Israël n’a que faire du mandat d’arrêt international délivré par les juges de la CPI à l’encontre de membres de l’Exécutif de l’Etat d’Israël, et ce pour les quelques raisons suivantes.
1- Déni de Droit
La procédure engagée par le procureur n’a pas respecté les mesures liminaires et obligatoires d’investigation en Israël qui n’ont pas été effectuées et qu’il n’a pas diligentées.
2- Violation de la procédure de la CPI par son « propre » procureur
Si le procureur avait respecté la procédure investigatrice et obligatoire en Israël, les accusations qu’il porte contre les personnes qu’il accuse auraient été déboutées immédiatement par l’examen des procédures de contrôles militaires et civils israéliens, préalablement effectués.
3- Le niveau de procédure de la CPI violé par le procureur est inférieur à celui de la procédure israélienne qui est respecté et activé même et surtout en temps de guerre.
S’agissant des accusations du procureur, les procédures de contrôle civil et militaire en vigueur en Israël comptent parmi les plus sévères et les plus efficaces du monde démocratique, en guerre de surcroît.
Elles dépassent et de loin les procédures de la CPI en la matière que le procureur a impunément violées.
4- Les mesures humanitaires israéliennes envers les Gazaouis civils et militaires ne bénéficient d’aucune réciprocité à l’avantage d’Israël
Les mesures humanitaires envers les publics civils et militaires de Gaza sont prises de motu proprio par Israël qui autorise également les organisations qui lui sont pourtant hostiles à intervenir à l’endroit des civils et des militaires ennemis de Gaza.
5- Le procureur et les juges de la CPI ne tiennent nullement compte des mesures et du comportement humanitaires décidés par le gouvernement israélien envers ses ennemis civils et militaires, dont les présences sont intriquées dans tout le territoire de Gaza.
Les mesures humanitaires israéliennes envers les Gazaouis sont, par leur ampleur et les circonstances militaires, uniques au monde et dans l’Histoire militaire et civile de l’Humanité.
Elles ne bénéficient d’aucune réciprocité envers les otages enfermés à Gaza. Elles ralentissent les opérations militaires israéliennes et nuisent à la sécurité des civils et des militaires israéliens.
6- Les ministres ciblés par la CPI décident de mesures humanitaires exceptionnelles.
Il est exceptionnel de constater que l’ absence d’information et de soins sur les otages civils martyrisés à Gaza n’empêche nullement les ministres ciblés sans vergogne et en dépit du Droit par la CPI de permettre sans réciprocité les mesures humanitaires à Gaza.
7- Emprise des dictatures djihadistes sur les organisations internationales, dont la CPI.
La nationalité pakistanaise du procureur, expédié à son poste par la « république islamique du Pakistan », ennemie acharnée des droits humains urbi et orbi des non-musulmans en général et des Juifs en particulier, correspond à l’emprise des dictatures sanglantes sur les organisations internationales.
8- Israël et ses alliés ne doivent pas se contenter de mots. Ils doivent soulever la suspicion légitime envers le procureur félon de la CPI au motif de son hostilité personnelle et nationale à l’existence d’Israël.
L’obsession pakistanaise de destruction de l’Etat d’Israël aurait dû interdire la nomination de l’individu à son poste de procureur. Il convient de la contester; les textes le permettent amplement.
9- Motivée par la terreur exercée par les services pakistanais ou par la haine d’Israël, la décision des trois juges est une atteinte au Droit par l’absence de faits et par l’absence de correspondance entre les faits et les accusations proférées par la CPI.
10- La décision de la CPI est une extravagance juridique et judiciaire qu’elle ne se permet qu’à l’endroit de la démocratie civile et militaire israélienne néanmoins innocente
L’attention de la CPI contre l’Etat juif lui est exclusive.
Elle abandonne les criminels de guerre et contre l’Humanité, coupables de violer l’ensemble des règles de la CPI, à commencer par les dirigeants criminels pakistanais qui ordonnent au procureur puis à ses juges les mesures visant à participer à l’élimination d’israël.
11- Israël et ses alliés ne peuvent subir les décisions de ces curieux juges de la CPI sans réagir.
Israel et ses alliés doivent se saisir des instruments juridiques en vue de l’arrestation du procureur et les juges de la CPI aux multiples motifs existants autour de la manipulation des institutions judiciaires à des fins génocidaires et au moyen de falsification de faits non avérés.
Pour être méconnus, ces instruments juridiques existent, ne sont pas plus extravagants que les décisions de la CPI et permettraient de juguler l’arrogance des alliés internationaux des régimes djihadistes.
La liste des protestations à dresser contre la CPI, son procureur, ses juges, au nom du respect du Droit et des faits, est beaucoup plus longue que celle énoncée ici.
Par conséquent, Israël ne doit accepter aucune des attaques injustifiées, non attestées et fautives de la CPI.
Il revient à Jerusalem de contester par voies de Droit mais aussi diplomatique l’ autorité usurpée par la CPI dont le but fourbe est l’élimination de l’Etat hébreu.
Enfin, et une fois de plus, Israël paie le prix maximum des cadeaux offerts à ses ennemis.
Le respect par Jerusalem des règles universelles capturées, manipulées, tronquées, truquées par les Etats sanguinaires qui désormais dirigent le monde ne conduit à aucune réciprocité en sa faveur.
Les cadeaux univoques de l’armée israélienne à Gaza contribue à l’affaiblissement d’Israël par l’application unique de règlements uniques à destination unique visant à l’élimination de son territoire et de sa population.
Les décisions de la CPI sont anti-juives, nocives et inhumanitaires. Il est possible et indispensable d’en neutraliser et de la libérer de ses parasites djihadistes que représentent son procureur et ses trois juges.
© Pierre Saba
22 novembre 2024
Puisqu’Israel est accusée de génocide, de crimes de guerre, que ses dirigeants élus sont personnellement accusés de crime contre l’humanité, pourquoi continuer à être aussi circonspects, pourquoi continuer à envoyer des avertissements aux populations qui risquent de se retrouver dans les zones à risque? Il faut envoyer ces avertissements au tribunal Pénal et au procureur Khan et leur demander de passer le message directement. Tout bombardement qui causera des victimes ou des dommages dans ces zones seront la responsabilité du tribunal et du procureur Khan.