue à Beck comme motif de désistement le fait qu’il reproche à Lemire de « défendre des positions trop critiques à l’égard du gouvernement israélien ». Or, elle ne produit aucune déclaration de Beck dans ce sens. A-t-elle d’ailleurs sollicité la réaction de Beck comme il est d’usage de le faire avant de mettre sous presse un article de cette nature ?
La rédaction de « Le Monde » a donc décidé de publier cet article pour alerter l’opinion publique sur cet incident insignifiant et sans importance – si ce n’est, crime de lèse-majesté, la frustration de Lemire. Somme toute, une tempête dans un verre d’eau.
Il est vrai que Lemire faisant, entre autres, bon ménage avec Rima Hassan, est privé, une fois n’est pas coutume, de tribunes et d’espaces médiatiques pour y exposer ses vues. Il a réellement de quoi être aigri.
Pourtant, quand des médias d’Israël le sollicitent à débattre, il décline la proposition. Sa méconnaissance de la langue hébraïque n’en est pas la raison car ses propos peuvent être traduits simultanément et il y a également des médias francophones en Israël.
Quoi? Lemire ne sait pas l’hébreu ? Et alors ? On peut être un grand expert dans un domaine sans en connaître la langue ?? Il ne faut pas être pointilleux comme ça! Exiger qu’un spécialiste de l’Histoire de France sache parler, lire et écrire le français?!
Pour en revenir à cet article d’Elsa Conesa, outre la complaisance et la complicité de « Le Monde » avec Lemire, cela atteste de la mégalomanie et surtout de l’hystérie de ce « chercheur ». Lui annuler une conférence ? L’opinion publique française et européenne doit être alertée, toute affaire cessante.
De surcroît, récemment, pour une fois, quelqu’un l’a contredit lors d’un débat télévisé à « C ce soir » de TV5, en principe un forum où Lemire est le maître des lieux qu’on ne saurait interrompre, ni contredire. Attention !! Lors de ce débat, s’aventurant à lui mettre un miroir en face, Maître Olivier Pardo s’est attiré les foudres de ce grand historien.
Se sentir diffamé par Maître Pardo d’une part, puis muselé par cet incident à Berlin. Il n’y a plus de respect pour rien?! Décidément, on ne peut plus déblatérer sur Israël?! Miséricorde pour le malheureux Lemire.
© Meïr Ben Hayoun
Les propagandistes comme Lemire qui diffament Israel sans que personne ne leur opposent des arguments. Le plus dur est que les Juifs et Israéliens invités sur les plateaux avec eux sont aliénés et baissent l’échine, sauf Olivier Pardo. Même Ilana Ferhadian de radio j est devenue hésitante et sans mordant lors du débat avec Lemire sur TV5.
Non: « Pas tous ». Lisez TJ