La Cour pénale internationale (CPI) vient d’émettre des mandats d’arrêt historiques contre :
– Benjamin Netanyahu (Premier ministre israélien)
– Yoav Gallant (Ministre de la Défense)
– Mohammed Deif (Chef militaire du Hamas, heureusement éliminé par Israël)
Les deux dirigeants israéliens sont accusés de crimes contre l’humanité et crimes de guerre dans le conflit à Gaza.
Les mauvais croient pouvoir s’attaquer à la vérité des mots.
C’est la première fois que la CPI émet des mandats contre des dirigeants d’un pays démocratique.
Points clés :
– Décision unanime des trois clowns de la Chambre préliminaire
– Netanyahu et Gallant risquent l’arrestation dans plus de 120 pays membres de la CPI
– Israël et les États-Unis ne sont pas membres de la CPI, limitant l’impact pratique
– La CPI affirme que l’acceptation d’Israël n’était pas nécessaire
Cette décision complique davantage les efforts de négociation d’un cessez-le-feu dans ce conflit qui dure depuis 13 mois, depuis les massacres perpétrés par le mouvement génocidaire Hamas, suivi par le mouvement génocidaire Hezbollah qui en planifiait de bien plus meurtriers.
Empêcher Israël de se défendre, c’est admettre que les seuls Juifs acceptables sont ceux qui ont été brûlés, gazés, enterrés vifs.
Voici le message de ces crapules.
Le monde se divise en deux : ceux qui acceptent que l’histoire ait un sens et que le peuple d’Israël, porteur et témoin de ce sens, revienne sur sa terre et les autres, ceux de la dhimmitude, du négationnisme, du meurtre, de la justice travestie.
Les seconds ne cessent de s’en prendre à Israël, au point de rendre spectaculaire leur abjection. Ils perdront.
Et le vrai, le beau, le juste l’emportera !
© Joel Hanhart
Joel Hanhart is Ophthalmologist @ Shaare Zedek | Head of the Medical Retina Unit. Jerusalem
C’est le clou dans le cercueil d’une justice internationale totalement décrédibilisée. Décidément, les procureurs de cette Cour Pénale Islamique ne brillent pas par leur exemplarité : Karim Khan est un prédateur sexuel (qui essaie de faire obstacle à l’enquête en cours sur ses agissements) et son prédécesseur Fatou Bensouda vice-procureur (8 ans) puis procureur général (9 ans) de la CPI, alors même que son passé de conseillère juridique et de ministre dans la dictature militaire du dictateur Yahya Jammeh (Gambie) l’a rend passible de poursuites pour complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, ce qui lui valut ainsi qu’à son adjoint, en septembre 2020, leur placement sur liste noire, le gel de leurs avoirs aux Etats-Unis et leur interdiction d’entrée sur le territoire américain. La justice des Droits de l’Homme incarnée par la négation de ces mêmes Droits de l’Homme !