Le 7 octobre 2023, le Hamas a franchi les barrières de sécurité séparant Gaza du sud d’Israël et a commis le plus grand massacre du 21e siècle. Les terroristes ont posté des vidéos en direct de leurs atrocités sur les réseaux sociaux, rendant leurs horreurs instantanément accessibles au monde entier. Les Israéliens s’attendaient à une vague de soutien unilatérale pour dénoncer ce qui est devenu le jour le plus sombre depuis la création de l’État d’Israël, depuis l’Holocauste.
Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. L’onde de choc continue de se propager dans le monde entier. « Pogrom(s) » explore le massacre du 7 octobre à travers le témoignage des hommes et des femmes qui ont été les premiers sur les lieux. Ceux qui ont assisté aux atrocités. Ceux qui ont ramassé les corps. Du moins ce qu’il en restait. Ceux qui se sont déplacés entre les corps des femmes, des hommes et des enfants qui avaient été violés, mutilés et brûlés vifs. Ceux qui ont vu l’inimaginable. Ceux qui ne pourront plus jamais fermer les yeux sans se souvenir.
Mais Pogrom(s), c’est aussi une exploration des événements qui ont précédé le massacre du 7 octobre et de leurs conséquences.
Pierre Rehov connaît bien l’histoire du Moyen-Orient et de ses extrémistes djihadistes. Il comprend instinctivement que les origines du mal remontent à bien plus loin dans le temps et que les exemplaires de Mein Kampf retrouvés dans les maisons de Gaza n’y sont pas arrivés par hasard. Il sait où les terroristes génocidaires du Hamas ont puisé leur inspiration. Qui les a guidés et comment ils ont été aidés et financés. Dans son enquête, Pierre Rehov retrace les alliances entre les nazis et les mouvements islamistes, qui se sont concrétisées dès les années 1940, et qui s’enracinent dans leur haine commune des Juifs.
Il revient sur la désaffection des organisations internationales pour la cause palestinienne, celles-là même qui ont été créées pour que les événements qui ont conduit à la disparition de 6 millions de Juifs ne se reproduisent plus. Sur le nationalisme palestinien, apparu dans les années 60 et qui, dans le contexte de la guerre froide, a servi de point d’ancrage à un bloc soviétique en perte d’influence au Moyen-Orient.
À travers des témoignages d’historiens, Pierre Rehov montre comment tous ces événements apparemment sans lien entre eux ont pourtant servi à construire le fondamentalisme islamiste qui, dans les années 90, a donné naissance à l’idéologie totalitaire et sanguinaire du Hamas.
Au fil des années, cette organisation terroriste tentaculaire a réussi à intégrer et à utiliser les valeurs occidentales pour les détourner et en faire une arme idéologique très efficace. Depuis des décennies, les sbires des Frères musulmans infiltrent les couches de la population et se réapproprient leurs combats. Ainsi, le 8 octobre 2023, ils ont utilisé les braises encore chaudes du massacre en Israël pour tenter d’imposer leur idéologie nauséabonde à un Occident encore trop désemparé et surpris pour réagir comme il l’aurait dû.
— Pierre Rehov 🔽 (@rehoov) November 14, 2024
La négation de la Vérité, et l’inversion du réel sont devenues systématiques dans ce cauchemar orwellien qu’est le vingt et unième siècle. Notamment en occident. Des pays où le traitement de l’information est calibré par le « politiquement correct » sont de fait des dictatures. Même la liberté d’expression artistique finit par y disparaître. On peut même parler de criminalisation de la Vérité et il existe une omerta sur de très nombreux crimes contre l’humanité. Le pouvoir totalitaire et islamonazi ayant pris contrôle du monde anglo-saxon et francophone fait tout pour passer sous silence les crimes génocidaires commis contre Chrétiens (Arménie, Nigéria) et Yezidi le sont également _ sans compter de nombreux massacres de moindre ampleur. Ce sont des tabous. De même, son but est d’invisibiliser progressivement le massacre antisémite et génocidaire du 7 octobre.
La négation de la Vérité, et l’inversion du réel sont devenues systématiques dans ce cauchemar orwellien qu’est le vingt et unième siècle. Notamment en occident. Des pays où le traitement de l’information est calibré par le « politiquement correct » sont de fait des dictatures. Même la liberté d’expression artistique finit par y disparaître. On peut même parler de criminalisation de la Vérité et il existe une omerta sur de très nombreux crimes contre l’humanité. Le pouvoir totalitaire et islamonazi ayant pris contrôle du monde anglo-saxon et francophone fait tout pour passer sous silence les crimes génocidaires commis contre Chrétiens (Arménie, Nigéria) et Yezidi _ sans compter de nombreux massacres de moindre ampleur. Ce sont des tabous. De même, son but est d’invisibiliser progressivement le massacre antisémite et génocidaire du 7 octobre.
Le lien vers X/Twitter d’avant-hier (de l’article “Pogrom(s), l’exceptionnel documentaire de Pierre Rehov, censuré par YouTube, rejeté par Amazon, et refusé par toutes les chaines de télé: A vous tous de le rendre VIRAL) ne fonctionne plus ce soir 16/11 et débouche dans le vide. Dommage. En espérant qu’il n’ait pas été censuré par X également…
Pierre Rehov nous répondra.