Donald Trump : « Si les otages ne sont pas libérés avant mon investiture, ce sera l’enfer au Moyen-Orient »

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« Ceux qui en sont responsables seront frappés plus durement que quiconque dans la longue et glorieuse histoire des États-Unis d’Amérique. LIBÉREZ LES OTAGES MAINTENANT ! »

Le président américain élu, Donald Trump, a menacé les preneurs d’otages d' »une puissance de feu américaine » sans précédent s’ils ne sont pas libérés d’ici son entrée en fonction le 20 janvier.

Trump a d’abord fait cette menace lors de la Convention nationale républicaine en juillet, mais le dernier avertissement publié sur Truth Social intervient un jour après que le Hamas a diffusé une vidéo de propagande montrant l’otage américano-israélien Edan Alexander, dans laquelle le jeune homme de 20 ans supplie Trump d’obtenir sa libération.
« Tout le monde parle des otages qui sont détenus de manière si violente, inhumaine et contre la volonté du monde entier, au Moyen-Orient – Mais ce n’est que du blabla, et pas d’action ! » écrit Trump sur Truth Social, sans mentionner Israël ou le groupe terroriste du Hamas par leur nom. « Que cette VÉRITÉ serve à représenter que si les otages ne sont pas libérés avant le 20 janvier 2025, date à laquelle j’assume fièrement mes fonctions de président des États-Unis, il y aura TOUT L’ENFER À PAYER au Moyen-Orient, et pour ceux qui sont aux commandes et qui ont perpétré ces atrocités contre l’humanité », ajoute-t-il. « Ceux qui en sont responsables seront frappés plus durement que quiconque dans la longue et glorieuse histoire des États-Unis d’Amérique. LIBÉREZ LES OTAGES MAINTENANT ! »

Le conseiller pour le Moyen-Orient nommé par Trump réaffirme dans un entretien au « Point » que la libération des otages est une priorité

ll souligne qu’un cessez-le-feu temporaire doit permettre cette libération sans être conditionné à d’autres décisions concernant le jour d’après à Gaza.

Dans un entretien exclusif accordé au « Point », Massad Boulos, récemment nommé conseiller pour le Moyen-Orient de Donald Trump, livre pour la première fois sa vision sur les grandes crises qui secouent la région. L’homme d’affaires américano-libanais, père du gendre de Trump, se montre ambitieux quant aux réformes qu’il souhaite impulser pendant les quatre prochaines années.
Pour Massad Boulos, le dossier le plus urgent est l’accord de paix signé récemment entre Israël et le Liban, facilité par les États-Unis et la France. Un accord qu’il qualifie d’historique, bien qu’il soit encore en phase de test. Selon lui, l’accord est ambitieux et couvre l’ensemble du pays, en incluant des mesures de désarmement des milices, notamment le Hezbollah. Si l’accord rencontre des obstacles, comme des violations de cessez-le-feu de part et d’autre, le rôle des États-Unis et de la France dans la surveillance de sa mise en œuvre sera crucial.

Interrogé sur la guerre à Gaza, Boulos adopte une position claire : la priorité doit être donnée à la libération immédiate des otages israéliens, un point sur lequel Trump semble se démarquer de l’administration Biden. Il souligne qu’un cessez-le-feu temporaire doit permettre cette libération sans être conditionné à d’autres décisions concernant le jour d’après à Gaza.

Concernant l’avenir de Gaza, il réfute l’idée d’une réimplantation israélienne et indique que, bien qu’aucune décision finale n’ait été prise, la libération des otages doit être traitée séparément de l’avenir politique du territoire palestinien. Sur la Judée-Samarie et une éventuelle annexion de grands blocs d’implantation par Israël, le conseiller reste prudent, expliquant que l’administration Trump n’a pas encore arrêté de politique claire.

Boulos ne cache pas que l’Iran représente un défi majeur pour le second mandat de Trump. La priorité reste d’empêcher Téhéran d’acquérir des armes nucléaires, tout en exerçant une pression maximale sur le régime iranien.

Sur la question des Accords d’Abraham, qui ont permis la normalisation des relations entre Israël et plusieurs pays arabes, l’homme estime qu’il est essentiel de relancer ce processus. L’objectif est de parvenir à un accord avec l’Arabie saoudite, ce qui, selon lui, ouvrirait la voie à une normalisation rapide avec d’autres pays arabes. Bien que la question palestinienne soit sur la table, il rappelle que Riyad ne fait pas de l’établissement d’un État palestinien une condition préalable à la normalisation des relations avec Israël, mais qu’elle exige une feuille de route vers la création de ce Etat.

Source: i24News

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1 Comment

  1. Apres la complaisance obamienne ( enfin le pantin qui avait ete parachuté ) les mollahs risquent un reveil douloureux en 2025 , nous avançons , peut etre , enfin, vers l effondrement de ce regime malefique , et ce grace a Trump et, tres certainement , sans un coup de feu .

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