L’islam, la racine du mal? Calendrier des faits. Par Louise Gaggini

« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde », disait si justement Camus.

Le wokisme et sa volonté de raboter l’humanité jusqu’à en faire un modèle indéfini, physiquement et intellectuellement, a, entre d’autres choses détruites, démantelé le langage en interdisant les mots appropriés à des situations ou des personnes avec le prétexte vertueux de ne pas les stigmatiser dans leur différence.

Le langage devint ainsi en quelques décennies une nébuleuse dans laquelle le flou et l’imprécision remplacèrent le tangible, le réel et le concret, et le wokisme une dictature qui musela et empêcha toute velléité d’existence, hors ses diktats et ses règles.

Aujourd’hui les mots « Islam et islamisme » travestis d’un autre sens que leur sens d’origine, dans la confusion de mots incompris, se sont insérés dans toutes les strates des sociétés, musulmanes ou pas, arabisantes ou occidentales, et tenter d’en dire la réalité, ne serait-ce que pour la linguistique, est aussitôt sanctionné.

Des tabous nécessaires et des falsifications pour permettre à Islam d’étendre sa sphère d’influence? 

Malgré le milliard et demi de musulmans sur la planète et l’argent du pétrole de l’OPEP, qui contribue à l’extension de la religion islamique, comparable dans ses méthodes d’implantation, à ce que fut et fit le christianisme lors de ses conquêtes territoriales à des fins de conversion et d’enrichissement de l’Église, il est actuellement impossible pour les Occidentaux comme pour les musulmans, d’envisager l’Islam dans son entité sacré et politique, sans se faire insulter, pénaliser, être décapité comme le fut Samuel Paty ou emprisonné comme Boualem Sansal depuis quelques jours.

L’Occident a toujours admis la violence, l’inquisition, les bûchers et les sévices de la chrétienté, sans pour cela cesser de la respecter et de l’aimer dans sa dimension religieuse, sacré et politique.

Pourquoi la violence de l’Islam, de la religion islamique pour parler clair, est-elle taboue et occultée ? Pourquoi ce besoin de séparer le sacré du politique alors que ses sourates et ses injonctions incitent à la mort de ce qui ne lui est pas inféodé ? 

Nous sommes autorisés à parler « d’islamisme politique » pour la défense de terroristes musulmans devenus par perversion politico-sociale, non plus des assassins, mais des résistants et des guerriers de la paix, et jamais autorisés à parler de l’Islam comme entité religieuse et politique.

Sans se référer à l’Islam, sa matrice et son ADN, impossible d’approcher et comprendre la volonté d’expansion d’un monde islamique, religieux et politique à la fois.

L’Islam apparut dans le courant du 7ème siècle, bien après donc le judaïsme et le christianisme et se présenta comme un « retour sur les pas d’Abraham » ce père qui rejeta Ismaël le fils qu’il eut de sa servante (et qui fonda les 12 tribus arabes) au profit de son autre fils Isaac, né de son épouse légitime, qui devait devenir selon la promesse divine, le « roi ou le père des juifs ». 

Une scission familiale issue d’une époque biblique, mais qui perdure dans la mémoire collective d’un monde arabe autrefois adepte du nomadisme, et composé de pays approximativement situés entre le Maghreb, le sud de la péninsule Arabique et l’Irak. Pays qui existaient bien avant l’émergence de l’Islam. 

L’ancien nomadisme du monde arabe présida à sa volonté d’expansion et l’Islam sa religion, n’eut qu’à entretenir, développer et dogmatiser une spécificité naturelle et culturelle qui le poussait à la conquête et au contrôle de territoires. 

L’Islam est historiquement islamiste

L’Islamisme est le nom donné à l’Islam par Voltaire au 18ème siècle, comme synonyme à « mahométisme » qui identifiait alors la religion des musulmans. Il l’a fait par analogie avec le Christianisme et le Judaïsme.

Mais, ce terme pour désigner la religion musulmane, disparut au profit du mot « Islam » au début du 20èmesiècle, lors du développement des études Occidentales sur l’Islam. Et dans une continuité intellectuelle, disparut aussi de « L’Encyclopédie de l’Islam » un texte référant.

Resta donc « l’Islam » et les adeptes de cette religion furent appelés islamistes. 

Le mot « islamisme » réapparait en France à la fin des années 1970 et met l’Islam religieux à l’écart des jugements sociaux et populaires, en le présentant différemment de l’Islam terroriste qui se revendiquait comme une branche « islamique » de résistance. 

Ce clivage manichéen, entre un bon et un mauvais Islam, un religieux et un politique, permit d’oublier que l’islamisme terroriste dit politique, est de l’Islam au même titre que l’Islam dit religieux, qui depuis sa « révélation » au 7ème siècle, utilisa et exerça la barbarie armée pour coloniser des territoires et des pays, en même temps qu’il imposait sa religion et ses règles culturelles. 

Si on ne comprend pas cette appartenance à l’Islam, on ne peut comprendre ce qui se passe au Moyen-Orient et en Europe actuellement, ainsi que ce qui propulse, anime et nourrit le terrorisme islamique partout dans le monde. 

Ce fut ce déni de l’Islam en tant que racine du terrorisme musulman, quelle que soit la faction et le nom qui le sert, du Hamas au Hezbollah, à Al Qaïda en passant par les multiples facettes d’une invasion polymorphe et planétaire, qui permit la progression et l’implantation en Occident, d’un Islam religieux et conquérant, camouflé derrière le paravent de l’Islamisme politique. 

L’Islam politique, bouc émissaire volontaire et sacrifié à l’Islam religieux, est accusé de toutes les barbaries, tandis que l’Islam religieux se développe et s’étend sur les territoires conquis. 

Malgré le triste modèle de ce qu’est l’Iran sous séquestre de l’Islam et que nous persistons à nommer dictature par peur de donner corps à la réalité du monstre que l’Islam pourrait incarner, et malgré les règles religieuses d’Émirats arabes qui ayant mis leurs peuples sous Charia, lapidèrent les femmes, supplicièrent, emprisonnèrent, parfois crucifièrent en place publique les opposants aux dogmes religieux de l’Islam, nous persistons à séparer l’Islam en deux blocs distincts, l’Islam religieux et l’Islam politique, alors que l’Islam est un et indivisible à l’instar les deux autres religions monothéistes, le Christianisme et le Judaïsme.

Pourquoi cette distorsion entre la violence d’une réalité indiscutable et une mensongère épopée au nom de la liberté qui fait passer des assassins islamistes pour des résistants, leurs opposants pour des manipulateurs, et l’Islam pour une religion paisible à ne jamais remettre en question ?  

Dans les années 1970, l’Islam oscillant entre terrorisme avérée et résistance revendiquée, fut accaparé et estampillé « victime » par une gauche française qui dans une tentation de l’innocence faite de culpabilité d’anciens colonialistes désireux de ne voir dans l’Islam d’autres valeurs que celles de paix et d’amour, conjuguée à une nostalgie d’idéologies totalitaires qui lui fit soutenir Staline et ses goulags, plutôt que le peuple Russe sous dictature, trouva dans l’Islam, une nouvelle cause à défendre. 

En d’autres temps, elle aurait été du côté de l’Inquisition autant que du côté des hordes barbaresques, sa schizophrénie à sensibilité variable lui permettant d’aller d’un extrême à l’autre, pourvu qu’elle puisse le nommer « victime ».  

Pour un peu d’histoire, il faut considérer que ce sont les Frères Musulmans, groupe fondé en 1928 par Hassan Banna le grand père de Tariq Ramadan et à l’origine de cette confrérie, qui portèrent le premier mouvement politiquement arabe et religieux et réclamèrent l’application de la loi islamique, la Charia, dans le monde musulman, mais par extension, cooptation et conquêtes, sur le reste du monde, dans une vision fantasmatique et totalitaire. 

Ils proposèrent l’Islam comme idéologie politique pour mobiliser les musulmans autour d’un projet socio politique, fondé sur les dogmes et les lois de la Charia, synonyme religieux de l’Islam politique, et les adeptes de cet islam politico-religieux se nommèrent naturellement « Islamistes ». 

La conquête de la planète et l’application des sourates du Coran, selon les intérêts politiques de l’Islam, pouvait commencer, et l’ensemble du monde arabo musulman se souleva en 1948 contre la décision Occidentale de donner un bout de territoire aux juifs, pour créer une nation juive sur le sol palestinien, pourtant historiquement juif. 

Avec le conflit israélo palestinien pour un Occident martelé coupable par un monde arabo-musulman en quête de victoires, se développa en Europe et en Occident un nouvel antisémitisme, légal, l’antisionisme.

La jeunesse a toujours dans l’histoire, été le terreau privilégié des mouvements politiques ou de gourous fanatiques, parce que plus facile à convaincre et à mobiliser. Toutes les dictatures du monde l’ont selon leurs besoins, embrigadée, pervertie jusqu’à la rendre meurtrière et folle. On se souvient des jeunesses hitlériennes, des khmers rouges, de la jeunesse chinoise, italienne ou espagnole. 

Partout où l’injustice semble sévir, la jeunesse par nature s’insurge. 

Portée par l’envie du bien, sans concession et violente envers ce qu’elle imagine mauvais, elle hurle et détruit sans réflexion ce qui fait obstacle à ses désirs révolutionnaires.

C’est comme ça que la jeunesse française, une certaine jeunesse issue des bons quartiers et inscrite dans les grandes écoles de la bourgeoisie, s’est trouvée sous l’emprise d’un monde radicalement islamogauchiste et pro Hamas, brûlante d’un antisémite délirant, au point d’occuper les universités, et masquée comme des terroristes du Hamas, d’arborer des keffiehs pour récuser l’existence même d’Israël, déployant des drapeaux palestiniens à l’effigie des terroristes, niant la réalité, livrée à son exaltation, sa soif d’idées nouvelles et de mondes à inventer…

Pauvre jeunesse qui rêve de batailles sans conscience que les guerres tuent pour de vrai, que d’autres jeunes à l’Est ou au Moyen-Orient, meurent par milliers pour défendre des valeurs et parfois seulement leur droit à vivre.  

Pauvre jeunesse française vraiment, et pauvre gauche qui n’a plus pour objectif que des victoires électorales. Sauf de faire encore de mauvais choix et de s’y perdre définitivement. 

Hier la gauche française défendit Staline, aujourd’hui par habitude forcenée et peur d’être une fois encore accusée de complicité criminelle, elle a décidé de haïr Poutine, mais récidive et confirme son adhésion à ce qui lui est proposé comme révolutionnaire, en défendant le Hamas, le Hezbollah et demain pourquoi pas un nouvel Hitler, un nouveau Staline, toujours dans le paradoxe d’une double morale empruntée à l’ancienne URSS : théâtraliser et afficher sa solidarité avec les populations proposées comme victimes ainsi que son opposition à l’antisémitisme, mais en jouant derrière la scène publique, le jeu d’Institutions qui réclament au travers du parti LFI, l’éradication des juifs et d’Israël. 

Pour conclure, l’Islam a prouvé au travers de l’Histoire qu’il était à la fois religieux et politique, sacré et terroriste, que bien le nommer ne lui nuira pas, et qu’un peu de lucidité pour un peu de lumière serait bienvenue en attendant celles, universelles, de Hanoucca. 

© Louise Gaggini

***

HISTOIRE, LES FAITS EN PERSPECTIVE

1881 : A la suite de violentes manifestations antisémites en Russie, de jeunes étudiants juifs créent un mouvement, « Les amants de Sion », qui propose aux juifs de fuir les pogroms et de retourner à Sion, leur terre promise par la Bible. 

1896 : Theodor Herzl publie «l’État des juifs » Premières réflexions sur le sionisme.

1898 : Création du Fonds pour l’achat de terres en Palestine, alors sous domination Ottomane. 

1909 : Création du premier kibboutz.

1917 : Au Royaume-Uni, Balfour déclare être pour « un foyer national pour le peuple juif » en Palestine.

1920 : Après la Seconde Guerre mondiale et l’éclatement de l’Empire ottoman, le Royaume-Uni reçoit un mandat pour la gestion de la Palestine.

1920 : Un antisémitisme d’Etat s’implante en URSS, et la lutte contre le judaïsme et l’hébreu est élevée au rang de politique nationale. 

1921 : Mohammed Amin al Husseini, anti juifs et antisémite, devient le grand Mufti de Jérusalem.

1928 : Des pogroms s’intensifient dans les magasins juifs de Moguilev.

1928 : Création des « Frères Musulmans », confrérie fondée par Hassan el Banna et premier mouvement politique à réclamer l’application de la Charia, la loi islamique.

1933 : La chasse aux juifs commence en Europe et s’intensifient avec le nazisme d’Hitler tandis qu’en Palestine, Mohammed Amin al Husseini, grand Mufti de Jérusalem, participe au développement du nationalisme arabe. Il rendra visite à Hitler dont il épouse les idées anti juives en 1941 et appellera à la participation des Arabes à l’effort de guerre d’Hitler et de l’Allemagne. 

1936 : Les Arabes des territoires sous mandat britannique revendiquent la création d’un État arabe indépendant et la fin de l’immigration juive sioniste. 

1933 à 1945 : Plus de 6 millions de juifs assassinés par les Allemands nazifiés et autres ressortissants Polonais et Ukrainiens. 

1947-1948 : Vote du partage de la Palestine le 29 novembre 1947.

1948 : Indépendance d’Israël proclamée le 14 mai 1948.

1948-1949 :  Guerre d’indépendance et de survie pour Israël qui causa la mort de 6000 Israéliens, dont 2000 civils. 

1967 : Guerre des six jours. En six jours, Israël mit en déroute les armées égyptienne, syrienne et jordanienne et gagna des territoires stratégiques pour sa survie.

1970 : Certains pays arabes (Arabie Saoudite et Iran en particulier) financent l’Islamisme et étendent leur influence sur d’autres États qui adoptent des doctrines islamiques. 

1971 : La guerre indo-pakistanaise soutenue par l’Arabie Saoudite, encourage la propagande islamique. 

1972 : Le 5 et 6 septembre 1972, au cours des jeux olympiques d’été à Munich, onze athlètes israéliens sont pris en otage et assassinés par des membres de l’organisation palestinienne « septembre noir ».

1973 : Le 6 octobre 1973, les armées égyptienne et syrienne attaquent Israël en pleine fête juive du Yom Kippour. Le 24 octobre Israël gagne la guerre. L’OLP devient représentante de la Palestine. 

1982 : Depuis le Liban-Sud, des obus sont tirés et touchent la Galilée en Israël. Le 6 juin 1982, Israël déclenche l’opération « Paix en Galilée » et envahit le Liban jusqu’à Beyrouth pour repousser les forces de l’OLP installées à 40 kilomètres de sa frontière. 

1987 : Première Intifada. Les Palestiniens mènent une guerre, symbolique par les pierres, et terroriste par des attaques civiles meurtrières.

1993 : Les accords d’Oslo mettent fin à la première Intifada. Yitzhak Rabin et Yasser Arafat signent l’accord le 13 septembre 1993. 

1995 : Yitzhak Rabin est assassiné le 4 novembre.

2000 : Seconde Intifada. Le Hamas gagne en popularité.

2004 : Mort de Yasser Arafat le 11 novembre.

2005 : Après accord, Israël redonne la bande de Gaza aux Palestiniens, évacue des milliers d’Israéliens et abandonne toutes les infrastructures, écoles et hôpitaux. 

2006 : Le Hamas est élu par les Palestiniens à Gaza.

2006 au 7 octobre 2023 : Depuis sa création en 1948, l’Etat d’Israël subit presque quotidiennement des attaques par roquettes et missiles tandis que les actes terroristes palestiniens sont perpétrés régulièrement.

2017 : le 6 décembre, Donald Trump et les États-Unis reconnaissent Jérusalem comme capitale d’Israël et y déplacent leur ambassade.

2018 : Benyamin Netanyahou fait adopter par la Knesset une loi fondamentale qui stipule que « l’État d’Israël est le foyer national du peuple juif dans lequel il satisfait son droit naturel, culturel, religieux et historique à l’autodétermination ». L’hébreu devient la langue officielle.

2020 : Signature à Washington des accords d’Abraham. Donald Trump harmonise les relations entre Israël et un certain nombre de pays arabes et musulmans (Émirats arabes, Bahreïn, Soudan, Maroc).

2021 : Des émeutes à caractère religieux ont lieu sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem. 

2022 : Après les élections législatives du 1er novembre, Benyamin Netanyahou forme un gouvernement de droite.

2023 : Le 7 octobre 2023, les terroristes du Hamas accompagnés de milliers de civils palestiniens, entrent dans Israël et massacrent, violent, mutilent et brûlent des enfants, des femmes et des hommes, vieux ou bébés. Un massacre perpétré aux cris de « Mort aux juifs » et non au nom d’une résistance palestinienne. 

2023 : 8 octobre, le lendemain du massacre en Israël, ont lieu en France, en Angleterre, en Australie et dans de nombreux pays du monde occidental, des manifestations antisémites, anti-israéliennes et anti-juives.  A Paris, le parti LFI qui soutient la cause palestinienne, emporte avec lui dans sa haine des juifs, la jeunesse bourgeoise des grandes écoles, mais aussi et évidemment la population musulmane des quartiers et des banlieues. Des millions en France. 

2023 : 27 octobre : Tsahal débute ses représailles de défense contre le Hamas de Gaza qui a décidé de l’éradication totale d’Israël, mais aussi pour récupérer les 250 otages dont un bébé de 3 mois, tous capturés et emportés par les Palestiniens et les terroristes pendant le massacre du 7 octobre. 

2023 : Le 8 octobre, le Hezbollah soutient la guerre du Hamas en envoyant des roquettes sur Israël. Israël se défend et répond militairement aux attaques des terroristes libanais.

2024 : le 28 septembre, la mort du terroriste et chef du Hezbollah Hassan Nasrallah est saluée par le monde occidental. 

2024 : Le 17 octobre, mort du terroriste et chef du Hamas Yahya Sinouar, architecte du massacre du 7 octobre en Israël. 

2024 : Un mandat d’arrêt est émis contre le premier ministre Israélien Benjamin Netanyahu. 

2024 : Le 27 novembre 2024, un cessez-le feu intervient entre le Hezbollah et Israël. 

Au 28 novembre 2024, la guerre continue entre le Hamas de Gaza et Israël, sur lequel des missiles tombent quotidiennement depuis des décennies, heureusement arrêtés par le Dôme de fer et d’autres technologies anti-missiles.

© Louise Gaggini

Ecrivain, journaliste, mais aussi sculpteur et peintre, pianiste, bref une « artiste plurielle ». Diplômée de lettres, d’Histoire de l’Art et de Conservatoire de musique. Auteur de nombreux dossiers pour la presse et la télévision, dont certains ont été traduits par l’Unesco, des organismes humanitaires et des institutions étrangères à des fins d’éducation et de prévention et d’autres furent diffusés par l’EN, Louise Gaggini est l’auteure d’essais et de romans dont La résultante ou Claire d’Algérie et d’un livre d’art pour l’UNICEF: Les enfants sont la mémoire des hommes. Elle est aussi l’auteure d’essais de société, et expose régulièrement, récemment à New York.
elle a publié son premier roman pour littérature jeunesse en 2001, et son premier roman pour adultes en 2004.

Où la trouver :

http://www.nananews.fr

http://www/louise-gaggini.com

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2 Comments

  1. Concernant l’URSS, toutes les religions étaient combattues, pas seulement le judaïsme. Jusqu’en 1948, le régime était même très favorable aux juifs, très nombreux dans les rouages de l’État et largement acquis au communisme. Ils étaient impopulaires au sein de la population par tradition mais aussi parce qu’ils participaient activement à la répression des citoyens soviétiques. L’antisémitisme d’État est venu à la fin du règne de Staline.

  2. L’islamisme est intrinsèquement une idéologie nazie. Et il paraît en effet difficile de distinguer l’islamisme de l’islam, puisque des son apparition la « religion de paix et d’amour » a prouvé qu’elle représente un fléau pour l’humanité : Chrétiens, Juifs, Boudhistes, Hindouistes, Zoroastriens etc…Parler d »islamophobie » c’est comme parler de naziphobie.
    Mais l’indigénisme ou le wokisme et L’islamisme sont aujourd’hui indissociables : c’est la même idéologie nazie. C’est ce qui explique que tant de Noirs Chrétiens, du fait de leur racisme anti-blancs et anti-Juifs, soutiennent les islamistes qui ravagent pourtant l’Afrique subsharienne depuis plus de 1200 ans. Le slogan « Black lives matter » ne concerne pas les Noirs Nigérians exterminés par les Islamistes. La raciste Taubira et le gouvernement Hollande, avec l’appui de la LICRA et SOS Racisme, ont volontairement tu la traite arabo-musulmane (pratiquée sur les Africains…et les Européens !) dans une but de propagande raciste anti-occidentale et islamiste. Voilà aussi ce qui explique le soutien de l’Afrique du Sud au Hamas : même camp. Ce négationnisme, est le même en Amérique du Nord, en Europe surtout de l’ouest, au Moyen-Orient et en Afrique. C’est aussi ce qui explique qu’un Benjamin Stora puisse instrumentaliser l’histoire afin de favoriser le régime algérien et l’islamisme alors que le crime contre l’humanité d’Oran est aussi tabou à Paris qu’à Alger.

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